Ewald Frank 

Dimanche 05 novembre 2023 

Chers frères et sœurs dans le Seigneur, nous devons tous relire cette parole, et peut-être deux ou trois fois, pour nous rendre compte de ce qui se passe à notre époque, que vraiment, le grand mystère que Dieu porte à son achèvement en Christ, en notre temps, était resté caché de toute éternité, mais nous a été révélé par grâce.

Nous vivons effectivement dans une période très particulière, et on peut vraiment dire que c'est le dernier message adressé à l'Église du Dieu vivant avant le retour de Jésus-Christ.

Nous avons reçu de très nombreuses salutations de tous les peuples et de toutes les langues, également d'Autriche, de Suisse et de la Mer Baltique. Nous recevons des salutations de partout, et nous les transmettons simplement à tous les peuples, à toutes les langues et à toutes les nations.

Nous avons entendu dire que ce mystère de Dieu, l'ensemble du plan de rédemption, le plan de salut de notre Dieu, arrive à son terme, et nous pouvons y prendre part. 

Lisons encore quelques passages bibliques qui devraient tous nous fortifier dans la foi. Et puisse-t-il vraiment en être ainsi : que tous accordent leur foi à Dieu, et sachent que ce n'est pas la parole des hommes que nous proclamons, mais la sainte parole de Dieu. S'il te plaît, (frère Borg).

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons de Romains chapitre 1, versets 1 et 2 :

« Moi, Paul, serviteur du Christ Jésus, j'ai été mis à part par un appel à être apôtre pour annoncer le message du salut de Dieu qui avait été promis auparavant de la part de Dieu par ses prophètes dans les Saintes Écritures ».

Que le Seigneur soit remercié. Frères et sœurs, ce n'est pas faire preuve d'arrogance que de dire cela aujourd'hui : « Moi, frère Frank, serviteur de Jésus Christ, j'ai été appelé le 2 avril 1962 pour porter le message divin du salut à toutes les nations, et à proclamer ce que Dieu a fait confirmer dans les Saintes Écritures par les prophètes, puis dans le Nouveau Testament par les apôtres ».

Frères et sœurs, nous ne proclamons pas la parole des hommes. Nous proclamons la parole sainte et éternelle de Dieu. Celui qui est réellement né de nouveau pour une espérance vivante, et qui a reçu la nouvelle vie divine, la vie éternelle, recevra et acceptera ce que Dieu a à nous dire par Sa parole maintenant. Poursuivons notre lecture.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons le verset 13 de 1 Thessaloniciens chapitre 2 :

« C'est pourquoi nous ne cessons de remercier Dieu sans cesse de ce que, après avoir reçu la parole de Dieu que nous avons prêchée, vous l'avez acceptée non comme une parole d'homme, mais comme ce qu'elle est, en effet, comme la parole de Dieu, qui se montre maintenant efficace en vous depuis que vous êtes croyants ».

Loué soit le Seigneur de ce que la parole de Dieu se révèle efficace en nous, et devient effectivement réalité en nous qui croyons, de ce que nous ne confessons pas seulement de la bouche, mais que nous croyons du cœur ; et de ce que la parole nous soit révélée par le Saint-Esprit.

Frères et sœurs, comme nous l'avons lu, le message divin du salut doit être prêché à toutes les nations pour servir de témoignage, (cela est déjà écrit dans Matthieu 24 verset 14), afin que personne n'ait d'excuses. 

Dieu a fait en sorte que, par les retransmissions, la sainte parole, oui, tout le plan de rédemption qui était caché depuis l'éternité, mais qui a été révélé en Jésus-Christ et éclairé à nouveau en ce temps par la parole de Dieu, puisse être maintenant apporté à la connaissance du peuple de Dieu, de sorte que nous en ayons une part personnelle.

