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Ewald Frank

01 mai 1982 à 19 heures 30, Krefeld, Allemagne 

LES ÂMES QUI SONT EN PRISON MAINTENANT, N°1

(Retransmis le 08 novembre 2025)

C’est l’une des prédications les plus difficiles ! Mais, je me dis que nous ne voulons pas sauter une prédication, mais nous voulons voir et écouter ce que Dieu a à nous dire ; et s’il y a quelque chose qui est difficile à comprendre, qui devrait être présent, nous le laissons jusqu’à ce que Dieu nous le révèle. Dans Matthieu 13, notre Seigneur Lui-même a prononcé une parole et cela est écrit, il est dit ici dans Matthieu chapitre 13 du verset 34 jusqu’au verset 35 :

« Jésus dit à la foule toutes ces choses en paraboles, et il ne lui parlait point sans paraboles, afin que s’accomplisse ce qui avait été annoncé par le prophète : J’ouvrirai ma bouche en paraboles, Je publierai des choses cachées depuis la création du monde ».

Nous savons que le Seigneur Jésus dans ces jours-là, a exprimé, a prononcé ce qui avait été prédit par les prophètes pour Son jour, ce qui devait s’accomplir autrefois, et Il a résumé toutes ces choses ; et ensuite à la fin, Il a dit : « Est-ce que tout cela ne devait-il pas s’accomplir, ce qui est écrit dans la loi de Moïse, et dans les Psaumes, et dans les prophètes ? ». 

Alors que Paul commençait son ministère, il écrit dans Éphésiens, peut-être que nous allons aussi lire cette parole, dans Éphésiens le chapitre 3, ici à partir du verset 4, il est écrit : 

« En les lisant, vous pouvez vous représenter l’intelligence que j’ai du mystère de Christ. Il n’a pas été manifesté aux fils des hommes dans les autres générations, comme il a été révélé maintenant par l’Esprit aux saints apôtres et prophètes de Christ », et au verset 9 nous lisons : « et de mettre en lumière le moyen de faire connaître le mystère caché de toute éternité en Dieu qui a créé toutes choses » et au verset 10 : « c’est pourquoi les dominations et les autorités dans les lieux célestes connaissent aujourd’hui par l’Église la sagesse infiniment variée de Dieu ».

Particulièrement ce passage ici : « Ce mystère caché en Dieu le créateur de toutes choses ». Ouvrons ici Actes des Apôtres au chapitre 3, et lisons ici la même parole « dans les temps anciens » « depuis le commencement ».

Actes des Apôtres 3 verset 21 :

« Que le ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes d’autrefois ».

Donc, ce sont des choses qui ne sont pas mentionnées comme ça en passant, mais des choses dans l’histoire du salut, des choses divines qui appartiennent au dessein de la rédemption ; et à cela appartient aussi l’ouverture des sept sceaux, la révélation de tout ce qui, depuis les temps anciens, était resté caché, pour que cela soit ensuite révélé dans ces derniers temps, dans ces derniers jours.

Et nous avons assez souvent entendu de la bouche mandatée –et je veux dire que nous tous qui sommes ici ce soir, nous sommes en accord total– que Dieu parle, mais Il ne parle pas par l’intermédiaire de plusieurs personnes, mais Il parle par la bouche qu’Il a déterminé à ce que, par cette bouche, Sa parole prononcée.  Et nous avons souvent entendu cette parole : La parole ne vient pas aux théologiens, elle ne vient pas dans des conciles et non plus par des décisions ou bien des conseils, mais c’est par la révélation de l’Esprit qu’elle vient ! C’est par la révélation que la parole vient fraîchement du trône aux prophètes, et c’est ainsi que les prophètes avaient le « AINSI DIT LE SEIGNEUR », parce que Dieu leur avait parlé.

Et nous croyons que le message de la fin des temps, cette parole de Dieu, est la Parole révélée par le Saint-Esprit dans laquelle toutes choses qui ont été prédites pour ce temps sont résumées et ont été exposées.

Dans cette prédication, comme je viens de le dire (N.d.l.r. : Les âmes qui sont en prison maintenant, prêché le 10 novembre 1963, matin, au Branham Tabernacle, à Jeffersonville – Indiana, U.S.A. Titre original : « Souls That are Imprisoned now), il y a beaucoup de choses difficiles, mais le frère Branham, dans ces différents points qu’il ne pouvait pas transmettre avec la dernière assurance comme révélation, il a dit lui-même : « Ça pourrait être ainsi », et ça, c’est quelque chose de très puissant venant d’un homme de Dieu de cette envergure. Combien qui n’ont pas été appelés par Dieu sont convaincus d’eux-mêmes ? De leur personne ? Et un vrai homme de Dieu, un véritable homme de Dieu qui était vraiment pénétré de l’Esprit de Dieu, à qui la parole du Seigneur vint, dans les différents points dans lesquels il ne pouvait pas dire avec l’absolue assurance si les choses sont déjà ainsi ou pas, il a laissé les choses ouvertes. Cela montre la véracité, et cela témoigne de la véracité et de l’humilité et de la responsabilité devant Dieu. Et je crois que nous tous, nous estimons et nous devrions estimer et comprendre cela. 

