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Ewald Frank

Krefeld le 24 août 1983 à 19 heures 30

Luc 18 : 15-17 : LAISSEZ VENIR À MOI LES PETITS ENFANTS, CAR LE ROYAUME DE DIEU EST PRÉPARÉ POUR CEUX QUI LEUR RESSEMBLENT

(Retransmis le 26 avril 2025)

[Introduction]

Avant de nous lever pour la prière commune, je voudrais lire une parole de Dieu dans l'évangile de Jean au chapitre 12, les paroles de Notre Seigneur à partir du verset 35. Jean 12 verset 35, lisons :

« Jésus leur dit : La lumière est encore pour un peu de temps au milieu de vous. Marchez dans la lumière, pendant que vous avez encore la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point : celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va. Pendant que vous avez encore la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière. Jésus dit ces choses, puis il s'en alla, et se cacha loin d'eux. 

Malgré tant de miracles qu'il avait faits en leur présence, ils ne croyaient pas en lui, afin que s'accomplisse la parole qu'Esaïe, le prophète, a prononcée : Seigneur, qui a cru à notre prédication ? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé ? Aussi ne pouvaient-ils croire, car Esaïe a dit ailleurs : Il a aveuglé leurs yeux ; et il a endurci leur cœur, de peur qu'ils ne voient des yeux, qu'ils ne comprennent du cœur, qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. Ainsi parla Esaïe, parce qu'il vit sa gloire et qu'il parla de lui. Cependant, même parmi les chefs, beaucoup crurent en lui ; mais, ils ne le confessaient pas ouvertement à cause des pharisiens, de peur d'être exclus. Car ils cherchèrent et aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu. 

Mais Jésus s'écria : Celui qui croit en moi croit, non pas en moi, mais en celui qui m'a envoyé ; et celui qui me voit voit celui qui m'a envoyé. Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu'un entend mes paroles et ne les met pas en pratique, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a lui-même donné un ordre sur ce que je dois dire et annoncer. Et je sais que son mandat signifie la vie éternelle. Ce que je dis donc, je le dis comme le Père me l'a dit ».

Jusqu'à ici, ces paroles précieuses, saintes et chères de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Je pense que ces paroles appelaient les gens de cette époque à croire au Seigneur, à croire en la lumière, à croire au salut qui leur était offert par grâce. 

Mais, comme nous avons lu ici au verset 37 : « Bien qu'Il ait accompli tant de signes et de miracles sous leurs yeux, ils ne crurent pas en Lui ». N'est-ce pas étrange, chers frères et sœurs ? Ils ont vu les plus grands miracles, les choses les plus glorieuses qu'un homme n’ait jamais accomplies, ils ont été témoins oculaires de Ses miracles, et pourtant il est toujours écrit : Ils n'ont pas cru. Mais nous avons aussi lu pourquoi ils n'ont pas cru.

Chers frères et sœurs, je ne sais pas, mais quand il s'agit de la foi et des paroles qui ont été prononcées en ces jours-là, et que le Seigneur dit : « Et si quelqu'un entend Mes paroles et ne les observe pas » ; je pense que nous avons écouté Ses paroles en ces jours-ci. Nous avons entendu Sa parole, et je pense que nous devrions faire partie de ceux qui la mettent en pratique, qui croient en Sa parole, qui croient Sa parole, qui l'acceptent, qui la prennent à cœur, et qui la mettent en pratique.

Que Dieu nous accorde la grâce d'être ceux qui ne verront pas Sa parole s'accomplir en eux comme pour ceux qui, bien qu'ils aient beaucoup entendu et beaucoup vu, n'ont pas cru. Chers frères et sœurs, avançons avec foi, dans la foi et dans la confiance devant le Seigneur quoi qu'il arrive. Même si nous ne voyons pas de signe ni de miracle, croyons à la parole qu'Il nous a adressée en ces derniers jours.

Mais je pense que le Seigneur n'a pas manqué de nous donner Sa parole, et qu'Il n'a pas non plus manqué de faire intervenir des miracles et des signes même de nos jours, comme au commencement. Et nous ne pouvons pas Lui dicter ce qu'Il doit faire, mais persévérons dans la parole, restons dans la lumière de la parole dans laquelle Il nous a conduit, et tenons-nous fermement à la parole, afin de savoir où nous allons. Celui qui ne marche pas dans la lumière ne sait pas où il va, mais marchons dans la lumière, afin de savoir où nous allons.

Loué soit le nom glorieux de notre Seigneur ! Et ainsi, frères et sœurs, ce soir aussi, nous sommes venus pour rendre gloire et louange à Son nom glorieux. Levons-nous ensemble, et adorons-le, et demandons Sa bénédiction.

