Ewald Frank
01 octobre 1988 à 19 heures 30, Krefeld, Allemagne
IL EST BON DE RESTER FIDÈLE AU SEIGNEUR JUSQU’À LA FIN
(Retransmis le 29 octobre 2025)
Nous avons en effet le premier week-end et certainement un bon rapport de ce que Dieu a fait. Nous pouvons toujours chanter. Frère Branham a dit que nous pouvons faire beaucoup de choses en trop, mais il y a une chose que nous ne pouvons jamais faire en trop, c’est prier, et surtout prier avec foi. Pas seulement prier, mais prier et croire que ce pour quoi nous prions nous a été donné par Dieu.
En fait, j’ai beaucoup de choses à rapporter. Puisque frère Russ n’a pas lu une parole, je veux juste lire ce qui concerne la prière et ensuite donner un rapport de voyage. Je suis un peu surpris. Vous le remarquerez aussi certainement. C’est écrit dans l’épître de Jean –j’espère trouver le chapitre tout de suite– dans l’épître de Jean, 1 Jean chapitre 3 verset 19 :
« Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos cœurs devant lui ; car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses. Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable ».
Il y a un autre passage dans 1 Jean au chapitre 5 à partir du verset 14 qui dit : « Nous avons auprès de lui cette assurance que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute ».
Je relis encore cette partie : « … que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il exauce toutes nos demandes, nous savons aussi que celles que nous lui avons présentées nous ont déjà été accordées ».
Il y a toujours un certain nombre de passages bibliques pour tout, pour chaque sujet. L’un d’entre eux dit : « Tout ce que vous demandez vous sera accordé ». Ici, cela nous est expliqué un peu plus en détail : « Tout ce que nous demandons selon la volonté de Dieu, nous le recevons ». Nos vœux pieux et religieux ne doivent pas toujours être exaucés, mais si nous demandons selon la volonté de Dieu, nous serons exaucés.
Je voudrais tout d’abord souhaiter à tous une très cordiale bienvenue dans le précieux nom du Seigneur, à vous tous du pays et de l’étranger. Que Dieu vous bénisse, que Dieu nous bénisse ! À un moment donné, j’ai dit : « Que Dieu soit avec toi ! », puis le frère a dit : « Tu sais, je préfère qu’Il soit avec nous » ; et puis il dit : « J’ai envie de dire : Dieu avec nous », ensuite il m’a inclus, et cela a aussi été très précieux pour moi ; et j’étais reconnaissant au Seigneur pour une telle présence d’esprit. « Dieu avec nous », c’est le nom d’Emmanuel. Dieu avec nous. Pas seulement avec toi, pas seulement avec moi, mais Dieu avec nous, Emmanuel, Dieu avec nous. Et s’Il est avec nous, alors tout ira bien.
Si quelqu’un est ici aujourd’hui pour la première fois, nous vous souhaitons particulièrement la bienvenue. Puis-je voir si une main se lève ? Si quelqu’un est parmi nous aujourd’hui pour la première fois, je veux voir. Soyez les bienvenus, soyez les bienvenus, soyez les bienvenus. Que Dieu vous bénisse ! Je vous vois ici : Êtes-vous un peu de la République Démocratique Allemande ? Même les jeunes ne le sont pas, certainement pas. Non, vous êtes ici. Les jeunes viendront dans deux ou trois ans. Tout sera très, très différent.
Vous savez que nous l’avons dit ici il y a quelques années, que nous nous attendions à ce qu’un tournant se produise, en particulier en Europe de l’Est ; et nous l’avons déjà vu, nous l’avons vécu, j’en ai déjà parlé ici et là. Pour nous, ce n’est certainement pas très imaginable, et pourtant c’est vrai. Dieu veille à ce que Sa parole soit portée jusqu’aux extrémités de la terre, parce qu’Il l’a dit ainsi. Et si nous le demandons, c’est certainement en Son nom, et pas seulement en Son nom, mais aussi dans Sa volonté.
Lisons dans l’Écriture peut-être les deux premiers passages, pour nous montrer et nous faire savoir à partir de la parole que les autorités sont aussi établies, qu’elles sont aussi établies par Dieu, et que nous faisons bien de prier si les choses ne nous plaisent vraiment pas. Le premier est en effet aussi la parole de Dieu, ce que je vais lire maintenant. Le premier est tiré de 1 Timothée chapitre 2, le verset 1 :
« J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui exercent une autorité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur ».
Nous savons que tous les gouvernements terrestres ne sont pas à notre mesure, mais nous savons aussi que nous ne les avons pas institués, et que nous ne pouvons pas les destituer, les renverser. Dieu seul établit les rois et renverse les rois. Dans Romains 13 ensuite, je voudrais lire le premier verset :
« Que toute personne soit soumise aux autorités qui sont au-dessus d’elle ; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu ; de sorte que celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui résistent feront venir un jugement sur eux-mêmes ».
Il est aussi parfois difficile de suivre complètement ces paroles, quand nous pensons aux formes d’État qui ont existé et qui existent encore aujourd’hui et qu’il faut s’y soumettre, mais c’est écrit ici ! Que Dieu nous fasse la grâce de remettre au Seigneur même les gouvernements qui ne sont pas taillés sur mesure pour nous. Je vais vous dire une chose. Les croyants de ces différents pays sont plus croyants que nous ici. Ce qu’ils ont vécu ne leur a pas fait de mal, au contraire, cela les a aidés.