Paul avait le même Esprit de Dieu, et il dit dans 1 Corinthiens chapitre 7 quand il parlait, alors il disait : « Ça ce n’est pas moi qui le dis », ou bien alors une fois il dit si Dieu le lui a révélé, alors il dit « ça, c’est le Seigneur qui le dit », mais ensuite il dit : « Non pas le Seigneur, mais moi je le dis » etc.

Des véritables hommes de Dieu ne vont pas avoir des prétentions, mais ils vont vraiment transmettre les choses qui ont été révélées par Dieu en tant qu’une révélation venant de Dieu, et les autres choses, ils vont les laisser ouvertes, et Dieu Lui, au temps convenable, va accorder la compréhension correcte par l’accomplissement de ces choses. 

Nous ne voulons pas oublier : Le message de la fin des temps est la dernière parole de Dieu, la parole de Dieu contraignante, l’absolu pour tous ceux qui veulent se tenir devant Dieu ; et personne ne peut plus se permettre de marcher à côté et dire : « Moi je suis d’une autre opinion ». Dieu n’est pas intéressé à ton opinion ou bien alors à mon opinion, pas du tout ! Et nous ne devons pas être intéressés par notre opinion ou bien par les opinions des autres, mais vraiment avoir seulement le désir dans notre cœur d’écouter ce que Dieu a à nous dire. Et pour cela, c’est nécessaire que notre âme soit en accord avec Dieu, pour qu’elle puisse recevoir la nourriture spirituelle et la révélation.

Je lis ici à la page 6, en bas. Les passages bibliques de Jude et de 2 Pierre chapitre 2 versets 4 à 5, et de 1 Pierre chapitre 1 verset 3 sont connus. Les versets bibliques qui ont été lus sont connus, et vous pouvez vous-même les lire. Ici, à la page 5 en bas (Paragraphe 40) :

« Voyons maintenant ces âmes qui sont en prison. L’âme d’un homme n’est pas son corps, c’est l’âme ; et l’âme est quelque chose qui est la nature de l’esprit. L’âme est la nature de l’Esprit. Quand Dieu dit : "Vous êtes mort", l’Écriture nous dit clairement que nous sommes morts, et que nos vies sont cachées en Dieu par Jésus-Christ, scellées à l’intérieur, en Lui, par le Saint-Esprit ».

Ici, dans cette citation, il y a deux versets bibliques qui sont résumés, l’un c’est dans Colossien 3 versets 1 à 4, et l’autre c’est dans Éphésiens 4 verset 30. Dans Colossiens, Paul dit que notre vie est cachée en Dieu avec Christ, et il dit que quand Christ sera révélé dans notre vie, manifesté dans notre vie, ou quand Christ, notre vie, sera manifestée, alors nous serons manifestés avec Lui ensemble dans la gloire. Et c’est de ça qu’il s’agit, pas seulement d’un enseignement pour l’intellect, mais d’une parole puissante de Dieu qui change notre âme et peut nous transformer et faire de nous de nouvelles personnes par la puissance de l’Esprit, par la puissance du sang. Donc notre vie, par Christ, est cachée en Dieu, scellée là par le Saint-Esprit, en Lui. Ici il dit (N.d.l.r. Paragraphe 41) :

« Ce n’est pas votre corps qui est mort, ni votre esprit. C’est la nature de votre esprit qui est morte, vous voyez. La nature qui est l’âme. La nature de votre âme est Dieu, si vous êtes né de nouveau. Si ce n’est pas le cas, elle est du monde ».

Nous savons que notre Seigneur, dans l’évangile de Jean au chapitre 3, disait : « Ce qui est né de la chair est chair, et la chair et le sang ne peuvent pas hériter le royaume de Dieu, mais ce qui est né de l’Esprit est Esprit » ; et nous croyons à l’engendrement par le Saint-Esprit, à la nouvelle naissance par la parole et par l’Esprit. Et alors, notre âme est changée par la nouvelle vie qui vient en nous, et frère Branham dit ici : « ce n’était pas votre corps qui est mort, ni votre esprit, c’est la nature de votre esprit qui mourut, la nature qui est l’âme ».

Et ici nous venons à ce point : Ce qui est encore vu visiblement, terrestrement, le corps, n’est pas encore changé, notre être extérieur, mais ce qui est dans notre âme doit être changé, transformé, renouvelé. Et toujours de nouveau je l’ai dit : Si notre âme n’est pas encore changée, transformée, c’est en vain que nous attendons la transformation de notre corps.

Que la transformation de ceux qui sont en Christ aura lieu, ça, nous le savons tous, car c’est ainsi que la parole de Dieu le dit dans 1 Corinthiens chapitre 15, et aussi dans 1 Thessaloniciens chapitre 4, que nous serons changés. Mais, la transformation de notre corps ne peut avoir lieu que si la transformation de l’âme a eu lieu.

Et, je pense que sous la prédication la plus puissante de tous les temps, telle que Dieu, par la révélation prophétique de la parole de Dieu nous a accordé, cela devrait pouvoir réussir à Dieu en toi et en moi, de créer une nouvelle nature par Sa grâce, une transformation, un changement, un renouvellement dans ta vie et dans ma vie ; que nous puissions vraiment dire : « Les choses anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles ».