Ô Seigneur fidèle ! Nous sommes à nouveau réunis ce soir au nom de notre Seigneur Jésus. Nous Te remercions de tout cœur pour Ta parole précieuse et sainte, que Tu as proclamée en ces jours. Seigneur fidèle, combien peu ont suivi et cru ! Seigneur, nous voyons qu'aujourd'hui encore, rares sont ceux qui croient Ta parole, bien que Tu aies accompli des signes et des miracles puissants, bien que Tu Te sois montré puissant, ils sont aussi peu nombreux, ô Seigneur. Mais accorde la grâce, ô Seigneur, à ceux qui croient ! Ô Seigneur, accorde la grâce à ceux qui sont encore restés.

Ô Dieu fidèle ! Nous Te prions encore, accorde-moi Ta grâce, accorde-nous à tous Ta grâce, Seigneur, en ces jours, ô Seigneur, afin que nous levions nos regards vers Toi, et que nous nous accrochions à ce que Tu as dit, Seigneur, car Ta parole est Esprit et vie, Seigneur, comme tu L'as dit, car je n'ai pas parlé de moi-même, as-Tu dit, mais le Père qui est en moi. Oui, mon Dieu, nous croyons en Toi de tout notre cœur ; et Tu as accompli ce mandat, ô Seigneur, et Tu as réalisé ce pour quoi Tu as été envoyé.

Fais que nous aussi, Seigneur, nous réalisions ce pour quoi nous sommes destinés, ô Seigneur. Ô Seigneur, et Tu as dit si merveilleusement que cet ordre, ce mandat signifie la vie éternelle. Ô Seigneur, merci de nous permettre de croire de tout notre cœur que Tu nous as donné la vie éternelle. Gloire à Toi et merci à Toi !

Reste avec nous, Seigneur, même maintenant, et bénis tous ceux qui sont ici ce soir, ainsi que ceux qui ne peuvent être présents. Seigneur, nous croyons en Toi et nous Te faisons confiance de tout notre cœur, au nom de Jésus. Amen !

[Frère Frank]

Eh bien, nous sommes profondément reconnaissants envers le Seigneur. Aujourd'hui a été une journée merveilleuse pour nous. 

Vous avez certainement entendu parler de l'article paru dans le journal samedi dernier, nos deux sœurs d'Irak ont eu quelques problèmes, surtout l'une d'entre elles ; et vous savez que lorsqu'une personne se retrouve dans les rouages des tribunaux allemands, des tribunaux de tutelle et des autorités, alors elle est broyée. Mais avec l'aide de Dieu, Il nous a montré le bon chemin, nous l'avons suivi ; et aujourd'hui, la mère est déjà en possession de son enfant. C'est un véritable miracle. Nous n'arrivons toujours pas à le croire.

Ce matin à huit heures, il y a eu la première audience, et j'étais le juge lors de cette audience. C'était comme ça, c'était comme ça. Et le juge, le juge des mineurs et toutes les personnes concernées ont écouté et c'était très très bien. Et cet après-midi, nous sommes allés chercher l'enfant, et nous voulons le consacrer au Seigneur ce soir.

Notre sœur… nous nous sommes agenouillés tous les trois hier soir ou avant-hier soir. Quand elle était plus jeune, la jeune sœur, elle allait toujours aux réunions et servait le Seigneur. Et puis, comme nous tous, elle a suivi un peu son propre chemin ; et elle sait que le Seigneur la ramène avec puissance sur Son chemin.

Et je lui ai dit : « Écoute ! Tu es mère, et tu t'inquiètes pour ton enfant, tu te bats, tu veux l'avoir parce que tu es mère ! » ; et j’ai dit : « Et Dieu ! Il est ton père, et Il s'inquiète encore plus pour toi. Comprend ce que Dieu a prévu pour toi ». Et cette sœur qui est assise là, c'est une enfant de Dieu très chère, c'est vrai ; et nous nous sommes agenouillés tous les trois et avons prié, et la présence du Seigneur était là. Ainsi, nous consacrerons l'enfant au Seigneur aujourd'hui, et nous croyons qu'il est béni.

La mère a parlé aujourd'hui avec le père de l'enfant, et si Dieu le veut, ils seront bientôt ensemble. On ne peut pas entrer dans les détails. Parfois les chemins sont un peu différents de ce qu'ils sont généralement, mais le chemin les a ramenés au Seigneur. Et là, on ne se demande plus pourquoi et comment, mais on remercie le Seigneur d'avoir conduit de manière merveilleuse.