En donnant le rapport de ce voyage missionnaire, j’ai bien sûr pu penser à la parole glorieuse de Matthieu 24 verset 14 : « Cet Évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin ». Nous avons parfois déjà parlé de ce texte. L’Évangile du royaume, cet Évangile concernant le royaume, non pas un évangile concernant une église, concernant une dénomination quelconque, mais vraiment cet Évangile de Dieu qui appartient au royaume de Dieu, qui concerne le royaume de Dieu, l’Évangile de Jésus-Christ qui fait partie du royaume de Dieu dans lequel Christ dirige la parole et a le mot à dire, pas là où ce sont des hommes qui parlent, mais là où Il prend la parole, où Il peut révéler ce qui se passe en ce moment même et le rendre vivant par l’Esprit.
Si nous lisons encore quelques passages, nous remarquerons que Dieu a vraiment veillé à ce que, de tout temps, ce qui était important soit toujours placé sur le chandelier, afin de donner au peuple de Dieu la possibilité de participer à ce que Dieu a fait en leur temps.
Souvenons-nous toujours, s’il vous plaît, non pas d’un Évangile, mais de cet Évangile concernant le royaume de Dieu. Il n’y a qu’un seul Évangile, qu’un seul message divin. Il n’est pas mélangé à la politique. C’est le message du salut ; et c’est le jour du salut. C’est le message de la grâce, et c’est le temps de la grâce maintenant. Et tous les hommes qui entendent ce message divin de salut ont la possibilité de croire et de recevoir le salut par la grâce.
Je voudrais poursuivre la lecture du chapitre 5 de l’Apocalypse, où deux passages similaires nous sont présentés. Apocalypse chapitre 5 versets 9 à 10 :
« Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ».
Peut-être encore le verset 10 :
« Tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre ».
De tous les peuples, langues et nations ; et pas seulement cela, même des différentes tribus. Il est dit ici littéralement : « De toutes les tribus ». Et si on y pense, en revenant à l’Union Soviétique, quatre-vingt-six groupes ethniques différents vivent là-bas, les Kazakhs, puis jusqu’en Lettonie et en Lituanie et ainsi de suite. C’est quand même une grande masse ! Mais Dieu veut des gens de tous les peuples, de toutes les langues et de toutes les tribus, de toutes les nations. Notre frère bien-aimé du Zaïre sait combien de tribus il y a là-bas. « De toutes les tribus ». Pas seulement de toutes les langues, mais de toutes les tribus, de tous les peuples, de toutes les nationalités, de partout.
Regardez, nous avons en partie la même langue que vous, en Autriche, un autre pays ; en Suisse, septante six pourcents sont de langue allemande, mais c’est un autre pays ! Donc de toutes les langues, de tous les peuples, de toutes les nations, de partout. Dieu S’est exprimé très précisément dans Sa parole. Personne n’est laissé de côté, pas même les Zulu là-bas, en Afrique du Sud. Et où que nous allions maintenant, j’oublie toujours les noms des tribus. Quelques mots, par exemple, merci et ainsi de suite, je les ai retenus en Kiswahili et dans quelques autres langues, mais comme notre frère pourrait me tester pour savoir si je les prononce correctement, je préfère laisser tomber.
Mais comme je l’ai lu, il est écrit : « De tous les peuples, tribus, langues et nations », de partout. Dieu aura un bouquet ! Il aura des hommes qui partageront alors la royauté avec Lui, comme il est écrit ici : « Tu as fait d’eux des rois et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre ». Nous savons que ce sera après le festin des noces, mais cela est déjà annoncé ici, et aura lieu quand il sera temps.
Nous trouvons un passage similaire qui parle de la grande troupe dans Apocalypse 7, et là encore, au verset 9 et au verset 10. Je suis maintenant honnête en cela aussi : Frère Branham a justement dit deux choses différentes sur ce passage. Il a dit à plusieurs reprises deux choses différentes sur Apocalypse 7 vers 9 et 10, une fois, c’est l’épouse, et une autre fois, ce n’est pas l’épouse dans Apocalypse 7. J’ai maintenant décidé d’être d’accord avec ce qu’il a dit en dernier, à savoir qu’il s’agira de la troupe qui doit traverser la grande tribulation. J’ai mes difficultés, mais doivent-elles être mises à sa charge ? Alors, je lis dans l’Apocalypse 7 versets 9 et 10 :
« Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’Agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains. Et ils criaient d’une voix forte, en disant : Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l’Agneau ».
Savez-vous quelle pensée me vient ici ? Lorsque nous lisons Matthieu chapitre 25 au sujet des cinq vierges sages et des cinq vierges folles, et que nous savons que ce sont toutes des vierges, qu’elles étaient toutes pures, saintes, des vierges, et qu’elles sont toutes allées à la rencontre de l’Époux sans avoir été touchées, qu’elles se sont toutes endormies, mais qu’elles se sont aussi toutes réveillées, et qu’elles se sont toutes levées pour aller à la rencontre de l’Époux.