Et si Paul, dans 2 Corinthiens 5 au verset 17, dit : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles », un renouvellement, une transformation doit avoir lieu par la nouvelle naissance dans ta vie et dans ma vie, elle doit avoir eu lieu. (N.d.l.r. Paragraphe 42) :

« Tout ce qui commence a une fin. C’est pourquoi, le seul moyen pour vous d’avoir la vie éternelle, c’est d’avoir une vie qui n’a jamais eu de commencement. Votre vie a commencé à votre naissance ».

Ça, c’est notre vie terrestre. Elle a commencé, elle a un commencement. Mais la vie spirituelle divine que nous avons reçue de Dieu, elle n’a jamais eu de commencement et elle n’aura jamais de fin. C’est la vie éternelle ! Et c’est pour cette raison que nous sommes reconnaissants de tout notre cœur. Ensuite, il est dit (N.d.l.r. Paragraphes 45 à 46) :

« Au commencement Dieu savait comment serait l’homme. Il créa la terre et toutes sortes d’animaux, des plus simples aux plus développés, et le plus développé fut l’homme. 

Le premier homme fut créé. C’était un homme esprit à l’image de Dieu, de ce Dieu qui est Esprit. Il est Esprit, et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité. Et Ta parole est la vérité. Nous l’adorons en Esprit et dans la vérité. Il est un Être Esprit ». Ça, nous le comprenons tous. 

Nous savons aussi que l’homme, Adam, dans sa forme originelle, a été créé dans un corps spirituel que nous aurons après la résurrection, tel que notre Seigneur l’a eu après Sa résurrection ; et nous savons aussi que l’homme est tombé dans la nature de sa chair. C’est pour cette raison que le Seigneur devait sortir de Son corps spirituel et prendre une forme humaine de chair et de sang, pour pouvoir mourir pour nous, pour que nous soyons rachetés et délivrés. Ensuite il dit (N.d.l.r. Paragraphe 47) : « Ensuite Il prit de son côté… ». 

Ici, nous voyons exactement au commencement que Dieu savait comment serait l’homme. Il créa la terre et toutes sortes d’animaux, et nous voyons comment ça s’est passé, c’est écrit dans Genèse 1 et Genèse 2. Il est montré que la première création a eu lieu dans un corps spirituel, et la deuxième, c’est là que ce qui était spirituel a été mis dans cette enveloppe corporelle. Ensuite frère Branham dit d’un côté quelque chose plein d’humour, et d’un autre côté une vérité que chacun peut comprendre. (N.d.l.r. Paragraphe 49 à 50) :

« Nous pensons être quelque chose, mais rappelez-vous : Que sommes-nous ? Une motte de terre, c’est tout ! C’est pourquoi Il dit : "Tu es poussière et tu retourneras à la poussière ". Quand vous voyez un homme marcher dans la rue en croyant qu’il est quelque chose parce qu’il a un peu d’instruction, souvenez-vous qu’il n’est qu’une motte de terre de l’Indiana ! … et il retourne d’où il est venu. C’est tout ! Donc, en fait, vous n’êtes rien de particulier. Vous voyez ? C’est votre condition. C’est tout ce que nous sommes. C’est vrai, c’est tout ce que vous êtes. Mais cette âme qui est là en vous, à l’intérieur, c’est sur cette âme que Dieu agit ».

L’homme extérieur, et ça nous le disons lors des enterrements : « Ce qui est poussière retourne à la poussière. », mais, les saintes Écritures disent que Dieu a soufflé dans l’homme le souffle de vie, et ainsi l’homme est devenu une âme vivante. Pas un corps vivant, pas un Esprit vivant, mais une âme vivante. Et nous remarquons qu’ici, frère Branham met l’accent sur l’âme de l’homme, car la vie, n’est-ce pas, est dans l’âme et dans le sang. Donc l’âme en vous, c’est sur cette âme-là que Dieu agit. La page 7, au milieu (Paragraphe 51. N.d.l.r.) :

« S’Il peut seulement faire en sorte que la nature de cet esprit soit en accord avec Lui, alors l’ancienne nature meurt. La nature du monde et l’amour du monde meurent, et toutes les choses du monde sont mortes. Car si vous aimez le monde, ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est point en vous ».

Et nous savons, comment est-ce que notre Seigneur l’a dit : « Personne ne peut servir deux maîtres : Ou alors nous servons un, ou alors nous servons l’autre ! ». Et, il y a des hommes sur cette terre qui sont déterminés pour le royaume de Dieu, qui sont déterminés à écouter la parole de Dieu et à croire à l’Évangile de Jésus-Christ, ils sont déterminés à recevoir le pardon et naître de nouveau pour une espérance vivante, ils sont déterminés à être remplis du Saint-Esprit et à être remplis de l’amour de Dieu et avec l’amour de Dieu. Ensuite il est dit (Paragraphe 52. N.d.l.r.) :

« L’homme doit naître de nouveau. C’est pourquoi cette nature-là doit mourir d’abord ; alors la nature de Dieu vient vivre en vous, vient et vit en vous. Et Dieu est le seul qui n’ait jamais eu de commencement et qui ne pourra jamais avoir de fin ».