Aujourd'hui, une sœur est ici pour la première fois. Elle est assise ici devant avec notre frère italien. Elle a entendu que nous prions pour les malades ; et nous le faisons par conviction et de tout cœur, et nous croyons que Dieu tient parole. Si je ne me trompe pas, la sœur assise sur le côté et qui vient de la République tchèque, a été guérie il y a quelque temps d'un cancer au cerveau ou d'une maladie similaire. Elle a maintenant sans doute une autre requête. Et quand nous prierons tout à l'heure, que ceux qui ont la foi et qui savent que le Seigneur tient parole, viennent devant.

Nous avons déjà lu dans l'évangile de Jean que beaucoup ne croyaient pas malgré les miracles ; et il y a des gens qui croient aux miracles, même en notre époque. Mais la foi aux miracles n'a encore jamais sauvé personne ! La foi en Jésus-Christ et en la puissance de Dieu par laquelle le salut, la guérison et les miracles de la grâce se produisent, c'est ce qu'il faut. Beaucoup seront plus que surpris d'avoir cru aux miracles ce jour-là, parce qu'ils ne seront pas là où ils pensaient être.

L'ordre biblique n'est pas seulement le meilleur, il est le seul qui soit juste. Nous ne croyons pas aux miracles. Nous croyons Dieu qui tient parole, et qui est capable de faire des miracles ; nous croyons que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, et éternellement ; qu'Il ne peut ni les renier, ni les changer, et qu'Il tient parole. Que Dieu fasse de cette parole que nous avons écoutée attentivement une bénédiction pour nous ! Peut-être pouvons-nous y réfléchir encore et la méditer un peu avant de prier.

Ici, dans l'évangile de Jean, nous avons lu le douzième chapitre tous ensemble…

Mais je viens de m'en souvenir, je vois que la sœur a un foulard sur la tête ; et il se pourrait qu'elle pense dans son cœur, si elle regarde un peu à droite, que les sœurs présentes ici n'ont pas de foulard. Ne prenez pas cela comme une bizarrerie, car la Bible ne prescrit pas le port du foulard. Il est en effet littéralement dit que les cheveux longs sont donnés à la femme pour couvrir sa tête ou pour faire un voile. Je sais que dans toute l'Europe de l'Est, partout, que ce soit en Yougoslavie, en République Tchèque, en Russie, en Roumanie où que ce soit jusqu'en Inde, les gens portent un voile, un foulard ; mais c'est une coutume catholique, et non un enseignement biblique. Je dis cela pour que ta foi ne soit pas troublée, ma sœur, pour que tu ne te dises pas : « Attends, s'ils ne font pas ici selon la parole de Dieu, comment Dieu va-t-Il répondre à leur prière ? ». Si, si. Ils agissent ici selon la parole de Dieu, dans la mesure de leur possibilité ; et je vous donne à toutes les deux les passages de la Bible, afin que vous puissiez les lire. Et je le fais uniquement pour éliminer un obstacle, afin que rien ne vienne entraver votre foi. Je voulais que cela soit passé sous silence, et pourtant on me l'a rappelé. 1 Corinthiens chapitre 11 verset 3, il est dit :

« Je veux que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête couverte, déshonore son chef. Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête découverte, déshonore sa tête ».

Si ce verset ici était le seul, chacun aurait le droit de se couvrir la tête d'un foulard, d'un mouchoir, d'un châle ou d'un manteau ; mais pour ce verset, il faut lire ensuite les versets 12 et 13. Et voici ce que dit le verset 13 :

« Jugez par vous-mêmes : est-il convenable qu'une femme prie Dieu sans se voiler ? Et votre sentiment naturel, ne vous enseigne-t-il pas que si un homme porte les cheveux longs, c'est une honte pour lui, tandis que si une femme porte les cheveux longs, c'est un honneur pour elle, car les cheveux longs lui ont été donnés comme voile ? ».

Telle est la parole de Dieu ! Nous ne pouvons rien dire d'autre. Tout le monde peut mettre un chapeau, tout le monde peut porter un foulard, n'est-ce pas, vous pouvez tous faire ce que vous voulez, mais celle qui veut accomplir la parole de Dieu doit laisser pousser ses cheveux, car tout comme les pieds sont pour marcher, les oreilles pour entendre et les yeux pour voir, les cheveux longs de la femme ont été donnés pour la couverture. Je ne peux pas mettre mes pieds dans ma poche et marcher, ça ne marche pas. Les cheveux longs ont été donnés à la femme pour la couverture.

Ceci, c’est uniquement pour que tu puisses, chère sœur, avoir l'aide de Dieu pour surmonter si facilement cet obstacle dès le premier soir. Cela a été fait avec amour, et ainsi que cela a été reçu.