S'il vous plaît, souvenez-vous de ce que nous venons de lire, à savoir que la parole se révèle efficace en nous. Puisse-t-il en être ainsi pour nous tous, afin que la parole ne retourne pas à vide à Dieu, sans effets, mais qu'elle puisse accomplir ce pour quoi elle a été envoyée en ce temps, à savoir, appeler l'Église-épouse, à sortir, à être purifiée dans la parole de la vérité, afin de pouvoir rencontrer le Seigneur en étant sanctifiée. Lisons encore d'autres passages bibliques.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans 1 Timothée chapitre 1, verset 3 :

« Lors de mon départ pour la Macédoine, je t'ai demandé de rester plus longtemps à Éphèse, afin que tu ordonnes à certaines personnes de ne pas présenter des enseignements étrangers ».

Ça, c'est exactement mon mandat, c'est exactement ma tâche : Ne rien laisser passer, à moins que cela ne soit écrit dans la parole de Dieu.

Mais le monde religieux est plein d'enseignements étrangers qui ne se trouvent pas dans la Bible. Et Paul voulait que Timothée et ses collaborateurs veillent à ce qu'aucune doctrine étrangère, qu'aucun enseignement étranger ne soit introduit et annoncé dans l'Église, mais que tout soit en accord avec la parole prophétique et apostolique, c'est-à-dire avec ce que nos frères ont annoncé au début.

Et c'est pourquoi, dans notre temps, nous revenons à la parole originale, aux enseignements originaux qui ont été annoncés au début par les apôtres eux-mêmes, et nous n'admettons absolument aucun enseignement étranger. Que Dieu accorde à tous la grâce d'avoir ainsi du respect pour Sa parole. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans 2 Pierre chapitre 2, verset 1 :

« Il est vrai qu'il s'est élevé parmi le peuple de faux prophètes, comme il y aura parmi vous de faux enseignants, qui introduiront secrètement chez vous des hérésies pernicieuses, reniant même le Seigneur qui les a rachetés, attirant ainsi sur eux une ruine soudaine ».

Il s'agit là aussi d'un passage biblique très puissant. Avec une proclamation aussi profonde que celle que Dieu nous a confiée, il faut le souligner doublement et triplement : de même qu’en Israël, il y a eu de faux prophètes qui ont égaré le peuple, nous avons assisté à la même chose depuis la naissance de l'église du Nouveau Testament. 

Pensons à la première lettre envoyée dans Apocalypse chapitre 2. Il est écrit : « Tu as éprouvé ceux qui se faisaient passer pour des apôtres (pour des envoyés), et tu as trouvé en eux des menteurs » ; et tout ce qui nous est rapporté dans les sept lettres envoyées aux Églises, concernant par exemple l'enseignement de Balaam, de tout ce qui a existé, de Jézabel qui est apparue comme une prophétesse, de l'enseignement de Balaam, tout nous a été rapporté dans Apocalypse chapitres 2 et 3, ce qui s'était déjà insinué dans le christianisme primitif.

Mais, laissez-moi insister sur ce point : le véritable enseignement des apôtres est resté avec nous, et nous en remercions Dieu, le Seigneur. Que celui qui veut croire ce que Balaam a dit ou ce que n'importe qui a dit, qu’il le fasse ! Nous croyons Dieu et la parole de Dieu tout seul.

Mais, s'il vous plaît, chers frères et sœurs, ne prenez pas ces choses à la légère, mais prenez-les à cœur, et soyez reconnaissants que Dieu le Seigneur a envoyé à notre époque un grand homme de Dieu qui ne nous a pas annoncé ce qu’Athanase ou un quelconque père ou docteur de l'église a annoncé, mais il nous a apporté la pure et sainte parole de Dieu telle que les apôtres et les prophètes l'ont annoncé. S'il te plaît, 

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Jacques 5 versets 19 et 20 :

« Mes frères, si quelqu'un parmi vous s'est égaré loin de la vérité et que quelqu'un l'amène à se repentir, qu'il sache, celui qui convertit un pécheur de son égarement, sauvera ainsi son âme de la mort, et couvrira une multitude de péchés ».