Très bien compréhensible ! Notre vieil homme, en fait, ce que nous sommes doit mourir pour que Dieu puisse créer quelque chose de nouveau, de divin, une vie éternelle en nous. Et c’est pour cette raison que nous écoutons Sa parole. Pas seulement pour plus tard pouvoir dire : « Oh ! C’était une prédication puissante ! », ou bien faire des remarques : « Oh ! C’était merveilleux ! ». Non ! La parole de Dieu doit commencer à produire quelque chose, c’est-à-dire les choses pour lesquelles elle a été envoyée. Elle ne peut pas revenir à vide à Dieu, sans produire des effets.

Le message divin de la fin des temps non plus, et tout ce que Dieu a révélé, ne peut pas revenir sans effets : Ça va revenir avec tous ceux qui sont déterminés à l’écouter, à croire et à recevoir, et ils vont être enlevés donc avec cette parole après qu’elle aura produit toutes ces choses en eux, c’est-à-dire par la parole qui est descendue du ciel et qui, dans notre temps, a été révélée. C’est ainsi que c’est avec cette parole que nous serons enlevés. Elle ne peut pas partir sans nous. Elle ne peut pas de nouveau repartir sans nous au trône de Dieu d’où elle est venue. Elle doit et elle nous emportera avec elle en ce jour-là, car nous ne devenons un avec la Parole comme frère Branham le dit, nous devenons une épouse-parole, des gens qui ne sont plus à l’extérieur du royaume mais qui sont à l’intérieur du royaume de Dieu. Ensuite il est dit. (Paragraphe 53. N.d.l.r.) :

« Ainsi donc, vous voyez qu’Il nous a donné une position de partenaire. Il a pris l’homme terrestre et l’Esprit éternel et les a mis ensemble. Dieu a fait un reflet de Lui-même en ce qu’Il est devenu un homme en devenant Jésus-Christ. Il était Dieu ! Dieu était en Christ, Il vécut en Lui, Il habitait en Lui, réconciliant le monde avec Lui-même. Et par cet Homme parfait, chacun de nous qui sommes imparfaits mais qui croyons en Dieu et avons accepté cela, devient une perfection en Lui ».

Ça, c’est l’Évangile ! Ça, c’est un message de joie et de délivrance ! Chacun de nous est imparfait, et ainsi, en Lui nous parvenons à la perfection. Et quand nous pensons à Hébreux 10 verset 14 où il est dit que par l’offrande de Son corps, d’un seul sacrifice, Il a amené une fois pour toutes à la perfection tous ceux qui se laissent sanctifier. Ça, c’est l’œuvre de Dieu !

Vous savez, et ça aussi sûrement que je l’ai déjà dit, il y en a, et ça je l’ai déjà vu et je l’ai déjà dit souvent, je l’ai déjà vu au chevet de plusieurs personnes en train de mourir, ils sont croyants depuis des années et travaillent à leur salut en essayant toute leur vie de se transformer ou de se changer d’eux-mêmes ; et après tant d’années, sur le lit de mort ils disent : « J’ai peur de mourir ! », et ça, c’est une chose très triste.

Je pense que « l’Esprit de Dieu rend témoignage dans notre esprit que nous sommes enfants de Dieu », parce que nous croyons en Son nom, au nom qui est au-dessus de tout nom, au nom qui a été donné pour le salut et pour la délivrance. Et cette certitude, cette assurance va au-delà du lit de mort, au-delà de l’enfer, au-delà de tout, et aboutit dans la gloire de Dieu. Ici nous avons, comme l’avons lu, reçu la vie éternelle, qui n’a jamais eu de commencement, et qui ne peut avoir de fin. C’est pour cette raison que nous avons cette certitude dans notre cœur. Ensuite il dit (Paragraphe 54. N.d.l.r.) :

« C’est pourquoi nous sommes baptisés en Son nom : C’est afin de devenir une même plante avec Lui par la conformité à Sa mort pour être aussi conforme à Sa résurrection. C’est afin de pouvoir paraître en Son Nom, afin de ressusciter pour témoigner au monde que nous avons une vie nouvelle, une vie nouvelle éternelle, et que le vieil homme est mort. Nous avons enseveli cette première nature ».

Et ça aussi ici, nous pouvons le lire dans Romains chapitre 6 verset 4, que c’est par le baptême que nous sommes ensevelis avec Christ pour désormais marcher en nouveauté de vie avec Lui, en Lui et par Lui. Et je crois que Dieu est en train de produire une œuvre de la rédemption profonde en nous tous, et de l’amener à Son achèvement tel qu’Il avait l’intention de le faire quand notre Seigneur et Rédempteur mourut sur la croix à Golgotha. Une rédemption en laquelle tu n’as pas besoin encore d’aider Dieu, mais une rédemption que nous expérimentons, qui est manifestée en nous, qui peut devenir visible, une rédemption en toi et en moi. Ensuite il dit (Paragraphe 55. N.d.l.r.) :

« Cette première nature a disparu et nous sommes maintenant de Sa nature, nous avons maintenant Sa nature. Il vit en nous et nous ne faisons plus notre propre volonté, mais nous faisons Sa volonté ; nous ne pensons plus nos propres pensées : C’est la pensée qui pense. La pensée qui est un Christ, la pensée qui est en Christ est en chaque croyant ».