Ici dans l'évangile de Jean, nous avons entendu des pensées précieuses. Jésus s'écria d'une voix forte : « Celui qui croit en Moi ne croit pas en Moi, mais à celui qui m'a envoyé ». Donc, la foi d'un croyant est toujours la foi en un seul vrai Dieu, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Il est également écrit ici, au verset 46 :

« Je suis venu dans le monde comme une lumière, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde pas, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a lui-même donné un ordre sur ce que je dois dire et sur ce que je dois annoncer. Et je sais que son ordre signifie la vie éternelle. Ce que je dis donc, je le dis comme le Père me l'a dit ».

Oh ! Si seulement cette parole pouvait s'accomplir en moi et en nous qui avons le privilège de proclamer la parole de Dieu ! Que ce ne soit pas nous qui parlions, mais que ce soit Dieu Lui-même qui puisse parler et agir à travers moi et à travers toi, nous qui nous servons de Sa parole et sommes à Son service ; car c'est seulement ainsi que nous pourrons subsister devant Dieu.

Jésus était Prophète en tant que Fils de l'homme ; et, en tant que prophète, Il a été envoyé pour que l'Écriture s'accomplisse par Lui. De cette manière, Il a prié, Il a lutté, Il a supplié. Il était homme et Il a été conçu et trouvé comme un homme, mais Dieu était en Lui. Dieu est Esprit ; et, en tant qu'Esprit, Dieu a pris demeure dans ce corps de chair. C'est pourquoi notre Seigneur a pu dire : « Celui qui m'entend ne m'entend pas Moi, mais celui qui M'a envoyé ; et celui qui Me voit ne Me voit pas Moi, mais celui qui m'a envoyé ». Oui, Il pouvait dire : « Celui qui Me voit, voit le Père ». Il a proclamé la parole, et a dit : « Je ne suis pas venu pour juger mais pour sauver, pour béatifier, pour racheter, pour apporter la grâce et le salut ». Mais, Il annonce que celui qui ne croit pas en Sa parole sera jugé au dernier jour, non par Lui, mais par la parole qu'Il a proclamée. C'est aussi une déclaration très importante ; et puis vient la plus importante qui dit au verset 50 de Jean 12 :

« Et je sais que son mandat signifie la vie éternelle ».

Pas seulement les miracles et les signes, pas seulement les guérisons, pas seulement l'enseignement, pas seulement les paraboles, mais la somme de tout cela, c'est la vie éternelle pour ceux qui croient au Fils de Dieu, qu'Il est notre Sauveur et notre Rédempteur.

Être lié à un véritable mandat de Dieu, n'est pas seulement être lié un enseignement et une connaissance, à un nouveau mouvement communautaire, mais à un enseignement divin, à une communion avec Dieu et à la vie éternelle pour ceux qui reçoivent en eux la proclamation de la parole de Dieu. Et c'est là une caractéristique très sûre d'une proclamation directe par un mandat reçu de Dieu. On peut le constater très rapidement, surtout de nos jours où les gens se spécialisent dans toutes sortes de domaines.

Et je suis tout à fait honnête, je ne sais pas comment on peut encore classer ce qu'ils disent, mais une personne qui perd de vue le salut des âmes et le salut de l'humanité, et se lance dans des connaissances particulières et ses propres enseignements, se perd dans tout cela, et ne montrera à aucune âme le chemin vers le Christ ! Et le zèle et plus généralement ce qui fait partie de l'ordre de Dieu, du mandat de Dieu, à savoir la proclamation du salut et de la béatitude, se perdent alors.

Et c'est pourquoi je ne suis pas vraiment surpris quand je lis cette parole et que j'y réfléchis, de voir que tous ceux qui se sont écartés de la parole de Dieu, même s'ils se réclament du grand ministère d'un prophète de Dieu, mais qui cèdent à leurs propres pensées, disent que le temps de la grâce est déjà terminé et bien d'autres choses encore ! Et ici, nous avons lu :

« Et je sais que son mandat signifie la vie éternelle ».

Il n'y a pas de mandat divin qui ne soit fondé ou basé que sur une révélation, une connaissance ou un enseignement particulier, mais l'essentiel dans un mandat divin, est que les hommes entrent dans le royaume de Dieu, et reçoivent la vie éternelle, par la foi en Jésus-Christ. Oui, nous pouvons tous dire amen, car c'est ainsi. Il est également dit au verset 50 :

« Ce que je dis, je le dis comme le Père me l'a dit ».