Et soudain, il est dit que le moment vint où les folles dirent aux sages : « Donnez-nous de votre huile, car nos lampes vont s’éteindre ». Les sages répondent alors : « Non, ce n’est pas possible, car nous en manquerions, et vous aussi. Il n’y en aura pas assez pour nous deux. Nous en avons juste assez pour nous. Aller chez les épiciers, et prenaient de l’huile » ; et puis, il y a ces mots qui sont très sérieux : « Comme elles y allaient, l’Époux arriva, et celles qui étaient prêtes entrèrent avec Lui, et la porte fut fermée, puis les autres revinrent aussi et frappèrent ».
D’après ce que frère Branham a dit plusieurs fois avec toute la clarté, il s’agit ici, dans Apocalypse 7, de cette troupe qui n’a pas eu assez. Ce qu’ils ont eu ne suffisait pas pour prendre part à la troupe des premiers-nés, ce qu’ils ont eu n’a pas suffi pour participer à la première résurrection et à l’enlèvement, mais qu’ils sont restés fidèles pendant la grande tribulation après l’enlèvement, et ne renieront pas le Seigneur. Il est montré ici qu’ils seront aussi là, comme c’est décrit ici aussi, de toutes les langues, de toutes langues, toutes tribus et toutes nations.
En ce qui me concerne, je souhaite qu’il en soit ainsi, car imaginez que cela puisse m’arriver, que cela puisse t’arriver de ne pas être prêt pour l’enlèvement ! Ne soyons pas durs d’esprit et ne pensons pas que celui qui n’est pas enlevé peut aller où le poivre pousse. Non ! S’il est un enfant de Dieu et qu’il est né de Dieu, il doit être auprès du Seigneur. S’il n’est pas avec la première pousse, qu’il soit avec la seconde ! Mais qu’il soit avec le Seigneur, n’est-ce pas. Louanges et merci à notre Dieu ! Ne vous inquiétez pas, Dieu est fidèle ! et Il récompensera la fidélité de ceux qui n’ont pas eu ce qui suffit pour être présent au premier tour.
Vous savez, je l’ai dit ici et cela me fait sourire, je l’ai dit ici et pas seulement ici, mais quelque part ailleurs, lorsque l’on annonçait à grand cri que le Seigneur était déjà revenu, j’ai simplement dit : « Écoutez, tant que frère Frank est encore sur la terre, le Seigneur n’est pas revenu ». Et puis quelqu’un a dit : « Oui, oui, toi, tu es apparemment sûr de ta chose ! ». J’ai répondu : « Pas en apparence. Je suis sûr de ce que je dis ». Mais un autre a aussi bien fait attention et il m’a dit : « Écoute, frère Frank ! Frère Branham a dit qu’il ne sait pas si lui-même s’il sera présent lors de l’enlèvement. Qui es-tu pour dire maintenant que tu seras présent lors de l’enlèvement ? ». Oui, je dis : « Écoute : Premièrement, il était très modeste et deuxièmement, il voulait juste se distinguer, mais il disait : Si une seule personne était enlevée de Jeffersonville, je crois que je suis cette personne ».
Et cette foi, nous devons l’avoir, chacun pour soi. Si nous ne l’avons pas, nous sommes mal barrés. Nous ne pouvons pas demander à quelqu’un d’autre : « As-tu la certitude d’y prendre part ? Et moi, ai-je la certitude d’y prendre part ? ». Mais, le sourire ne se référait pas à l’expression de frère Branham, mais bien à l’expérience majestueuse que j’ai vécue autrefois ; et c’est pourquoi, depuis cette expérience, je sais que je participerai à l’enlèvement. Pour cela, j’ai besoin… oui amen ! Merci. C’est très bien.
Mais ça, comme je l’ai dit, c’est oui et amen ! Les expériences avec Dieu sont un tel renforcement de la foi ! Vous pouvez me croire. Et Dieu sait exactement ce qu’Il fait, Il sait exactement à quel moment Il offre certaines choses juste au moment où nous en avons besoin, quand toute autre consolation serait réduite à néant ; Il a pitié de nous et nous fait savoir que nous avons trouvé grâce devant Lui et qu’Il a pitié de qui Il a pitié.
En revenant à cette parole, êtes-vous tous d’accord pour dire que l’Apocalypse 7 inclut ceux qui n’ont pas participé à l’enlèvement mais qui ont cru, qui étaient croyants, qui étaient nés de nouveau, qui sont nés de nouveau, qui ont de l’huile dans leurs larmes et qui se sont réveillés avec de l’huile dans la lampe, sont allés à la rencontre de l’Époux, mais n’ont pas simplement pas été enlevés ? Ça n’a pas suffi. Ce sont eux qui tiennent bon, qui restent fidèles et qui sont alors avec le Seigneur devant Son trône. Cette pensée est soutenue par la déclaration donnée aux vainqueurs dans Apocalypse chapitre 3.
Vous savez, lorsque frère Branham n’a fait aucune déclaration doctrinale, je me sens toujours en sécurité, parce que Dieu m’a aidé à le faire. Mais quand il a dit quelque chose, il m’est très difficile de voir les choses un peu différemment. Dans Apocalypse au chapitre 3, au vingtième verset, il est écrit :
« Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi aussi… ».