Ici on doit s’arrêter, qu’on le veuille ou pas. « C’est en chaque croyant ». Le paragraphe n’est pas fini ici, mais ici on doit faire une pause. Un témoignage, une déclaration : « Les pensées, les sentiments qui étaient en Christ, la pensée qui est en Christ est en chaque croyant », et là nous pourrions aller à Colossiens et Paul écrit, plutôt Philippiens chapitre 2, et Paul écrit : « Que les sentiments qui étaient en Christ soient en vous ». Et ici, s’il est dit à toi et à moi que les sentiments qui étaient en Christ sont en chaque croyant, alors qui est croyant ? L’es-tu ? Le suis-je ? Sommes-nous croyants ? Si la pensée de Jésus, si Sa vie, Sa nature, Son Esprit, si Lui, avec tout ce qu'Il est, demeure dans votre cœur et dans le mien, et si notre âme a été renouvelée et a reçu une nouvelle vie éternelle, et si la pensée de Jésus-Christ demeure en chaque croyant. Cela est présenté ici comme une réalité, non pas avec un point d'interrogation, mais comme un fait.

La main sur le cœur, croyons-nous la parole de Dieu dans notre cœur ? Malgré tous nos manquements et malgré tout ce qui m’est arrivé ou nous est arrivé, nous voulons dans la foi oser donner raison à Dieu, et dire : « Seigneur ce que Tu as dit reste éternellement vrai, et nous nous tenons sur Ta parole, et nous Te demandons, Seigneur, que Tu puisses réaliser cette parole dans notre vie ». Ça, c’est la foi qui prend Dieu au mot ; et alors nous sommes sur les traces d’Abraham qui n’a pas regardé aux choses visibles, mais aux choses invisibles, comme s’il les voyait. Il avait la promesse et cette promesse divine l’a porté. Sommes-nous sans promesses ? Non ! Nous sommes enfants de la promesse divine, et nous croyons les promesses de Dieu pour ce temps, et nous croyons que c’est la dernière parole de Dieu. 

Cette déclaration m’a profondément touché ce matin. Le dernier message de Dieu, contraignant, obligatoire pour tous. Il s’agit maintenant de croire de tout notre cœur à ce message, sans « mais » ou « non », mais « oui ». Quand nous regardons à nous-mêmes peut-être et que nous venons à la conclusion [et que nous nous demandons] comment est-ce que cela sera possible ? On doit pouvoir dire comme Marie : « Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait comme tu l’as dit ». De nous-mêmes nous ne pouvons rien faire, et c’est alors que cela va se passer si nous croyons la parole de la promesse et que, dans la foi, nous la prononcions et nous disions : « Seigneur ! Qu’il me soit fait comme Tu l’as dit », alors arrive que le Saint-Esprit viendra sur nous, et la puissance du Très-Haut nous couvrira de Son ombre, et ce qui naîtra de nous sera le Saint-Esprit, sera la nature de Dieu, la vie de Jésus-Christ en toi et en moi. Ensuite il est dit (Paragraphe 55 – 56. N.d.l.r) :

« C’est là qu’il y a l’âme, c’est ce dont nous parlons. C’est cette partie à laquelle je pense maintenant, c’est ce qui est en nous, l’âme. Quand nous pensons, il y a beaucoup de choses qui se passent, parfois beaucoup de choses qui arrivent et nous nous demandons pourquoi elles arrivent. Nous nous remettons en question et nous remettons les autres en question. Mais si nous sommes des chrétiens, tout concourra pour le bien. Nous constaterons, après quelques moments, que tout concourt à notre bien ».

Et ça aussi, c’est une chose qui ne peut pas passer à côté d’un croyant. Je me demande, et toi, tu te demandes, nous nous demandons tous : « Mais pourquoi est-ce que cela ? » (Paragraphe 57). Pourquoi avons-nous beaucoup de « pourquoi », des questions ? Mais finalement, après un certain temps, ici le verset de Romains 8 verset 28 nous revient à la pensée : « Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu ». Ici il est dit (Paragraphe 57) que nous nous demandons, nous demandons aux autres pourquoi est-ce que cela est arrivé ? Pourquoi cela ? Nous nous demandons pourquoi est-ce ces choses arrivent, nous nous demandons, nous demandons aux autres quel est le sens de cela… Que ces gens répondent ou pas, ce dont nous avons besoin, c’est la réponse de Dieu ! Et la réponse de Dieu est accordée à ceux qui L’aiment, et Il dit : « Tout concourt au bien de ceux qui L’aiment ». Mais cela n’est pas fini. Il est dit ensuite là : 

« Ceux qui sont appelés selon Son dessein », et ce n’est pas fini : « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils ; Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés ».

Romains 8 ne termine pas avec le verset 28. Il y a 39. Et nous devons comprendre que si nous croyons à la prédestination de Dieu et que nous avons reçu l’appel divin. Que l’enfer se mette en colère, Dieu est en train de faire quelque chose avec ce qu’Il permet dans notre vie ; et peut-être que cela nous est caché en ce moment, mais un jour nous regarderons en arrière et nous dirons : « Oh ! Comme Tu as été plein de grâce ! Je n’ai pas compris pourquoi, mais Tu as fait toute chose bien ! Que Ton nom soit loué et exalté ! ». La parole de Dieu doit toujours avoir raison.