Cette parole doit également être soulignée, et cela fait partie de ma prédication : Je ne condamne pas celui qui s'est égaré, mais je voudrais, au nom de Jésus-Christ, que tous ceux qui ont introduit des faux enseignements soient ramenés, car nous avons pu le constater dans le texte biblique : les faux enseignements mènent à la mort, à la mort spirituelle. Seul ce qui vient de Dieu mène à la vie ! Et c'est pourquoi notre Seigneur a dit : « les paroles que je vous adresse sont esprit et vie ». 

Encore une fois, et je le dis agissant de la part de Dieu, au nom de Jésus Christ : Tous les frères qui se sont égarés, qui ont aussi mal compris ce que frère Branham a dit, et qui ont égaré les gens, doivent revenir tous ; et vraiment, en ce dernier moment, avant le retour de Jésus Christ, se laisser soumettre et corriger sous la main puissante de Dieu, et revenir ainsi au Seigneur, car pour Dieu, seul est valable ce qu'Il a dit et promis. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Acte des Apôtres chapitre 3, versets 20 et 21. Je lis le verset 20 :

« ...afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu'il envoie Jésus qui a été désigné pour vous comme oint ».

Nous attendons le temps du rafraîchissement, de la revitalisation par l'Esprit saint. Et Dieu a fait en sorte que nous soyons ramenés, car l'Esprit Saint ne tombera que sur le groupe racheté par le sang. Tel que l'Église a commencé lorsque ceux qui avaient reçu et accepté la rédemption se sont rassemblés pour vivre la promesse que le Seigneur leur a faite après Sa résurrection : « Restez à Jérusalem jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la puissance d'en haut », ainsi, ceux qui avaient accepté Jésus-Christ comme le Ressuscité, Lui qui nous a donné la rédemption par la croix à Golgotha par Son sang saint, et qui était maintenant avec les Siens après Sa résurrection, leur a dit de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'expérimenter la puissance du Saint-Esprit.

Frères et sœurs, laissez-moi le dire tout de suite : ce ne sont pas seulement les cent vingt personnes qui étaient dans la chambre haute le jour de la Pentecôte et qui ont vécu l'effusion du Saint-Esprit, mais trois milles les ont rejoints le jour de la Pentecôte, et nous en sommes reconnaissants.

Dieu ne fait pas seulement un début, Il fait la suite. Et c'est ce qui se passe aussi à notre époque : Dieu a pris un nouveau départ. Il a envoyé Son serviteur et prophète promis. Il nous a appelés à sortir de tous les faux enseignements qui se trouvent dans les communautés dites chrétiennes, et nous a ramenés à la parole afin que maintenant, le temps du rafraîchissement, le temps de la revitalisation par une effusion de l'Esprit avant l'enlèvement, puisse maintenant avoir lieu.

Notre Seigneur et Rédempteur, le Oint, veut nous oindre comme Ses enfants. Lui, le Rédempteur, nous les rachetés. Lui, le Oint, et nous, les oints de l'Esprit ; car c'est ainsi qu'il est écrit. Frères et sœurs, nous allons bientôt faire l'expérience avec Dieu d'une manière formidable. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons le verset 21 :

« Lui, cependant, que le ciel doit recevoir jusqu'au temps du rétablissement de tout ce que Dieu a annoncé par la bouche de ses saints prophètes depuis les temps anciens ».

Remercié soit le Seigneur ! Cela fait tout simplement partie du fait que notre Rédempteur attend dans le ciel, que sur la terre l'Église-épouse soit rétablie dans son état originel, que tous fassent leurs expériences divines et spirituelles, que tous vivent une véritable conversion, que tous vivent une nouvelle naissance, que tous vivent un renouvellement, que tous vivent un baptême du Saint-Esprit, vivent le scellement du Saint-Esprit. Le Seigneur attend que vienne le temps où tout cela se produira à nouveau dans l'Église.