Donc, « assis avec Moi sur Mon trône », pas se tenir devant Mon trône, mais s’asseoir avec Moi sur Mon trône. Là-bas, dans Apocalypse 7, la troupe est devant le trône, la foule est devant le trône ! Mais, la troupe des vainqueurs est sur le trône :
« Je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ».
On peut donc dire en mettant ces deux passages bibliques côte à côte que la troupe des vainqueurs s’assiéra avec Lui sur Son trône et régnera, gouvernera avec Lui, mais la foule d’Apocalypse 7 le servira. Je vous le lis ici pour que vous sachiez que c’est écrit dans Apocalypse chapitre 7 à partir du verset 13, 14 et 15 :
« Et l’un des vieillards prit la parole et me dit : Ceux qui sont revêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d’où sont-ils venus ? Je lui dis : Mon seigneur, tu le sais. Et il me dit : Ce sont ceux qui viennent de la… ».
Ici, le « la » ne doit pas être écrit. Il doit seulement dire : « Ce sont ceux qui viennent de grandes tribulations ».
« Ce sont ceux qui viennent de grande tribulation ; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’Agneau ».
Nous devons nous arrêter ici un instant pour souligner qu’au moment de l’enlèvement, le temps de la grâce pour les nations est arrivé à sa fin ; mais cela ne signifie pas que ceux qui ont fait l’expérience de la grâce de Dieu mais qui ne participent pas à l’enlèvement seront alors retranchés de cette grâce, non ; bien au contraire, ils ont fait l’expérience de Dieu, ils ont expérimenté Dieu et ont été même lavés par le sang de l’Agneau, et ils peuvent maintenant prouver leur fidélité dans le grand temps de tribulation, et rester fidèles, car ils savent en qui ils ont cru.
Bien-aimés, que cela soit vraiment une consolation pour nous. Quelqu’un va dire : « Mais, tu n’as pas l’air de croire ce soir que toutes les personnes présentes ici seront là, présentes lors de l’enlèvement ! ». Comme nous l’avons dit précédemment, personne ne peut le dire de manière définitive. Beaucoup de ceux qui pensaient y être n’y seront pas, d’autres que nous n’attendions pas y seront. Croyons ensemble que Dieu offrira aussi ce qui n’est pas encore là. Il offrira, Il l’accordera avant l’enlèvement. Il doit y avoir des gens, et nous ne pouvons certainement nous compter parmi eux, qui vivront aussi l’accomplissement, l’achèvement, la perfection. Pas seulement l’appel à sortir, mais aussi l’achèvement, la perfection. Je lis maintenant le verset 15 :
« C’est pour cela qu’ils sont devant le trône de Dieu, et le servent jour et nuit dans son temple. Et celui qui est assis sur le trône dressera sa tente sur eux ».
Regardez si cela concerne une troupe qui serait acceptée au jugement final. Non, cela est exclu ici. Après le jugement dernier, il y aura de nouveaux cieux et une nouvelle terre, alors il n’y aura plus ni jour ni nuit : Le matin éternel se lèvera, et le soleil ne se couchera plus jamais. Tant qu’il est question de jour et de nuit dans les saintes Écritures, cela ne se rapporte pas à l’éternité.
Nous avons là certaines traductions qui laissent à désirer. Même dans l’Apocalypse, on a effectivement traduit le mot grec « éon » par éternel : « Et ils seront tourmentés d’éternité en éternité, jour et nuit ». Cela n’existe pas du tout ! L’éternité n’a plus de nuit. Ensuite, le temps a de nouveau débouché sur l’éternité. Le temps a un commencement, et il est écrit : « Dieu a tout créé », nous le croyons, de tout notre cœur, « et il y eut un soir et un matin », et c’est ainsi qu’un jour naquit, du soir au matin, non pas du matin au soir, mais du soir au matin.
Si vous demandiez aujourd’hui à un Juif, à un israélite : « Quand commence le jour pour vous ? ». Il ne répond pas : « À cinq heures du matin », mais : « Au coucher du soleil », au début du Shabbat par exemple, le vendredi soir, vous pouvez tous les observer, ils ne font que regarder jusqu’à ce que le soleil apparaisse ou s’abaisse d’une largeur de main au-dessus du plus haut sommet ou de la montagne, quoi que ce soit, et alors c’est parti : Shabbat Shalom ! Ils savent exactement ce que Dieu a dit : « Il y a eu un soir et un matin ». Du soir au matin : C’est ainsi que les jours sont devenus et ont été comptés, pas du matin au soir ! Cela ne serait pas alors possible, car on retourne du soir au matin éternel, et il n’y a plus de soir. Amen ! Dieu savait exactement comment et ce qu’Il faisait.
Mais revenons maintenant à ces paroles ici, Apocalypse 7 verset 15 : « Ils Le servent jour et nuit dans Son temple ». Je pourrais maintenant vous prendre dans Apocalypse, au chapitre 21, là, il est écrit : « Et je n’y vis point de temple, car l’Agneau est le temple, et le luminaire » ainsi de suite. Vous connaissez tout sur les saintes Écritures. Allons-nous continuer à lire ? Êtes-vous tous satisfaits de cela ?