Ce ne sont pas seulement des suppositions, mais des paroles de Dieu qui ont été proclamées par le Seigneur, par tous les prophètes. Et Paul écrit : « Vous avez reçu la parole que nous vous avons annoncée, non pas comme venant de l'homme, mais comme venant de Dieu tel que cela est réellement le cas ». Et ce n'est pas seulement une déclaration. Ses paroles ont un poids divin. Et quand il dit dans Galates 1 : « Je n'ai pas reçu l'Évangile par une formation ou par l'enseignement des hommes, mais par une révélation de Dieu », c'est tout autre chose que lorsque les hommes pensent devoir faire quelque chose.

Deux passages de la Bible font partie de ce verset dans lequel il est écrit (verset 49) : « Et Il m'a donné le mandat en me disant ce que je dois dire et annoncer. (verset 50) ensuite Il dit : Et je sais que Son ordre, Son mandat signifie la vie éternelle. C'est pour cette raison que je le dis tel que le Père me l'a dit ». Ouvrons le chapitre 17, et nous y trouvons ici la vie éternelle. Chapitre 17 verset 3 :

« Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ».

Je pensais justement à cela tout à l'heure, et je me le suis dit tout bas : Les gens qui n'ont entendu parler que de Dieu, ne le connaissent pas, et Lui ne les connaît pas non plus ! Mais les personnes qu'Il a appelées, auxquelles Il a parlé, à qui Il S'est révélé, elles sont connues de Lui et elles l'ont également reconnu en même temps. 

Imaginez maintenant que si la vie éternelle, comme le dit ce verset, dépend de notre reconnaissance du lien avec Dieu et de Christ, car c'est ce qui est écrit ici : « C'est en cela que consiste », vous connaissez tous les arguments. Pour nous, il n'y a pas d'argument, mais c'est une merveilleuse révélation du Dieu vivant qui nous a été donnée, par grâce. Nous le reconnaissons, Lui, le seul vrai Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu de tous les prophètes, oui, le seul Dieu qui existe ; et nous reconnaissons Jésus-Christ notre Seigneur qu'Il a envoyé en prenant la forme d'un homme, en nous réconciliant avec Lui-même. Nous voyons que Dieu a dû Se révéler, Se manifester dans la chair, pour nous racheter, nous qui sommes dans la chair. Mais Il reste malgré tout Dieu pour toute éternité.

Un autre passage qui va dans le même sens, et qui ne nécessite aucune interprétation, se trouve dans le chapitre 5 de la première épître de Jean. 1 Jean chapitre 5, verset 19 :

« Nous savons que nous sommes de Dieu (oui, c’est juste), nous savons que nous sommes de Dieu et que le monde entier est sous la puissance du malin. Mais nous savons que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable en son Fils Jésus-Christ. Celui-ci est le Dieu véritable, et la vie éternelle ».

Dans l'évangile de Jean, au chapitre 17, il est dit : « Afin qu'ils Te connaissent, Toi, le seul vrai Dieu, Toi, le seul vrai Dieu », et ici nous avons lu : « Il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable en son Fils Jésus-Christ. Celui-ci est le véritable Dieu et la vie éternelle ». Si vous vous sentez inspiré pour réfléchir un peu à ce sujet, ou si vous avez des questions, posez-les aux apôtres et au Seigneur ! Nous croyons chaque parole telle qu'elle est écrite.

J'aimerais revenir brièvement sur Luc chapitre 18, dans le contexte de la bénédiction des enfants. Cette parole est devenue importante pour moi et aussi ce qui se trouve avant et après. Vous savez que notre Seigneur avait un ministère très étendu ; en fait, Il ne S'était spécialisé dans aucun domaine, mais Il a toujours assumé tous les services : Lorsqu'il fallait guérir des malades, Il guérissait ; Il a ressuscité des morts, purifié des lépreux, rendu la vue aux aveugles, guérit des malades, réprimandé des pharisiens. Dans toutes les situations, Son ministère n'était pas unilatéral. Il était si vaste qu'il englobait tout.

Parfois, les frères ont un ministère très spécifique. Et quelqu'un m'a demandé lors de mon dernier voyage, que ce soit en Norvège ou en Finlande, s'il était normal que les gens tombent tous lorsqu'un certain évangéliste les touche. J'ai demandé : « Est-ce qu'ils tombent vraiment tous, du premier au dernier, ils tombent tous ? ». « Oui ». « Alors, dis-je, ils vont déjà devant avec l'idée et l'attente qu'ils vont tomber ! ». Et il a continué à demander : « Est-ce que c'est seulement la puissance de Dieu ? ». La puissance de Dieu ne fait pas tomber les gens ! La puissance de Dieu nous redresse ! Mais ce sont des choses que les hommes manipulent.