Et nous sommes reconnaissants d'être arrivés maintenant à cette période où nous ne nous contentons pas de lire ces promesses, d'en parler et de les prêcher, mais où nous sommes dans l'attente que tout ce qui a été promis se réalise en nous. Nous pouvons déjà remercier le Seigneur de ce qu'Il fera en sorte que tout aille bien, et qu'à Son retour, l'Église-épouse soit sans taches, sans rides, et nous en sommes reconnaissants ; car, c'est pour cela que le dernier message a été apporté, afin que dans tous les peuples et toutes les langues, les élus soient appelés et préparés pour le jour glorieux du retour de Jésus-Christ, notre Seigneur. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons encore le verset 11 de Matthieu 17 :

« Il leur répondit : Élie viendra cependant, et il rétablira toutes choses ».

Amen ! Nous avons ici la promesse directe que Dieu avait déjà faite dans l'Ancien Testament dans les deux derniers versets de Malachie, et qu'Il confirme à nouveau ici. Le prophète Élie avait pour tâche de convoquer le peuple de Dieu, puis alors qu'ils étaient sur le mont Carmel, de s'adresser à la foule : « Jusqu'à quand boiterez-vous des deux côtés ? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le ! ». 

Vous connaissez tous, frères et sœurs, les Saintes Écritures. Il en est de même pour frère Branham, qui a été envoyé comme le prophète promis. Et on peut vraiment se demander combien de temps encore ? Le temps est venu de ne pas boiter des deux côtés, mais de savoir aussi vrai que Dieu a promis le temps du rafraîchissement, aussi vrai qu'Il a fait la promesse que tout sera remis en place ; c'est pourtant la promesse de Dieu que nous venons de lire ! Pouvons-nous passer outre ? Non, et encore non. La parole nous parle.

Frères et sœurs, nous allons maintenant assister à un service de guérison. Frère Branham n'a pas seulement apporté un message, il a été tellement béni par Dieu et a également pu assister à de nombreuses guérisons de malades.

Ce que notre Seigneur a dit s'est vraiment réalisé : « Les œuvres que J'ai faites, vous les ferez aussi ». Nous sommes reconnaissants au Seigneur que la confirmation de la parole a eu lieu.

Frères et sœurs, lorsque frère Branham mentionne la lumière surnaturelle qui venait sur une personne pendant la prière pour les malades, rappelez-vous que Dieu est surnaturel, et qu'Il peut faire briller une lumière surnaturelle. Il a été avec le peuple d'Israël, selon les deux derniers versets d’Exode 13, le jour dans la colonne de nuée, et la nuit dans la colonne de feu, et Il a éclairé le chemin du peuple de Dieu de manière surnaturelle, par une lumière surnaturelle. 

Et lorsque Paul, dans Actes des Apôtres 9, raconte qu'à midi, sur le chemin de Damas, il a vu une lumière surnaturelle apparaître devant lui –vous connaissez tous l'histoire de la conversion de Saul qui est devenu Paul– et si vous allez ensuite aux Actes des Apôtres chapitre 12, Jacques a été assassiné, Pierre a été mis en prison, lié des chaînes, et soudain, à minuit, une lumière surnaturelle vint, et l'Ange du Seigneur est entré dans la pièce, et Pierre a été libéré de ses chaînes, toutes les portes s'ouvrirent et il fut conduit dehors.

Frères et sœurs, Jésus-Christ est le même, et Il parle : « Je suis venu en ce monde comme une lumière afin que quiconque Me suit ne demeure pas dans les ténèbres, mais ait la lumière de la vie ». Dieu a donc confirmé le message. Et les services de guérison ont, en effet, été vécus par des centaines de milliers de personnes depuis plus de trente ans, et par la grâce, j'en fais également partie. 

Que Dieu vous bénisse maintenant. Écoutez attentivement, croyez, et remerciez le Seigneur, car vous aussi vous êtes guéris. Tout est vraiment arrivé : le salut et la guérison, le pardon et la délivrance, la rédemption totale selon l'esprit, l'âme et le corps a été déjà accomplie pour nous tous sur la croix à Golgotha. Que Dieu vous bénisse ! Que les malades soient guéris ! Que les perdus soient sauvés, et que ceux qui sont liés soient libérés ! Soyez bénis au nom saint de Jésus !