Si Dieu a vraiment donné à certains ou à la moitié de ceux qui sont devenus croyants, qui étaient vraiment vierges, et vous pouvez me croire, frère Branham l’a dit, le mot vierge signifie « pur, saint, inviolé », donc non touché ; comme par exemple, dans Apocalypse 14, quand il est question des cent quarante-quatre mille des douze tribus d’Israël, il est dit qu’ils ne se sont pas souillés avec des femmes.
Et vous savez, la femme, spirituellement parlant, typifie l’église. Dans l’Ancien Testament, vous pouvez le lire dans Osée, dans Jérémie, Israël était la femme de Dieu, Dieu a mis Sa semence en Israël. C’est ainsi que le Nouveau Testament a commencé avec Israël, puis le salut est passé aux nations ; car c’est ce qui était écrit dans le prophète Osée et qui est encore écrit aujourd’hui : « Ceux qui n’étaient pas Mon peuple seront appelés fils du Dieu vivant. Ceux qui n’ont pas demandé après Moi et qui ne M’ont pas cherché, c’est par eux que Je Me laisserai trouver ».
Nous devons également bien comprendre cette parole. Je ne sais pas pourquoi il y a tant de malentendus. Quelqu’un m’a demandé, lors d’un voyage, si j’irais en Israël, car le salut vient des Juifs, m’a-t-il dit. Oui. J’ai dit que, pour autant que je le comprenne, le salut vient de Dieu, car tout le monde verra le salut qui vient de notre Dieu. C’est écrit dans le prophète Ésaïe ! Je peux vous le lire, ce doit être le chapitre 49, oui. Il y a beaucoup de passages bibliques là-dessus, et cela a été dit dans le Nouveau Testament, dans Luc chapitre 1, par Zacharie dans sa prière inspirée par l’Esprit.
Le salut vient donc de Dieu, mais le salut est venu aux Juifs, car Dieu S’était révélé à Son peuple, Israël ; et puis, le temps est venu où le salut de Dieu, qui était d’abord venu aux Juifs, devait ensuite passer aux nations ; et c’est ainsi qu’il est passé des Juifs aux nations, qu’il est venu aux païens. Mais, Jésus-Christ n’était pas Juif, Il n’était pas païen ! Il était Dieu Lui-même manifesté sous forme humaine, Il était Emmanuel ! En Lui ne coulait ni l’un ni l’autre sang. En Lui coulait un sang divin, et dans ce sang divin, il y avait la vie divine.
Parfois je ne peux pas le supporter. Et vous savez, bien que le jour où Marie avait désigné Joseph comme « le père de Jésus », Marie s’était rendue coupable de désigner Joseph le père de Jésus ! Elle s’est rendue coupable de la plus grande faute en disant : « Ton père et moi T’avons cherché avec inquiétude ». Ils avaient marché trois jours, et le Seigneur était resté à Jérusalem à l’âge de douze ans, et c’est là que Marie a vraiment fait cette déclaration : « Ton père et moi… ». Et là, frère Branham dit littéralement : « La parole a immédiatement corrigé l’erreur, et le Seigneur a dit : Je dois être occupé aux choses de Mon Père ! », et Il n’était pas à Nazareth dans l’atelier de charpenterie ! Il était à Jérusalem, dans le temple. Et vous savez, depuis ce temps-là, nous n’entendons plus parler de Joseph. Il est resté là, il n’a rien dit, il n’a rien dit, n’est-ce pas, mais il était là.
Nos amis catholiques vont devoir un jour m’expliquer cela, que Marie aurait été infaillible, et alors l’infaillibilité de leur pape s’effondrera aussi là peut-être. Dieu m’accordera cette grâce et la sagesse de cette manière. J’ai l’impression qu’Il nous laissera trouver des mots qui ne feront pas mal, qui ne blesseront pas, mais qui apporteront de la clarté.
Nous ne vivons pas à l’époque de la Réforme. J’ai encore lu aujourd’hui une phrase de Martin Luther. On ne devrait pas la répéter ici aujourd’hui, ce serait absolument impensable de prononcer de telles paroles aujourd’hui. Mais Dieu nous aidera à trouver les mots justes, mais à dire la vérité de manière dure, claire, de sorte que personne ne puisse vraiment passer à droite ou à gauche. Il doit alors se confronter à Dieu et à Sa parole, et soit il se décide pour, ou soit il se décide contre.
Nous devons encore lire une parole, à savoir Galates 3, pour remettre en mémoire et clore ce sujet concernant le compte rendu du voyage. Galates 3 verset 8, il est écrit ici :
« Aussi l’Écriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi, a d’avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham : Toutes les nations seront bénies en toi ! ».
Pas seulement un peuple, mais tous les peuples ! Et nous pouvons nous compter parmi eux, par grâce. Mais, Dieu Lui-même a déjà fait dire ici par la bouche de Ses apôtres dans le chapitre 15 des Actes des Apôtres, c’était d’abord Pierre puis Jacques, et que c’est Jacques qui a dit ici au verset 14 :
« Simon a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d’elles un peuple qui porte son nom. Et avec cela s’accordent les paroles des prophètes, selon qu’il est écrit : Après cela, je reviendrai, et je relèverai de sa chute la tente de David, J’en réparerai les ruines, et je la redresserai ».