Et nous devons nous habituer, et ça je me le dis à moi, je le pense vraiment comme ça : Premièrement et avec tout le sérieux, je dois apprendre à parler la langue de Dieu dans la foi, et à ne pas parler la langue humaine dans l’incrédulité. Dans les choses spirituelles, divines, nous devons parler le langage de la foi de Dieu, le langage divin. Et Paul a dit : « Je crois, c’est pour cette raison que je parle ! ». Et ça, c’est parfois facile de le dire, mais quand l’épreuve arrive, alors ce n’est plus facile de le dire, mais ça reste valable que Dieu est fidèle et que Ses intentions (Ses desseins), Il va les exécuter. Il dit encore (Paragraphe 57. N.d.l.r.) :

« Vous l’avez remarqué, comme d’ailleurs tous les chrétiens. Nous nous demandons pourquoi nous avons fait cela ».

On peut se poser la question mille fois, et qui donnera mille fois une réponse ? Ce qui est mieux, c’est de ne rien demander, de ne pas dire pourquoi, pourquoi, pourquoi, mais de dire : « Seigneur, Toi, Tu sais des choses ! Toi, Tu sais que je T’aime ». 

Et aujourd’hui, je devais penser à Pierre. Je crois que c’était Pierre qui a dit au Seigneur : « Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit ». C’est sûrement lui ou bien lui ou bien quelqu’un d’autre. En tout cas, dans le cœur, nous sommes convaincus et nous invitons le Seigneur, mais en nous-mêmes, nous disons : « Mais, Seigneur, ce n’est pas possible que Tu viennes sous mon toit ! », et de la même manière, tel que nous le disons de nos lèvres : « Seigneur, ce n’est pas possible que Tu viennes sous mon toit », nous désirons de tout notre cœur qu’Il vienne sous notre toit ! Et ça, Il le fait, car Il sait de quoi nous sommes faits et que nous ne pouvons pas nous aider nous-mêmes.

C’est pour cette raison que nous sommes dépendants de Son secours, de Son aide. Et quand Il aide, nous sommes vraiment aidés ! Et celui qu’Il sauve, il est vraiment sauvé ; et celui qui est aidé par Dieu, il est vraiment aidé comme frère Branham dit : « Pas jusqu’au prochain réveil, mais pour toute éternité ! ». Il y a beaucoup d’hommes qui croient aujourd’hui qu’ils sont sauvés et demain ils sont perdus, et on ne sait jamais quand est-ce qu’ils sont sauvés et quand est-ce qu’ils sont perdus. Nous devons tous comprendre une fois pour que Dieu ne nous a pas sauvés aujourd’hui pour nous perdre demain ! Il nous a déterminé au salut et à la vie éternelle avant même fondation du monde ; et nous avons reçu la vie éternelle par la foi en Jésus-Christ, notre Seigneur, par la grâce de Dieu. Ensuite il dit ici (Paragraphe 57. N.d.l.r.) :

« Autrefois, quand j’ai commencé à lire la Bible, je me suis demandé pourquoi Dieu avait laissé Abraham, ce grand homme, dire que Sara n’était pas sa femme ? Pourquoi l’a-t-Il laissé debout tandis qu’il mentait et faisait ces choses ? Pourquoi l’a-t-Il laissé quitter la terre promise alors qu’Il lui avait dit de ne pas le faire ? Tout Juif qui quitte la terre promise est un rétrograde parce que Dieu la leur avait donnée et leur avait promis d’y rester. Mais ils la quittèrent ».

Il continue ici encore avec Abraham. Vous pouvez tous lire vous-même. Et nous n’avons pas besoin de nous attarder sur ce qui est écrit quelque part ; mais nous savons, que ce soit l’escale en toi, en moi, en nous, ce n’est qu’une escale dans notre vie ici et là, et nous n’avons pas besoin de cela. Un chemin est fait pour y marcher sans escale ! Et Dieu nous a placé sur un nouveau chemin, et sur ce chemin, nous voulons marcher et aller de l’avant dans la foi, demeurer sur ce chemin. Ensuite il est dit ici (Paragraphe 59) :

« C’est difficile à comprendre, mais s’il n’en avait pas été ainsi, nous ne saurions pas ce qu’est la grâce ».

Je ne voudrais pas expressément continuer à lire. Je lis ici, plus tard, à la page 15 (Paragraphe 107) :

« J’ai eu la vision des deux endroits par la grâce de Dieu. (Je dis cela pour ne pas être blasphémateur, sacrilège, et si c’est faux, que Dieu me pardonne). Je crois avoir été dans ces deux endroits. Dans ces deux endroits j’ai vu ceux qui étaient rachetés et bénis et j’ai vu ceux qui étaient perdus et où ils étaient. C’est pourquoi aujourd’hui je me tiens auprès de vous en tant que frère pour vous avertir de fuir ce chemin qui descend vers le bas. Ne prenez jamais ce chemin ».

Vous savez, j’ai maintenant ces deux expériences. Dans son enfance, frère Branham avait reçu une balle dans ses deux jambes. Elle était tirée du pistolet de son ami (qui n’avait pas fait exprès), et après l’anesthésie, il ne pouvait plus se réveiller, il ne se voyait presque pas ; et il a vu les deux endroits : Il a vu l’endroit des perdus et il l’a décrit, et tous nous connaissons, n’est-ce pas, cette vision ou bien l’expérience là, derrière le voile du temps. Cet homme a dû voir ces deux endroits pour ne pas seulement dire aux gens par des paroles, mais d’une expérience personnelle, par conviction, de pouvoir dire aux gens : « Je vous avertis de fuir ce chemin qui descend vers le bas ». 