[N.d.l.r : Diffusion du service de guérison tenu après la prédication « Du baume en Galaad », prêché par frère Branham à Cleveland, Tennessee, USA, le 07 juillet 1959].

...

Voyez ? Dieu est fidèle. Et si je me mets à la disposition du Saint-Esprit de telle sorte qu'Il puisse prendre un contrôle total sur moi, alors ce n'est pas moi, alors c'est Lui.

Est-ce que c'est la femme ? Nous sommes des étrangers l'un pour l'autre, n'est-ce pas ? Mais Dieu connaît cette femme, Il me connaît, je ne la connais pas, elle ne me connaît pas, mais Dieu nous connaît tous les deux. Elle a quelque chose qui l’a fait venir ici. Je ne peux pas savoir ce que cette femme a. Peut-être a-t-elle des problèmes financiers, peut-être dans sa famille… je ne sais pas. Je pourrais dire : « Femme, alléluia, le Seigneur te guérit ». Je pourrais dire : « alléluia, tu es malade, alléluia, tu vas guérir ». Je pourrais le faire, et si elle le croyait, cela pourrait t'arriver ! Pourquoi pas, parce qu'elle est venue en toute sincérité ? Mais elle attend aussi quelque chose. 

Mais, si Dieu parle à travers moi, comme le Seigneur l'a fait avec la femme au puit comme il est rapporté dans Jean 4, ou comme Il l'a fait avec Philippe et Nathanaël, ou avec Pierre, comme Il l'a dit quand Il les a rencontrés pour la première fois, qui ils étaient, où ils étaient. Si le Seigneur fait ressortir quelque chose de ta vie, les besoins que tu as eus, ou ce que tu as maintenant, tu sauras quand même si c'est vrai ? Et si Dieu sait ce qui a été, alors Il sait ce qui est, et ce qui sera. Est-ce que c'est vrai ? Alors prions.

Ô Seigneur, au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je m'en remets entièrement à Toi, ô Seigneur. Prends-moi tout entier : mes pensées, mon esprit, tout ce que je suis et tout ce qui est en moi. Accepte-le. Oh, quel pauvre vase Tu as pris ! Je lève les yeux vers Toi, et je Te prie : sois avec nous, et bénis d'une manière extraordinaire. Purifie et sanctifie tout le monde, et sois avec nous.

En effet, Tu l'as caché aux sages et aux intelligents, et Tu l'as révélé aux petits-enfants : qu'ils sachent tous aujourd'hui que Tu es Jésus-Christ, et que Tu es le même ! Qu'ils sachent qu'il y a de l'onction en Galaad, et que Tu es encore aujourd'hui le Médecin.

Qu’ils aient tous des cartes de prière ou pas, puissent-ils être guéris ! Puissent-ils simplement croire et reconnaître que Tu Te manifestes simplement comme le même à travers Ton serviteur. Accorde-nous tout cela, au nom de Jésus-Christ. Amen.

S'il vous plaît, soyez dans le recueillement. Et, au nom de Jésus-Christ, je prends chaque âme sous Son contrôle.

Je ne te connais pas. Si le Saint-Esprit me révèle quelque chose que tu sais et que je ne peux pas savoir, l'accepteras-tu ? Tu vois ? Vous savez, cela doit venir de manière surnaturelle, soit du diable, soit de Dieu. C'est surnaturel, car je ne te connais pas. Bien sûr que ce n'est pas possible. Si tu penses que c'est l'ennemi, tu seras récompensé par lui. Si tu penses que c'est Dieu, tu seras recommencé par Dieu. Comme tu le penses, comme tu l'acceptes, il en sera ainsi.

En ce temps-là, Nathanaël dit : « Tu es Christ, le Fils du Dieu vivant », et Il a dit : « Béni sois-tu, et vous verrez de plus grandes choses encore ». Les scribes eux ont dit : « Il est de Belzebuth, Il a une sorte de divination et ainsi de suite ». Où pensez-vous qu'ils sont aujourd'hui ? Où sont Philippe et Nathanaël aujourd'hui ? Vous voyez ? Eh bien, si Dieu me révèle ce que tu as, allez-vous tous croire, dans l'auditoire et sur la plateforme, que le Saint-Esprit est ici ?

