Ewald Frank
Krefeld, le 21 septembre 1980 à 10 heures 00
TOI SEUL EN ES DIGNE, Ô ÉTERNEL !
Apocalypse 5 versets 1 à 14
(Retransmis le 18 juin 2025)
[Introduction]
Louanges et remerciements ! Nous pourrions encore et toujours chanter la même chose pour rendre gloire au Seigneur, car Il est notre Seigneur que nous louons, Il est celui à qui revient la gloire, la louange et les chants de louange. Il l’a placé dans nos cœurs que nous puissions le louer.
Je ne sais pas, mais mardi soir, ici, en bas, nous avons eu une petite séance de cantique, et cela a réjoui nos cœurs. Nous avons tous été très bénis. Savez-vous que dans les cantiques, il y a déjà la bénédiction ? Car c'est ainsi que nous louons notre Seigneur ; et là où on le loue, Il n'est pas loin, mais Il habite parmi la louange de Son peuple. C'est ce que l'Écriture dit ; et nous sommes reconnaissants de pouvoir à nouveau le louer.
Je suis encore très reconnaissant à Dieu aussi pour hier soir, pour la prédication et pour la traduction. Oui, c'était étrange, c'était une courte prédication, mais une prédication ointe, si puissante ! La vérité absolue qui est bel et bien là, l'Éden de Satan, oui. Nous avons en effet vu que tout ce que l'Esprit de Dieu a dit est vrai à cent pour cent. Ce que Dieu dit est absolu, c'est vrai, c'est exact. Cela peut parfois sembler encore lointain, mais l’heure et le moment viendront où cela sera révélé et où cela sera visible, et tous ceux qui ont le cœur sincère, qui aiment la parole de Dieu, qui ont reçu Sa parole et ont les yeux ouverts, ils peuvent voir que c'est la vérité. Tous les autres passeront dans tous les cas sans rien voir, mais nous, en tant qu'enfants de Dieu, nous devrions être heureux et reconnaissants de ce que le Seigneur ait ouvert nos yeux.
Nous ne nous glorifions pas d'être quelque chose de spécial, mais nous pouvons dire que nous sommes ce que nous sommes par la gloire de Dieu ; et nous sommes là pour exalter le nom du Seigneur. Et ici, David dit dans le Psaume 145 verset 1 : « Je veux t'exalter, mon Dieu, Toi le Roi ! ». Oui, et j'aimerais dire que nous voulons nous joindre au psalmiste. Nous ne voulons pas seulement le dire, mais nous voulons aussi le faire, exalter notre Dieu et notre Roi, notre Seigneur, notre Sauveur, notre Rédempteur. Oui, c'est bien là la raison pour laquelle nous nous réunissons, n'est-ce pas frères et sœurs ? Oui, c'est bien ça le but.
Il dit au verset 1 : « Je veux t'exalter, mon Dieu, Toi mon Roi ». C'est ce que David a exprimé. Et je pense que ce n'était pas des paroles vides, mais que cela venait du fond de son cœur, et c'est pourquoi il a pu le dire ainsi. Cela doit également venir du fond de notre cœur pour que nous puissions le dire. La suite du verset 1 : « …et louer Ton nom » combien de fois, combien de temps ? « Toujours et à perpétuité ! Toujours et à perpétuité », toujours louer le nom du Seigneur. Est-ce possible, frères et sœurs ? Est-ce possible pour nous ou non ? Eh bien, cet homme s'est donné pour résolution de le faire ! Il l'a exprimé haut et fort, il l'a dit, et cela résonne jusque dans nos jours, voyez-vous ? Cela parvient jusqu’à nos oreilles ce matin. N'est-ce pas merveilleux ?