Et notre Seigneur a dit, n’est-ce pas, dans Matthieu 7 au chapitre 13, Il a dit : « Étroite est la porte, et étroit est le chemin qui mène à la vie et très peu sont ceux qui les trouvent ». Eh bien, oui, qui le trouve ? « Mais large est la porte, large est le chemin qui mène à la perdition et beaucoup sont ceux qui y marchent », le chemin mène à la perdition, celui qui va vers le bas. Et ici, il dit (Paragraphe 108 à 10) :

« Vous avez tout ce qu’il faut pour vivre et suivre ce chemin béni qui monte vers le haut, là où les rachetés jouissent de la paix, où ils ne peuvent plus pécher, ni éprouver de tristesse. Il n’y a plus rien de tout ça là-bas, ils sont parfaits ! J’ai vu ces deux endroits. Je sais que c’est une chose terrible à dire, mais Dieu est mon Juge, et je crois véritablement que j’ai vu ces deux endroits. Je le crois.

Oh, que personne ne pénètre jamais dans ces régions des perdus ! Si l’on vous transperçait de fers chauffés au rouge, ou que l’on vous torture de quelque manière que ce soit, ce ne serait pas à comparer avec les tourments diaboliques de ce lieu-là. L’esprit humain ne peut pas comprendre ce que c’est, ce qu’est le séjour des perdus. Il n’y a aucun moyen de l’expliquer. On ne peut pas davantage expliquer ce qu’est le séjour des bienheureux. C’est si glorieux ! L’un est tellement horrible et l’autre tellement glorieux ! Cela va du plus terrible au plus sublime ».

Est-ce que cela n’est pas une parole qui devrait toucher le cœur de tout homme ? Est-ce que quelqu’un devrait venir ressusciter des morts pour nous dire comment est-ce que c’est là-bas ou bien là-bas ? Notre Seigneur a dit dans Luc 16 : « Mais ils ont Moïse et les prophètes ; qu’ils puissent les écouter ; et s’ils ne les écoutent pas, ils n’écouteraient pas non plus si quelqu’un ressuscitait des morts pour leur rendre témoignage ».

Qui peut écouter ? L’homme à qui Dieu ouvre le cœur ! Beaucoup écoutent l’Évangile avec leurs oreilles naturelles, et ne le lient pas avec la foi dans leur âme et ne se laissent pas toucher par la parole de Dieu dans le profond de leur cœur et passent à côté. Aujourd’hui, Dieu fait à tous les hommes la plus grande offre qu’Il peut faire, et Il te laisse dire à toi et à moi, à nous tous : « À Golgotha, l’œuvre de la rédemption a été accomplie ! Personne n’a besoin d’aller dans le séjour des perdus, dans l’endroit des tourments ». Il y a la rédemption, il y a le salut, il y a le pardon, il y a la grâce en Jésus-Christ, notre Seigneur.

Qu’est-ce qui a été dit autrefois de l’homme riche ? [Il a dit] : « Abraham ! Envoie à mes frères quelqu’un, et qu’il leur dise qu’ils ne puissent pas venir dans cet endroit de tourment ». Dieu a un endroit qu’Il a préparé dans la gloire : C’est là qu’est notre place ! C’est là, c’est à ça que nous sommes déterminés ! Et notre Sauveur disait : « Je vais vous préparer une place, et Je reviens pour vous prendre auprès de Moi ».

Bien-aimés frères et sœurs, bien-aimés amis, ça ne suffit pas d’être religieux, ça ne suffit pas seulement d’écouter la parole de Dieu. Nous voulons ensemble demander à Dieu de nous accorder Sa grâce d’une telle manière puissante que tout en nous soit changé, transformé, renouvelé, et que notre vie soit saisie par Dieu, que notre âme soit pénétrée de Sa puissance et que nous puissions, par la grâce de Dieu, aboutir à une nouvelle vie. Je voudrais aussi lire cela encore ici parce que cela va ensemble (Paragraphe 110 à 111) :

« Je me fais vieux. Je ne sais pas combien de temps il me reste à vivre. Vous tous qui m’écoutez, je vais sur mes cinquante-cinq ans, et peut-être que, selon la nature, il ne me reste plus beaucoup d’années à vivre. Je ne sais pas où ira cet enregistrement, mais je dis ceci à tous ceux qui entendront cette bande, là où elle ira : N’allez jamais dans la direction de ce séjour des perdus ! Vous ne pouvez imaginer à quel point l’enfer est terrible ! Et quoi que vous fassiez, n’oubliez jamais que le séjour des bienheureux… Je vous le dis avec Paul : Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment.

C’est pourquoi, si vous êtes en train d’écouter cette bande, arrêtez l’enregistrement, repentez-vous si vous n’êtes pas encore sauvés et mettez-vous en ordre avec Dieu ! Je dis cela par expérience personnelle, directe que j’avais eue, comme je le crois de tout mon cœur ».