Et le fait est que, quand une centaine de personnes, j'ai moi-même observé, pas maintenant en Norvège, mais de temps en temps je suis quelque part et je ne vous le dis pas, mais je vois de temps en temps ce qui se passe sur le marché religieux. Et, en effet, les évangélistes tendent la main, et les gens tombent ! Mais derrière, il y a déjà des femmes et des hommes qui les rattrapent gentiment et les déposent doucement par terre ! Personne ne tombe complètement. Ils ne prennent pas le risque, personne ne tombe complètement ! Ils ont déjà pris leur disposition pour ne pas faire trop confiance à Dieu. On le voit à la façon dont ils se tiennent en rang à l'arrière, à droite et à gauche, et puis ils attendent. J'ai regardé, tac, puis ils sont rattrapés très élégamment, comme un enfant, comme un bébé est joliment couché. Ils sont tous couchés comme ça, et puis d'autres les relèvent à tour de rôle pour faire de la place pour les nouveaux, et c'est ainsi que la soirée se déroule. Mais, tout cela n'a rien à voir avec Dieu et Sa parole.

Et vous seriez étonné ! C'était un homme qui est maintenant auprès du Seigneur, et c'était un grand faiseur de miracles. Et Dieu a fait les plus grands miracles et signes ; et l'homme lui-même était un imposteur ! Et je connaissais l'homme qu'il avait interpellé, puis un homme est arrivé, il n'avait pas de jambes, il n'avait que des moignons au-dessus des genoux, et ils l'ont amené ; et ce brave homme le regarde et lui dit : « Quelle taille aimerais-tu avoir ? Tes jambes seront aussi longues », et il dit : « D'accord. Une mètre septante huit », juste pour avoir une mesure ; et il dit : « Bien, tu devras mesurer un mètre septante huit ». Ils ont envoyé les frères acheter un costume, ils ont habillé cet homme avec le costume, ils l'ont amené ici, et figurez-vous que dans le film, on voit que les jambes de cet homme s'allongent et que le costume lui va parfaitement, pantalon et tout ! Et tout cela n'était que des trucages et n'avait rien à voir avec la vérité et la réalité. Et quand l'un des collaborateurs a quitté l'entreprise, il lui a dit : « Écoute, pourquoi as-tu fait ça ? Ce n'est pas juste devant Dieu ». Et il a répondu : « Penses-tu que les gens auraient pu croire si cela n'avait pas été fait de cette manière ? ». 

Ce jour-là, beaucoup viendront et pourront dire beaucoup de choses. Nous pouvons nous passer de tout cela. Et ici on ne fait pas de tour de passe-passe et rien, à moins que Dieu ne le fasse. Et nous n'attendons pas en vain. Notre Dieu a toujours la même puissance aujourd'hui. 

Ici, si nous ouvrons les chapitres les uns après les autres, nous voyons que le Seigneur a pardonné les péchés, a libéré les possédés, a guéri les malades, a béni les enfants. Il a fait tout ce qui était nécessaire en tous ceux qui Lui ont été apportés. Et quand cette pensée a grandi en moi, je me suis dit : « Ô Seigneur fidèle ! Si seulement Tu pouvais accomplir un tel ministère aussi vaste, englobant tous les domaines, par Ton corps, par l'Église en ces derniers jours ! ». Regardez, ici au début du chapitre 18 de Luc, ou peut-être juste pour lire les versets 6 et 7, ou juste le verset 7, il est dit, Luc 18 verset 7 :

« Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, même s’il use de patience avec eux ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais le Fils de l'homme, quand Il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? ». 

Pas seulement la foi, mais cette foi-là, la foi en Lui et en Sa parole. Il rendra justice aux élus, telle est la pensée. Maintenant au verset 9, directement nous lisons :

« Il présenta ensuite la parabole suivante à certains qui étaient convaincus de leur propre justice, et méprisaient les autres : Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l'un était pharisien, et l'autre douanier ».

Nous connaissons tous cette prière, et nous remarquons comment notre Seigneur a changé de sujet, comment Il a rendu justice à tous les auditeurs, comment Il a su dire aux orgueilleux ce qui leur était dû, aux humbles pour les élever, aux orgueilleux pour les abaisser, aux malades pour les guérir, aux égarés pour les sauver. Partout, chaque jour de Son ministère, notre Seigneur savait ce qu'Il devait dire, ce qu'Il devait faire pour répondre aux besoins de Son auditoire. Et c'est un tel ministère que je me souhaite et que je nous souhaite par grâce, afin que le Seigneur puisse répondre à tous nos besoins. Comme c'est bien formulé ici ! Verset 9 :

« Il présenta ensuite la parabole suivante à certains qui étaient convaincus de leur propre justice, et méprisaient les autres ».