Ce que les hommes de Dieu ont dit oints par le Saint-Esprit, subsiste jusqu'à nos jours. Ce n'étaient pas ces hommes, mais c'était l'Esprit de Dieu qui les a conduits pour le faire. Et ce matin, nous pouvons le considérer. Et je pense que cela n'a pas été donné au hasard, mais ça accomplit son but encore ce matin. Oui, « chaque jour, chaque jour, chaque jour, je Te louerai et je glorifierai Ton nom à perpétuité ». Est-ce que nous le faisons, frères et sœurs ? Faisons-le ainsi, frères et sœurs. Est-ce le cas pour nous, ou n'est-ce pas le cas ? Nous devons être honnêtes à ce sujet ! Que chacun s'examine lui-même. Mais, je pense que cela devrait être dans notre cœur.
Mais je vais vous dire quelque chose. Je pense qu'aucun jour ne passe où nous ne pensions à Lui, où nous n'élevions Son nom, et où nous ne Le louions. Même si parfois notre situation semble désespérée, ou quand nous traversons de nombreuses épreuves, je dois dire que depuis que Jésus est entré dans ma vie, je pense chaque jour à ce qu'Il a fait dans ma vie, et je loue Son glorieux nom. Il est dit ici au verset 3 :
« Le Seigneur est grand et digne de louanges, et sa grandeur est insondable. Que chaque génération célèbre tes œuvres, et publie tes hauts faits ! Je raconterai la splendeur glorieuse de ta majesté ; je chanterai tes merveilles. On parlera de ta puissance redoutable, et je raconterai ta grandeur. On proclamera la gloire de ton immense bonté, et on célébrera ta justice ».
Louanges et gloire soient rendues à notre Seigneur ! Verset 7 : « On proclamera la gloire de ton immense bonté, et on célébrera ta justice ». Je pense que nous pouvons aussi le faire ce matin. Que l'Esprit de Dieu nous conduise tous à le faire ! Oui, remettons-nous tous entre Ses mains, sous Sa conduite, sous Sa direction, qu'Il soit avec nous ; frères et sœurs, rencontrons-le ce matin avec joie ; ouvrons notre bouche et nos cœurs. Levons-nous maintenant, et faisons-le.
Mon Dieu, Père ! Nous Te remercions du fond de notre cœur de pouvoir être ici ensemble ce matin. Seigneur, nous venons vers Toi avec le cœur courbé. Nous venons à Toi, et nous voulons dire avec David : « Je T'exalterai, mon Dieu, Toi mon Roi, et je louerai Ton nom à perpétuité ! Chaque jour je Te louerai et je glorifierai Ton nom, à toujours et à perpétuité ! ».
Seigneur Jésus, accorde-le-nous par grâce. Accorde que du profond de nos cœurs, nous puissions Te louer toujours, ô Seigneur, que nous Te chantions des louanges, Seigneur ! Au lieu de tout autre chose, Seigneur, que la louange jaillisse, et que l'action de grâce Te soit rendue, Seigneur.
Ôte de nous, Seigneur Jésus, tout ce qui T'empêche d'agir dans ma vie, dans mes pensées, Seigneur, et dans la vie et les pensées de chacun de nous, Seigneur. Purifie-nous, Seigneur, afin que notre intérieur, ce qui est au plus profond de nous, Seigneur, soit pur et saint devant toi.
Seigneur, nous Te remercions encore une fois pour Tes paroles puissantes et d'hier soir à travers ce message puissant, ô Seigneur. Nous voyons que Tu n'as pas abandonné Ton peuple, mais que Tu as parlé, ô Seigneur. Tu as repris Ton serviteur, mais Ta parole est restée. Alléluia !
Nous louons Ta grâce, nous glorifions Tes miracles que Tu as accomplis aussi en nos jours et aussi parmi nous, Seigneur. Pour cela, nous Te donnons l'honneur, la louange, la gloire et l'adoration.
Seigneur, sois avec nous aussi ce matin, bénis-nous tous, ô Seigneur ! Telle est ma prière et ma supplication. Nous venons tel que nous sommes, dans le précieux nom de Jésus-Christ ! Alléluia ! Amen !