Nous n’avons cessé de le souligner et de l’observer ici en ce lieu, que rien n’est plus important que de laisser Dieu S’exprimer, de le laisser avoir la parole, de Lui donner la possibilité de nous parler par Sa parole et de nous donner l’enseignement et les éclaircissements dont nous avons besoin ; que l’on ne prenne pas un passage et qu’on l’interprète dans le sens qui nous conviendrait, mais que l’on aille simplement de passage biblique en passage biblique, et ainsi de clarté en clarté ; et c’est seulement comme ça qu’on va de clarté en clarté et qu’on va de vérité en vérité et qu’on passe de connaissance en connaissance, jusqu’à ce que nous entrions dans la stature de l’homme parfait en Christ, et que nous l’ayons vraiment connu comme Il voulait qu’on le connaisse ».
Quelqu’un m’a dit récemment : « Quelle que soit la manière dont frère Branham est glorifié quelque part, Dieu ne veut pas tout cela ». Dieu ne veut pas de culte rendu à un homme ! Dieu cherche des adorateurs qui L’adorent en Esprit et dans la vérité.
Ces jours-ci, sur le dernier vol, j’ai lu cette histoire qui n’a pas vraiment sa place ici, mais j’ai ressenti une certaine joie en lisant l’article qui disait que ce « Suaire de Turin » datait du seizième siècle, et qu’il n’avait pas été retiré du tombeau de Jésus, comme on le prétendait. Je m’en suis réjoui, et j’ai pensé que c’était la chose que Dieu mettait dans ma main pour pouvoir ensuite demander, mettre un point d’interrogation derrière toutes les autres choses, et demander ensuite quand elles ont commencé.
Chacun peut antidater en arrière ce qu’il veut et où il veut ! Vous savez, les gens datent quelque chose des millions d’années en arrière et sont ensuite content que la masse les a avalés, puis ils marchent joyeusement dans leurs rues en pensant : « Eh bien, c’était bien, n’est-ce pas ». Non. Dieu fait que ces choses arrivent maintenant, pas il y a quarante ou cinquante ans ! Il permet que cela arrive maintenant afin que l’on vérifie maintenant que ce n’est pas vrai en fait ; et l’on peut alors se demander à juste titre ce qui est en fait vrai de tous ces enseignements, tous ces dogmes, de toutes ces choses qui sont appliquées : Quand est-ce que ça a commencé ? Quand cela a-t-il commencé ? Qui l’a commencé ? Où est la justification biblique, la base biblique ? Et voilà, elle n’est pas là ! Il n’y a aucune justification, c’est un abîme, un gouffre. Pas de justification, pas de base biblique.
Je ne sais pas si les gens comprendraient si nous leur accordons tout soutien et venions à leur aide, alors Dieu aura encore une riche moisson. Vous pouvez dire : « Oui, frère Frank, alors tu as certainement l’impression que cela prendra encore un peu de temps ». Je ne peux rien vous dire à ce sujet. J’ai seulement l’impression que nous devons racheter le temps et travailler tant qu’il fait jour ; car la nuit tombe durant laquelle personne ne peut plus agir et travailler. Et nous serons heureux lorsque nous pourrons effectivement nous exprimer en public comme jamais auparavant, et comme je l’ai déjà fait remarquer, en mettant simplement sur la table des choses qui ne peuvent plus être balayées de la table, car je me tiendrai alors à disposition, la Bible en main, et si nécessaire, avec toute l’histoire de l’Église. Je peux acheter un petit camion et me rendre quelque part au concile, cela n’a pas d’importance, pour ensuite démontrer, à partir de la parole de Dieu et de l’histoire de l’Église, ce qui est biblique et ce qui n’est justement pas biblique.
Et là, il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup d’imagination, car ce qui n’est pas biblique n’est pas conforme à la Bible, et ce qui n’est pas en accord avec le Christ et qui est contre Lui est antichrist. Les conclusions ne sont pas du tout aussi compliquées que certains exercices de mathématiques. Elles découlent toutes d’elles-mêmes par la grâce de Dieu.
Et croyez-moi, c’est uniquement parce que nous vivons à cette époque que Dieu nous a donné le privilège d’avoir un aperçu aussi profond de toutes ces choses, parce que nous avons la responsabilité d’offrir à cette génération une fois de plus la grâce de Dieu, l’offre divine. Mais si la masse croit qu’elle a raison et qu’elle croit correctement, que se passera-t-il ? Qui voudra se repentir et revenir à Dieu ? Non ! Seul Dieu Lui-même veillera, comme nous l’avons dit au début, à ce que cet Évangile qui concerne le royaume de Dieu, l’Évangile éternel, soit annoncé à tous les peuples, langues, tribus et nations ; non pas ce qui a été ajouté par la suite, car cela doit être dépouillé, doit être dénoncé et doit tomber par terre. Quelque chose doit être élevé, à savoir le Seigneur. Quelqu’un doit être élevé, à savoir le Seigneur. Quelqu’un, pas quelque chose, quelqu’un.