Oui, cela n'existe certainement plus aujourd'hui, mais ce n'est pas pour autant que c'est moins vrai. Mais ce n'est pas pour autant que c'est moins vrai. Et Il poursuit en citant la parabole suivante. Il ne s'adressait à personne en particulier en disant : « Écoute, toi tu es untel, tu méprises les autres, Je vais maintenant te faire la leçon ». Non, Il a joliment emballé le tout dans une parabole, et a ensuite transmis le paquet. Les gens pouvaient alors l'ouvrir et se laisser surprendre, car il est écrit ici : « La parabole suivante ». Partout où il est question d'une parabole, le vrai contenu est justement emballé dans cette parabole.

Et puis nous savons aussi que celui-ci, comme il est dit, s'est alors frappé la poitrine ; le collecteur d'impôts, en revanche, se tenait à distance. Il n'est pas allé jusqu'à l'autel, il est resté tout au fond. Quand il entendit prier, tout lui échappa, il resta tout au fond, et quand il eut fini, il regarda de loin et dit, il se frappa la poitrine : « Que Dieu ait pitié de moi, pécheur ». Il se frappait la poitrine et dit : que Dieu ait pitié de moi, pécheur. Maintenant le verset 14 : 

« Je vous le dis, celui-ci s’en alla justifié dans sa maison, et l’autre non. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé ».

La bénédiction des enfants suit immédiatement, au verset 15 :

« Les gens lui amenaient aussi leurs petits enfants, pour qu'il les touche. Voyant cela, les disciples reprenaient ceux qui les amenaient. Et Jésus les appela à Lui, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; car le royaume de Dieu est destiné à ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, celui qui ne recevra pas le royaume de Dieu comme un enfant n'y entrera certainement pas ».

De la bénédiction des enfants et la réaction des disciples, le Seigneur a donné déjà ici une grande leçon. Il n'a pas dit : « Écoutez, qu'est-ce que vous faites là ? », Il n'a pas fait de sermons de morale, mais a dit : « Écoutez, en vérité Je vous le dis, celui qui ne reçoit pas le royaume de Dieu comme un enfant ». Qu'est-ce que c'était ? Les mères avaient compris que le Seigneur pouvait bénir, guérir, sauver, aider, et elles se sont pressées pour que le Seigneur bénisse leurs enfants. Et les vraies mères veulent encore aujourd'hui que leurs enfants soient bénis par la bénédiction du Dieu vivant.

Les gens amenaient leurs petits enfants pour qu'Il les touche, pour qu'Il les bénisse ; les disciples se disaient : « Il a bien assez à faire ! Que comprennent les enfants ? ». Il ne s'agissait pas de comprendre, il s'agissait d'être béni, d'être consacré à Dieu. Et le Seigneur donne la leçon aux adultes, et dit : « Si vous n'acceptez pas le royaume de Dieu comme ces enfants, alors vous n'y entrerez certainement pas ! ». Ils avaient la réflexion. Il s'agissait ici uniquement de consécration, de bénédiction, d'appartenir à Dieu.

Et c'est ce que le Seigneur a fait à l'époque et nous fait également savoir la leçon aujourd'hui : Le royaume de Dieu est destiné à ceux qui sont comme eux, celles qui, comme le cœur d'une mère, ont amené l'enfant au Seigneur. Si nous amenons ainsi les hommes dans le royaume de Dieu, si nous ressentons pour eux ce qu'une mère ressent pour son enfant. Avons-nous compris le sens ici ? Il n'est pas si facile à comprendre, que tout le monde puisse le saisir. Il est un peu caché ici. Lisez donc ce qui est écrit ici. Verset 16 :

« Mais Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; car le royaume de Dieu est destiné à ceux qui leur ressemblent ».

Les nourrissons et les petits enfants, sont-ils venus seuls ? Ils ont été amenés soit par leurs parents, soit par leur mère. Nous aimerions que les gens naissent dans le royaume de Dieu, mais ils doivent d'abord s'asseoir sur des chaises, ils doivent d'abord être amenés à la réunion. Ces enfants ont été amenés par leurs mères pour que le Seigneur les consacre, pour qu'Il les bénisse ; et Il dit littéralement ici : « Ne les en empêchez pas ; car le royaume de Dieu est destiné à ceux qui leur ressemblent ». Ils ont été amenés à l'intérieur, ils ont été portés avec un seul désir dans le cœur : Que le Seigneur, qui en a déjà béni beaucoup, les bénisse.