[Frère Frank]
Louange et remerciement soient au Seigneur ! Ma voix n'est certainement plus aussi bonne que je le souhaiterais. Vous savez que le dernier week-end était très fatigant en Sicile. Les gens du sud sont un peu différents que nous. Chez eux, une réunion doit durer trois ou quatre heures, et quand la réunion est terminée, ils ne rentrent pas chez eux, loin de là ! Ce n'est qu'après minuit qu'ils rentrent. Et ainsi la voix est sollicitée et utilisée. Mais, si elle est au service de Dieu, alors c'est bien ! Si Dieu est glorifié, si Sa parole est transmise, si cela apporte la bénédiction, alors la voix peut s'enrouer ! Mais, malheur à nous si la voix est utilisée à d'autres fins qui ne glorifient pas le Seigneur.
Le refrain que nous avons chanté correspond au cinquième chapitre de l'Apocalypse. Nous l'avons entendu il y a quelques jours avec frère Schmidt ; et je l'ai mémorisé autant que possible, et aussi la mélodie ; et nous l'avons simplement chanté hier soir ici. Cela se trouve dans l'Apocalypse chapitre 5, verset 2 :
« Puis je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte : Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux ? ».
C'était la question : « Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux ? ». Verset 3 :
« Mais personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Et je pleurai beaucoup parce que personne ne fut trouvé digne d'ouvrir le livre ni de le regarder ».
Ce fut l'expérience de Jean sur l'île de Patmos. Il connaissait la raison pour laquelle il avait été amené là-bas, à savoir, à cause de la parole de Dieu, et pour le témoignage de Jésus ; et le livre est fermé, et personne n'est digne de le prendre, de l'ouvrir et de le regarder ; et il pleure amèrement, il pleure à haute voix.
Je ne sais pas si vous avez déjà entendu quelqu'un pleurer à haute voix. C'est une douleur intérieure si intense qui vous déchire, de sorte que vous ne pouvez vraiment plus rien faire et que vous ne voyez plus aucun espoir. C'était le cas de Jean. Et puis, tout à coup il est dit au verset 5 :
« Mais l'un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux ».
Quel moment cela a dû être alors au moment où l'un des vieillards est venu à lui et lui a dit : Ne pleure point ! Il avait la réponse à cette question. Il n'a pas seulement dit ne pleure point, mais il dit : « Voici… » c'est comme une prophétie, verset 5 : « Voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux ». Les pleurs de Jean cessèrent, une paix et une joie profondes ont dû envahir son cœur. Et nous connaissons la suite de l'histoire. Mais ensuite, il est dit à partir du verset 12 :
« Ils disaient d'une voix forte : L'Agneau qui s’est laissé immoler est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange. Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, dans la mer, et tout ce qui s'y trouve, je les entendis qui disaient : À celui qui est assis sur le trône, et à l'Agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la puissance, aux siècles des siècles ! Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! ».
Nous aussi, nous pouvons dire : Amen ! et Amen ! « Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent ». Que doit-il en être de nous, en ce temps où nous avons expérimenté l'ouverture des seaux ? Maintenant où les mystères qui étaient cachés et scellés dans le livre dont il est question ont été révélés ? Je ne sais pas si nous comprenons vraiment ce qui s'est passé, si nous avons saisi de quoi il s'agit. Il est dit ici : « ils se prosternèrent et adorèrent » seulement lorsque l'Agneau a pris le livre.
Nous savons qu'en mars 1963, les sceaux ont été ouverts. Le Seigneur venait chaque jour vers midi dans la colonne de feu pour révéler (ouvrir) un sceau à frère Branham. Nous avons tout entendu. Nous sommes-nous alors prosternés ? Avons-nous adoré ? Avons-nous rendu à Dieu le remerciement qui Lui est dû ? Qu'avons-nous fait de ce que Dieu nous a confié ? Quelle valeur avons-nous accordé aux choses que nous avons reçues de Lui ?