Cette femme souffre de nervosité. Je dois prier pour cela. Elle est extrêmement nerveuse, et cela a un rapport avec l'esprit, avec le mental, avec tout. Tu penses que tu vas perdre la raison. Satan ment. Combien croient ? Comme beaucoup le pensent, vous tous qui êtes nerveux et qui avez une souffrance, levez-vous. Vous vous dites : « Ah, frère Branham, tu l'as deviné ! ». Non. Voyons si c'était une devinette, ou une révélation. Le Seigneur va certainement en montrer d'autres.

Oui. Je vois que tu bouges et il semble que tu m'aies quitté. Elle n'est pas de cette ville. Tu viens d'une grande ville de Chattanooga. C'est vrai ? Crois-tu que Dieu sait qui tu es ? Tu t'appelles Cléo, et tu es Madame Cléo Duggan. Duggan est ton nom de famille. Et je vois maintenant ta sœur. Elle est dans un centre de santé et vit à Knoxville. Vous êtes toutes les deux guéries au nom de Jésus Christ. 

Crois-tu, toi aussi, que l'Esprit de Dieu est ici pour révéler tout cela ? Comme vous le croyez, c'est ce qui va se passer. Avez-vous la foi dans l'auditoire ? Ayez foi en Dieu. Le même Saint-Esprit qui était à l'œuvre aux jours de Jésus-Christ est à l'œuvre aujourd'hui. Priez. 

Nous aussi, nous sommes des étrangers l’un pour l’autre. C'est la première fois que nous nous rencontrons, mais Dieu nous connaît tous les deux. Et si Dieu me révèle ce qu'est ta détresse, me fait connaître en tant que Son serviteur ce pourquoi tu es ici... 

Mais je suis né avec un don, et tout au long de ma vie, j'ai vu des visions. Tu souffres aussi de nervosité, tu as aussi un problème de dos. Si cela ne te dérange pas, agite ta main. Et ton mal de dos t'a rendu nerveuse. Tu t'appelles Madame Wells, et tu viens de Cleveland. Rentre chez toi, tu es guéri par la puissance de Dieu, au nom de Jésus-Christ.

Venez Madame. Est-ce que tu crois de tout ton cœur ? Crois-tu que Dieu peut me dire ce que tu as ? Crois-tu que c'est l'Esprit du Christ ? Tu es tombé et tu t'es fait mal à l'épaule. Tu veux que je prie pour cela. Tu n'es pas de cette ville, ni de cet état. Tu viens du Missouri. Tu peux rentrer chez toi. Tu es complètement guérie par la puissance de Dieu, au nom de Jésus-Christ.

Dieu est Dieu ! La femme qui est assise là, au bout de la rangée, elle prie. Elle a une maladie de cœur. Crois-tu que Jésus-Christ te guérit ? Est-ce que tu le crois ? Toi là-bas qui regarde maintenant ici, crois-tu que Dieu va te guérir ? Si tu peux le croire, accepte-le. Tu peux rentrer chez toi en bonne santé.

La femme en deuxième position dans le rang, crois-tu que Dieu va te guérir ? Tu as une maladie d'estomac. Jésus-Christ t'a guéri. Tu as une carte de prière ? Non. Tu n'en as pas besoin. Dieu t'a déjà guéri. 

Qu'est-ce qu'elle a touché ? Elle a touché le grand Sacrificateur, le Souverain. Par la foi, elle a touché Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et il a de la compassion avec nous.

Je demande à toute l'Assemblée de croire ce que disent les Saintes Écritures. L'Esprit de Dieu est présent. Ne doutez pas, ayez foi en Dieu. Femme, sommes-nous aussi des étrangers l’un pour l’autre ? Alors lève la main, merci. Merci à toi.