C'est bien ici la pensée de base, et pas seulement le fait que nous procédions ici à une bénédiction d'enfants. Le royaume de Dieu est destiné à ceux qui sont comme eux. Ainsi, les hommes doivent être amenés dans le royaume de Dieu, sous la prière, et conduits au Seigneur, afin qu'Il puisse les sauver, les bénir, voire se consacrer eux-mêmes à Lui. Cela est inclus ici. Les enfants ont été amenés. Ils ne sont pas venus seuls, ils ont été portés vers le Seigneur, Il les a acceptés et bénis. Et il est dit ici, Luc 18 verset 17 :

« En vérité, je vous le dis, quiconque n'accueille pas le royaume de Dieu comme un enfant n'y entrera certainement pas ».

Puisse le Seigneur nous accorder une fois de plus la grâce de devenir les hommes que frère Branham décrit dans ces deux sermons. Il exprime cette pensée, et demande : « D'où vient la semence ? » ; et il dit : « La semence se transmet par le corps, et le corps, c'est l'Église ». Dieu veut donc utiliser l'Église pour y déposer la semence de Sa parole. Et les hommes sont appelés et reçoivent cette semence dans leur cœur, et ils la laissent pénétrer en eux pour une nouvelle vie avec Dieu. Le Seigneur nous accordera tout cela.

Comme c'est merveilleux de pouvoir lire la parole de Dieu le cœur ouvert, avec un consentement intérieur ! De pouvoir suivre intérieurement, et de dire : « Seigneur, aujourd'hui Tu m'as parlé par Ta parole et par Ton Esprit. Tu veux faire quelque chose avec moi, avec nous ! ». Nous sommes aussi maladroits que possible, et nous devons presque dire comme Marie : « Comment cela va-t-il se faire ? ». Je ne sais ! Je ne suis pas au courant de quoi que ce soit. Oui, nous ne sommes au courant de rien, mais nous connaissons celui qui sait tout, celui qui connaît notre détresse, notre condition, qui nous connaît si bien que nous, nous ne nous connaissons pas nous-mêmes. Il examine nos cœurs et nos reins, et dit : « Je viens à votre secours, Je le ferai en vous ».

Notre Seigneur a dit à l'époque : « Ce n'est pas Moi qui fais ces œuvres, mais le Père qui demeure en Moi, c'est Lui qui fait ces œuvres ». Alors, quand nous bénissons un enfant ou prions pour les malades aujourd'hui, ce n'est pas nous qui faisons quelque chose. Nous prions seulement. L'action vient de Dieu, le salut, la guérison, la bénédiction, la consécration, tout vient de Dieu.

Mais nous amenons les gens ; comme les mères amenaient autrefois leurs enfants au Seigneur, ainsi, nous amenons tous ceux qui sont enfants de Dieu ou qui souhaitent le devenir au Seigneur, et nous les portons sur des mains priantes devant Son trône de grâce, et disons : « Seigneur, nous Te présentons maintenant cet enfant, cette sœur, ce frère. Tu sais ce dont chacun a besoin ». Nous présentons les hommes au Seigneur, nous les portons dans la prière au Seigneur, nous les Lui amenons ; c'est Lui qui sauve, Il guérit, Il délivre, Il bénit, Il consacre, Il libère. Mais nous, toi et moi, nous devons amener ces personnes qui veulent suivre le Seigneur d'une manière ou d'une autre, qui veulent Le suivre, nous devons les Lui amener dans la foi, dans la prière, et alors tout ira bien. 

Personne ne doit être parmi nous qui pourrait dire : « Oui, ce n'est pas juste ». Personne ne doit s'opposer. À l'époque, c'était bien intentionné, les disciples voulaient s'opposer, et le Seigneur les a repoussés, Il a dit : « Un instant, le royaume de Dieu leur est destiné, laissez-les venir à Moi ». Une personne de la rue peut venir ici, le plus grand pécheur peut venir ici, tout le monde peut venir ici, du plus petit au plus grand, et nous ne refuserons personne. Nous les amènerons tous au Seigneur dans la prière, et c'est seulement à ce moment-là que nous aurons la bonne attitude.

Pourquoi le Seigneur a-t-Il donné juste avant la parabole de l'homme qui se croit juste et qui méprise les autres ? Pourquoi ? De telles personnes ne viendraient même pas pour amener quelqu'un au Seigneur ! Ils font leurs prières avec mesure, puis ils ont terminé et pensent aux autres et non au Seigneur ! Ils pensent aux autres avec mépris.

Les personnes qui ont vraiment été pardonnées, ne pensent pas aux autres dans leur prière en les regardant de haut avec mépris, mais elles pensent au Seigneur en levant les yeux vers Lui avec foi. Et c'est ce que nous voulons faire ce soir.