Je dois avouer honnêtement que lorsque j'ai entendu ce refrain chanté par des gens qui n'avaient pas encore entendu parler de l'ouverture des sceaux, qui n'avaient aucune idée de ce que c'est, mon cœur a été ému, et j'ai pensé : « Ça, c'est le refrain que nous devrions chanter, car nous l'avons expérimenté : Tu es digne, Tu es digne, Tu es digne, ô Seigneur, digne de recevoir la louange, l'honneur, la gloire et l'adoration ! Tu es digne, ô Seigneur ». N'oublions pas ce que Dieu a fait pour nous en ce temps, par grâce, et ce qu'Il continue de faire selon Son bon plaisir, pour confirmer Sa parole, accomplir Ses promesses et glorifier Son nom.
« Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre ses sceaux ? ». Personne dans le ciel ! Et dans le ciel, il y a beaucoup qui sont bons. Il y en a à qui Dieu n'a rien à reprocher ; mais « personne dans le ciel, personne sur la terre, personne sous la terre n'était digne ». Et Jean pleure à haute voix et pleure amèrement ; et puis la réponse vient d'un des vieillards : « Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux ».
Frère Branham dit que c'est le livre de la rédemption, et le Rédempteur a pris le livre pour révéler (ou racheter) ce qu'Il a à leur dire. Et cela s'est produit dans ton époque, dans la mienne, à cause de toi, à cause de moi, à cause du peuple de Dieu. Alors ne pleure point ! Il a vaincu, Il a pris le livre et Il l’a ouvert. Il est dit ici au verset 6 :
« Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants d’une part, et au milieu des vieillards d’autre part, un Agneau qui était là comme immolé ».
La chose était toute fraîche, toute nouvelle devant les yeux. Il n'a pas vu l'Agneau comme s'Il avait été immolé à un moment passé. Il voyait l'Agneau devant Lui, le Crucifié, comme s'Il venait d'être cloué à la croix. Pour nous, les choses sont parfois si lointaines, mais lui, il a vu le Seigneur devant ses yeux, comme s'il avait regardé comment ils le clouaient à la croix et Lui perçaient le côté, un Agneau comme s'Il venait d'être immolé. Il est dit ici au verset 8 :
« Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'Agneau, chacun d’eaux avait une harpe et des coupes d'or remplies d’encens, qui sont les prières des saints. Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d'en ouvrir les sceaux ; car tu t’es laissé immoler, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; et tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre ».
N'est-ce pas là une parole glorieuse ? Les vingt-quatre vieillards et les quatre êtres vivants se prosternèrent devant l'Agneau au moment où Il prit le livre pour en ouvrir les sceaux. Ils avaient des encensoirs et des harpes, mais une chose était la chose principale, essentielle : L'adoration qu'ils rendaient à l'Agneau ! Peu importe le nombre d'instruments que nous jouons, le plus important c'est l'adoration à celui qui S'est laissé immoler, qui a versé Son sang, qui seul, est digne de revendiquer Sa propriété et de Se révéler aux Siens, de leur révéler Sa volonté et Sa parole ! À Lui revient la louange !
Et s'il est écrit que tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre, toute la création s'est jointe à cette louange, « tout genou fléchira et toute langue confessera que Jésus-Christ est le Seigneur ».
Que Dieu nous bénisse et transforme nos pleurs, notre misère, notre détresse en une véritable adoration inspirée par l'Esprit qui puisse être déposée dans l'encensoir de l'autel, pour être présentée au trône de Dieu. Dans la présence de Dieu, nous pouvons le remercier pour ce qu'Il a fait, car nous témoignons et confessons que Dieu a fait de grandes choses pour nous tous par grâce. À Lui soit la gloire. Amen !