Quand Dieu me révélera ce que tu as, croiras-tu que je suis le prophète de Dieu et Son serviteur ? Crois-tu que c'est l'Esprit de Dieu ? Entre moi et la femme, il y a la lumière. Oui, juste entre nous deux. Vous voyez la lumière ? La lumière se déplace vers la femme. Elle n'est pas là pour elle-même, mais pour quelqu'un d'autre, et plus précisément pour sa fille adoptive. Et elle n'est pas ici, elle vit en Géorgie. Et elle aussi est nerveuse, et elle a un terrible défaut d'élocution.  Je vois une ombre au-dessus d'elle. Elle est encore pécheresse, elle n'est pas encore sauvée. C'est ainsi que parle le Seigneur. L'acceptes-tu ? Alors, crois qu'elle est guérie et sauvée au nom de Jésus-Christ !

Crois-tu, femme ? Crois-tu que Dieu peut me dire quelle est ta détresse et me montrer pourquoi tu es ici ? Un moment... quelqu'un a touché le Seigneur avec foi. Le monsieur âgé ici, là, il a un problème à la jambe. Tu devrais être opéré. Tu n'as pas de carte de prière. Tu t'es assis là, tu as prié, et tu as cru ; et le Seigneur te parle maintenant. La lumière, l'ange du Seigneur est maintenant à tes côtés. Crois seulement que tu es guéri par la puissance de Dieu au nom de Jésus ! Tu as touché le Souverain Sacrificateur qui a de la compassion pour nous. N'en doute pas.

Qu'est-ce que cet homme a touché ? Qu'est-ce que c'était ? Il a prié et il a cru, et j'ai vu qu'il se passait quelque chose. Et il n'a pas du tout de carte de prière, il n'est pas du tout sur la plateforme dans la ligne de prière, mais il a cru. L'ange du Seigneur se tenait là-bas, la lumière était sur lui. Les médecins voulaient opérer sa jambe. Crois de tout ton cœur : tu n'as plus besoin d'opération.

Croyez-vous tous que Dieu est présent ? Qu'Il est là en esprit ? Il est Dieu. Il a toujours été Dieu, Il sera toujours Dieu, et c'est le même ici aujourd'hui, le même.

Est-ce que c'est la femme suivante pour laquelle je dois prier ? Si Dieu me révèle quelque chose de ta vie, le croiras-tu ? Tu as peur d'avoir un cancer ? Oui. Tu as été opéré du sein, et tu as peur que le cancer revienne. Eh bien, si c'est vrai, lève la main pour que les gens le voient. Il y a pourtant de l'onction en Galaad. Le Médecin est ici. Tu n'as pas besoin d'une autre opération. Tu es guérie par la puissance de Dieu. Dieu a fait la première opération dans le jardin d'Éden, quand Il a retiré Ève, la bien-aimée d'Adam. Tu n'as plus besoin d'opération. Marche avec foi, tu es guérie par la puissance de Dieu. Va avec foi dans le saint nom de Jésus.

Je sens que quelqu'un dans l'Assemblée pense que je lis les pensées. S'il m'est révélé qui c'est, je le dirai. Je le dirai. Quelqu'un est assis là-bas avec de la tuberculose, un homme plus jeune. As-tu une carte de prière ? Non, pas du tout. Mais tu as de la tuberculose. Le grand Médecin est proche de toi. Cher monsieur, tu as touché le Souverain Sacrificateur. Lève-toi et remercie Dieu, tu es guéri de ta tuberculose par la puissance de Dieu, au nom de Jésus.

Que cet homme vienne donc ici. Toi ici, mets ta main dans la mienne, s'il te plaît. Quand Dieu me révélera ce que tu as, croiras-tu que Jésus-Christ est le même, et qu'Il est présent ? Tu as une maladie asthmatique. Cet asthme te quitte maintenant. Je n'aime pas du tout regarder.

Écoute, si tu crois que ton mal de cœur te quitte, tu peux toi aussi partir d'ici guéri. Toi aussi, tu as de l'asthme. Ne doute pas, mais crois. Crois de tout ton cœur.