Nous ressentons le sérieux dans ces paroles. Et parfois, je souhaiterais que nous puissions tous comprendre l’anglais pour entendre le ton de sa voix, et comment est-ce qu’il insiste dans ces différentes déclarations. D’un côté, quand on lit on ne se représente pas toujours le ton de la voix de celui qui a prêché, mais celui qui a vraiment écouté cette prédication, il sait avec quelle profondeur, avec quelle consécration et saisi par l’Esprit, cette prédication a été tenue pour montrer aux hommes le chemin du salut, la voie du salut, et leur dire qu’ils ne puissent jamais suivre le chemin qui mène à la perdition.  

Parfois, il est dit qu’on fait peur aux gens quand on parle de ces choses. Personne ne devrait avoir peur ! On ne devrait faire peur à personne. La peur va venir d’elle-même, et les tourments et les problèmes. Mais je vous dis, tout ceux qui ont écouté seront reconnaissants dans la gloire d’avoir permis au Seigneur d’avoir touché leur cœur, d’avoir accepté l’avertissement, d’avoir cru à l’Évangile de Jésus-Christ ! Ils vont remercier de ce que l’Évangile leur a été prêché ! 

Et si rien d'autre ne se produit ce soir (nous ne sommes même pas entrés dans le sujet même de cette prédication) ça va venir plus tard. À mon avis, ces choses que nous avons observées jusqu’à maintenant sont d’une grande signification. Et, remarquez-vous ? Frère Branham dit : « Je parle aujourd’hui sur le sujet des âmes qui sont en prison maintenant » (Paragraphe 29) et il n’a même pas encore commencé à parler des âmes qui sont en prison ! Il s’occupe plutôt de toi et de moi qui vivons encore, et il nous annonce la parole du Seigneur par l’Évangile, la grâce, le salut et la vie éternelle, et il nous dit (Paragraphe 107) : 

« Écoutez, j’étais là-bas en bas, j’ai vu dans ce séjour de tourment, j’ai vécu cette douleur, et Dieu m’a laissé aller là-bas pour vous avertir pour que vous ne puissiez jamais arriver à cet endroit là-bas, à la perdition ».

Nous voulons recevoir ça sincèrement dans notre cœur, et remercier le Seigneur pour cela, de ce qu’Il a tant de grâce pour nous, et un tel amour qu’Il emploie toujours de nouveau pour nous attirer à Lui ! Et déjà la parole de l’Ancien Testament : « Par amour Je t’ai attiré à moi, et Je t’ai appelé de ton nom : Tu es à Moi ». Nous sommes la propriété du Seigneur, nous appartenons au Seigneur ! Il a payé le prix sur la croix à Golgotha, il n’y a plus de possibilité de négocier avec l’adversaire à ton sujet et à mon sujet. Notre Seigneur n’est pas venu pour négocier avec l’adversaire. Il est venu pour te sauver, te faire sortir de la mort et de la perdition, pour te faire grâce, pour me faire grâce et pour nous accorder la vie éternelle. 

Nous croyons en la victoire de notre Seigneur qui a été accomplie sur la croix à Golgotha. Notre Seigneur a dit : « C’est accompli ! », le rideau du temple s’est déchiré, et les rochers ont sauté ; et les hommes devaient reconnaître : « Ici s’accomplit une œuvre du salut » ; et leurs yeux étaient encore fermés mais les nôtres et beaucoup d’autres ont été ouverts. 

Nous voulons aujourd’hui remercier notre Dieu de tout notre cœur pour cela, de ce qu’Il nous a accordé ce privilège dans cet âge dans lequel nous vivons, d’avoir reçu Sa parole, de faire la différence entre Sa voix et celle de toutes les autres voix et de ne pas les écouter, mais d’écouter seulement Sa parole ; et de ne pas seulement écouter Sa voix, mais d’obéir à Sa voix. Et aujourd’hui, Dieu, par le sang de l’Agneau, par Sa parole et par Son Esprit, veut faire de grandes choses puissantes en toi et en moi, Il veut produire des choses puissantes. Aujourd’hui, ce soir, Il veut nous dire : « Petit enfant ! Ma parole ne revient jamais sans effet à Moi. Je vous l’ai envoyée, et ma parole doit produire l’effet pour lequel Je l’ai envoyée en tous ceux qui la croient, et exécuter Ma volonté ».

Pouvons-nous croire cela ? Que la parole de Dieu est une parole créatrice puissante, agissante et qu’elle est capable de faire ce qui nous semble impossible. Nous avons affaire au Dieu Tout-Puissant qui, par Sa parole, a appelé toutes choses à l’existence. C’est une petite chose pour Lui de faire de toi et de moi de vrais enfants de Dieu. N’essayez pas de vous-même, vous ne pourrez jamais ! Mais remettez-vous entre les mains de Dieu et dites : « Seigneur ! Produit tout en moi, avec moi et en moi, produit en moi tout ce qui T’est agréable ! Me voici tel que je suis ! Je ne suis pas digne de ce que Tu viennes sous mon toit », et en même temps, nous avons ce désire : « Oh ! Viens, entre sous notre toit ! Même si nous ne sommes pas dignes ! Viens sous notre toit ! ». Et quand Il entre alors, Il dit : « Aujourd’hui cette maison a reçu le salut de notre Dieu ». 

Acceptons-le ce soir de la main de Dieu Lui-même et le Seigneur nous bénira ensemble. Amen !