[Conclusion]
Je pense que nous pouvons déjà adorer ; et nous allons le faire tout de suite. Personnellement, ces paroles m'ont beaucoup touché. Vous savez, personne au ciel n'aurait osé s'arroger le droit de dire : « Je suis digne ». Mais vous savez, tous savaient que l'honneur et la louange reviennent à quelqu'un d'autre. Il y avait les vingt-quatre vieillards, il y avait les princes d'anges, l'ange Michael et tous ceux qui portent ces noms, de grands princes d'anges qui ont peut-être accompli de grandes choses, mais il y avait Un à qui revenait l'honneur. Aucun d'eux ne s'est arrogé le droit de s'attribuer quoi que ce soit ou de se mettre en avant, mais ils ont tous élevé la voix et ont dit d'une seule voix, d'un commun d'accord : « Tu es digne ». L'Agneau qui S'est laissé immoler, oui, Il est digne de recevoir la louange et l'adoration !
C'est tellement différent, vous savez, quand nous regardons sur cette terre, c'est différent. Là où se trouve le royaume de Satan, là, chacun veut s'arroger l'honneur, recevoir l'honneur. Est-ce que ce n'est pas vrai ? Tout le monde ! Ça commence par le plus petit, chacun veut faire valoir quelque chose, chacun veut recevoir les honneurs. Mais ici, dans le ciel, nous voyons la grande différence : Personne n'était là pour dire : « Je peux faire mieux, et j'en suis digne ». Mais si nous regardons dans nos jours, dans notre temps, nous voyons tous les groupes, tous les partis, tout ce qui existe, chacun prétend faire mieux, chacun prétend pouvoir tout faire mieux que les autres ! Ils se battent, ils se combattent, oui ils se disputent parce que chacun veut être quelque chose ; et au fond, s'ils se rendaient compte qu'ils ne sont que des pauvres mortels ! Savez-vous que même pas les grands princes des anges n'ont revendiqué quoi que ce soit ? Nous non plus, nous ne pouvons rien revendiquer ! Nous savons à qui revient l'honneur, nous savons à qui revient la louange.
Je l'ai déjà dit au début, dans l'introduction, le cantique m'a tellement touché hier soir. Nous avons été tellement bénis. Je ne sais pas ce qu'il en était de vous, ce que vous avez ressenti, frères ; mais l'Esprit de Dieu était tellement présent pendant que nous chantions ! Nous ne connaissions même pas très bien les paroles, mais la présence de Dieu était là. C'était si beau, si merveilleux. Je ne sais pas ce que vous avez ressenti, vous qui avez écouté. Peut-être que l'Esprit était aussi là, certainement.
Louanges et remerciements à notre Dieu ! Oui, à Lui reviennent l'honneur et la louange ! Amen !
Savez-vous quoi ? Une pensée m'est venue : Nous devons, nous devrions nous rassembler ici devant, et chanter ensemble ce refrain ; ensuite, nous allons rendre gloire à notre Dieu du plus profond de notre cœur et l'adorer, car personne à part Lui n'est digne de recevoir la louange, la gloire et l'adoration.
À toi la gloire et la louange, ô Dieu ! Seigneur ! Personne n'était digne dans les cieux et sur la terre de recevoir la gloire, la puissance et la louange, car nous savons que le jour vient, l'heure vient où Tu viendras dans Ta puissance, où Tu prendras tout entre Tes mains, où Tu rendras le jugement, Seigneur, sur la mort, sur l'enfer, sur le diable, ô Seigneur, car Tu l'as vaincu ! Nous louons Ta puissance, nous glorifions Ta gloire, nous voulons Te suivre ! Nous Te rendons gloire à Toi seul ! Alléluia ! Du plus profond de mon cœur, je ne peux que Te louer et exalter Ton nom !
Seigneur Jésus-Christ, demeure avec les Tiens, Seigneur, afin que nous demeurions fermes dans ces heures, dans ces moments d'épreuve que nous traversons actuellement. Mais, Seigneur, nous levons les yeux vers Toi : Tu es notre force, Tu es notre consolation, Tu es notre secours ! Alléluia ! Loué soit Ton nom ! Ô gloire, louange ! Gloire et adoration à Toi, le Dieu vivant, dans le nom de Jésus ! Alléluia ! Amen !