Je ne veux pas dire maintenant dans le sens où vous savez que cela peut être compris de deux manières. Jésus a dit : « Quand J’aurai été élevé, J’attirerai à Moi tous les enfants de Dieu », et Il a parlé de la croix sur laquelle Il doit mourir. Vous devez lire cela attentivement. Là, nous devons faire très attention. Il a été mis sur la croix, c’était une élévation à la honte : Il a été mis à nu, Il a été dépouillé de Ses vêtements, Il a été battu, on Lui a craché dessus. Tout cela faisait partie du processus. Mais ensuite, Il a été élevé au-dessus des cieux et a reçu un nom qui est au-dessus de tout nom. Et c’est là que frère Branham dit si bien : « Maintenant Il doit regarder vers le bas pour voir le ciel, parce qu’Il est tout en haut ».
Eh bien, quoi qu’il en soit, notre Dieu veillera à ce que tout soit fait au bon moment et de la bonne manière. Et croyez-moi, j’ai traduit hier, non, aujourd’hui, mais hier ou n’importe quand, frère Siegfried sait toujours mieux quand nous faisons quoi ; l’interview que vous n’avez probablement pas encore tous vu de frère Branham, quand ces deux frères sont venus de Los Angeles et l’ont interviewé. L’un d’eux a demandé si son ministère ne serait pas particulièrement efficace en Israël, et il a dit qu’il serait efficace, car les Juifs veulent voir des signes, les Grecs demandent de la sagesse ; mais il a ensuite fait une correction, car il savait que le temps n’était pas encore venu.
Or, il est écrit dans Romains 11 qu’ils doivent être incités à la jalousie. Donc, Dieu doit effectivement faire de si grandes choses dans l’Église-épouse, c’est-à-dire à la fin, dans l’achèvement, que le monde entier se réveille et qu’Israël dise simplement : « Oui, si c’est ainsi que cela se passe avec et que cela se passe par Christ, alors Il était bien le Messie que nous n’avons pas reçu à l’époque ».
Dieu nous a effectivement reconnus correctement en reconnaissant correctement la divinité, c’est-à-dire par révélation, non pas par une explication, mais par une révélation.
Je l’ai déjà dit ici à un moment donné, lorsque frère Branham voulait poser la pierre angulaire de la chapelle, ce matin-là il a vu une vision, et il a été transporté sous le ciel libre, et il a vu deux arbres immenses, l’un à droite et l’autre à gauche ; et les deux arbres, pleins de fruits, mais tellement de fruits sur ces deux arbres ! Sur l’un des arbres, il y avait le mot « Trinité », sur l’autre, il y avait le mot « Unité ». Les uns voulaient qu’ils viennent à eux, les autres qu’ils prennent parti pour eux. Frère Branham a fait comme il se doit pour un prophète, il a mis une main autour d’un arbre et l’autre autour de l’autre et les a secoués tous les deux vigoureusement, puis il a dit : « Le fruit est tombé si puissamment des deux arbres », et le Seigneur lui a dit : « La chapelle que tu vas construire maintenant, n’est pas ta chapelle. Je t’ai établi pour porter le message et pour que du fruit soit récolté sur toute la terre ». Vous voyez comment Dieu fait les choses ? Dieu ne prend pas parti.
Combien de fois ai-je assisté à des réunions, je pense au Kenya ? Vous verrez probablement ici dans quatre semaines l’évêque qui a organisé des réunions pour frère Bonnke et pour moi aussi, si Dieu le veut, il sera ici le premier week-end de novembre. C’est alors que des frères se sont mis en colère contre moi et m’ont dit : « Tu n’as plus le droit de venir à nous, parce que tu es allé parmi les gens de la Trinité ! ». Mais, comment est-ce que je peux les appeler à sortir ? On peut les appeler à sortir seulement en allant parmi eux, n’est-ce pas. Est-ce que vous avez un autre conseil que ça ? Si on reste dehors, on ne peut pas les appeler à sortir ! Il faut bien aller parmi eux pour les appeler à sortir !
Et je veux vraiment le faire comme frère Branham l’a fait, et je souhaite à tous mes frères de faire de même : Ne pas prendre parti ! Partout où il ne peut y avoir que du fruit, secouez vigoureusement, et proclamez la parole, et récoltez la moisson et le fruit, afin que le salaire de la douleur de notre Seigneur et Rédempteur ait été récompensé. Il veillera à ce que tout se passe en temps voulu.
Je me réjouis sincèrement de voir que nous voyons déjà le changement. Et vous l’avez tous remarqué maintenant, banque mondiale, et monde ici et monde là, toujours partout, seulement mondial, mondial. Et le monde est devenu richement petit ! Aujourd’hui les riches ne peuvent pas laisser tomber les pauvres, sinon tout le monde périra. Aujourd’hui tout le monde doit participer.
Et comme je l’ai dit, tout cela est prophétique. La plateforme a déjà été posée, et la fin du temps prend forme. Nous savons que le temps est court. Nous ne savons pas à quel point il est court, mais nous voulons le racheter autant que possible, et comme je l’ai déjà dit, porter la parole glorieuse parole.
Et je le dis encore pour conclure : Pour moi, ce que j’ai vécu en Union Soviétique était une confirmation de ce que nous avons cru et dit ici, à savoir que les croyants peuvent effectivement se réunir librement sans crainte, chanter aussi fort qu’ils le veulent, prier aussi longtemps qu’ils le souhaitent et rendre gloire au Seigneur. Certains n’ont pas encore compris leur liberté, mais tout cela va venir. Même les bonnes choses ne peuvent pas être acceptées du jour au lendemain. Mais Dieu qui veille sur tout, a aussi veillé à ce que les choses suivent leur cours là-bas pour que Sa parole atteigne effectivement les extrémités de la terre.
Remercions-le, Lui, le Dieu Tout-Puissant. Et s’Il se confirmait que le Seigneur prendrait au festin des noces lors de Son retour les prémices comme les cinq vierges sages en tant qu’Époux et qu’Il inclurait ensuite le reste de la foule avant l’établissement du royaume millénaire (du millénium) alors nous serions quand même contents. Je serais content, je serais heureux.
Maintenant je fais une déclaration qu’on ne devrait peut-être pas se permettre, n’est-ce pas, mais imaginez-vous que je sois auprès du Seigneur et que je ne voie pas certains que j’ai aimé, sur lesquels j’ai compté et que je ne les verrais pas ! Peut-être quelques regrets pourraient tout de même surgir en nous, je ne sais pas, Dieu le sait. Je ne le sais pas. Aujourd’hui je sais que ce n’est pas possible parce que nos frères et sœurs n’ont pas encore le corps de résurrection. Aujourd’hui, ce n’est pas possible. Mais quand ils auront le corps de résurrection ou quand nous l’aurons, ce sera à nouveau différent.
Mais que pensez-vous qu’il se passerait alors lorsque l’épouse, tous ceux qui ont été enlevés, reviendront avec le Seigneur pour régner ici pendant mille ans, et qu’il y aurait encore de magnifiques retrouvailles avec beaucoup de ceux qui sont restés fidèles pendant la grande tribulation ? Je pense qu’il y aura encore des larmes à verser. C’est pourquoi il est écrit dans ce contexte que : « Dieu essuiera toutes les larmes de leurs yeux ». Dieu essuiera encore des larmes. Ne vous inquiétez pas, soyez confiants.
Comme l’a dit Paul, nous voulons nous efforcer de participer à la première résurrection, c’est-à-dire à l’enlèvement, au changement de notre corps. Mais que tous le sachent alors, s’il s’avère que nous n’y sommes pas parvenus, ne pas abandonner, rester fidèle ; alors ce sera bientôt fini. Et le Seigneur connaît les Siens : Quelle que soit la répartition dans laquelle ils se trouvent, ce qui est important, c’est que nous soyons avec le Seigneur et auprès de Lui ; car, regardez même au jugement final, des livres seront ouverts, le livre de vie, et les hommes qui seront encore dans le livre de vie entreront dans la vie éternelle. C’est ce qui est écrit dans Apocalypse 20, du verset 11 jusqu’à la fin.
Que Dieu nous bénisse tous et soit avec nous tous ! Amen !
Levons-nous, et adorons ensemble.
Père céleste, nous Te remercions de tout cœur pour le grand privilège que nous avons de vivre précisément dans cette génération dans laquelle Tu as placé Ta parole prophétique sur le chandelier, oui, dans cette génération où Tu as envoyé Ton esclave, serviteur et prophète, où Tu as révélé tous les mystères de la parole. Oui, Tu T’es révélé Toi-même. Nous T’en remercions. Tu es descendu dans la colonne de nuée et de feu, Tu T’es fait connaître comme le même hier, le même aujourd’hui et le même dans toute l’éternité.
Seigneur bien-aimé, puisse ce message divin atteindre les extrémités de la terre dans sa clarté et sa vérité ! Puisse-t-on appeler des gens de tous les peuples, langues, tribus et nations.
Seigneur bien-aimé, nous croyons que nous sommes arrivés à la fin des temps. Nous le voyons, car Tu as ouvert nos yeux, Tu as fait briller la lumière de la parole prophétique dans un lieu obscur, et nous ne sommes plus dans les ténèbres ; car nous avons la lumière de la parole, et Ta parole révélée est une lampe à nos pieds et une lumière sur notre chemin. Oui, dans Ta lumière, nous voyons la lumière. Alléluia ! Gloire et honneur à Toi ! Celui qui Te suit ne restera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.
Seigneur fidèle, nous sommes profondément reconnaissants en particulier pour ce qui se passe actuellement en Union Soviétique. Nous Te prions, Seigneur fidèle, d’inclure également la République Démocratique Allemande et la Roumanie en particulier, puis la Bulgarie et l’Albanie. Tous les autres sont déjà en route.
Tu es juste et fidèle. Tu lèveras Ta main, et ensuite Tu prononceras une parole d’autorité et Tu utiliseras des gens, ici sur cette terre, dans chaque domaine, les politiciens pour le domaine politique, les religieux pour le domaine religieux, et les spécialistes de tous genres dans leur domaine ; mais Tu as une Église, Tu as un peuple, une troupe rachetée par le sang. Seigneur bien-aimé, que ceux qui craignent Dieu, se rassemblent en Ton nom, et qu’ils puissent T’invoquer, crier à Toi.
Exauce-nous, réponds-nous et bénis-nous par grâce. À Toi, Dieu Tout-Puissant, la louange, l’honneur, la gloire et l’adoration pour tout, dans le saint nom de Jésus, maintenant et dans toute l’éternité ! Amen ! Alléluia ! Gloire à Dieu !