Et toi, crois-tu, de tout ton cœur ? Tu n'as plus besoin d'opération. Toi aussi tu es guéri. Tu peux aller manger ton repas du soir. Tu es guéri. Oh, une telle foi. Toi aussi tu peux être guéri. Crois seulement que c'est déjà fait. Toi aussi, tu n'as plus besoin d'être opéré, ta tumeur a été enlevée. Tu es guéri. Crois-tu que ton mal de dos est guéri ? Alors va ton chemin, et réjouis-toi.

Vous croyez tous maintenant ? Êtes-vous satisfaite que Jésus-Christ Se manifeste si puissamment au milieu de nous, comme étant le même ? Allez simplement, remerciez le Seigneur. Il l’a fait : vous êtes guéri. Combien le croient ? Vous, dans toute l'Assemblée, y a-t-il de l'onction en Galaad ? Y a-t-il un Médecin ? Est-Il présent ? Il est le grand Médecin. Le grand Médecin est maintenant proche de nous.

Vous, ici devant, sur les brancards, dans les fauteuils roulants, tout ce que vous avez, quoi que vous ayez, je le vois maintenant. Toi là-bas, crois-tu que Dieu est présent ? Si je pouvais te guérir, je viendrais et je le ferais, mais je crois que tu es déjà guéri : Jésus-Christ l'a déjà fait ! Et quand Il le révélera par son Saint-Esprit, l'accepteras-tu ? S'il te plaît, regarde ici. Je le dis, non pas pour être quelque chose, mais comme Pierre et Jean le disaient autrefois, et c'est simplement arrivé.

Et toi, au-dessus de toi, il y a une ombre de mort. C'est un caillot de sang dans ton cœur, et le médecin ne peut rien faire, mais Dieu le peut. Est-ce que tu le crois ? Est-ce que tu l'acceptes ? Acceptes-tu ta guérison au nom de Jésus-Christ ? Sois en bonne santé, tu es guéri si tu crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. L'ombre noire était sur toi, elle est partie. Tu es guéri. Et toi, avec ton diabète, tu es aussi guéri. Croyez-le donc. Le Seigneur est présent.

Vous tous qui restez, levez-vous. Levez-vous des civières. Levez-vous de vos chaises roulantes, levez-vous dans la foi. La puissance de Dieu est ici. Jésus-Christ est le même. Vous êtes guéris. Croyez-Le, et agissez en conséquence.

Oh, la présence de Dieu, la puissance de Dieu est ici. Dieu tout-puissant, dispensateur de tous les bons dons et de la vie éternelle, Tu es au milieu de nous. Viens maintenant sur tous pour qu'ils soient sauvés, pour qu'ils soient guéris. Je Te remercie pour cela.

Satan, tu es vaincu. Quitte cette salle, quitte tous les hommes ! Jésus-Christ est présent. Satan, tu n'as aucun droit sur ces personnes. Ils sont rachetés, ils sont sauvés, ils sont guéris. Satan, je te l’ordonne : sors, pars, et abandonne tous ces gens et ce bâtiment ! et j’ordonne qu'ils soient tous guéris au nom de Jésus-Christ.

Toi, là-bas, sur la civière, lève-toi. Toi, là-bas, lève-toi. Oui, vous voyez, il se lève. Il se lève au nom du Seigneur. La puissance de Dieu est puissamment présente. 

[Fin de la transmission. N.d.l.r].

Chers frères et sœurs, chers amis, nous avons assisté au service divin de guérison, et je suis tellement reconnaissant à Dieu d'avoir assisté à de nombreux services de guérison.

Mais laissez-moi maintenant vous donner mon puissant témoignage en quelques mots. En décembre 1980, j'étais dans des pays africains. Le dernier pays était le Ghana, dans la ville d'Accra, et j'ai dû y passer la nuit dans un très mauvais hôtel parce que j'étais arrivé si tard, et j'ai eu quatre piqûres de la mouche Tsétsé qui transmet la malaria, et je suis revenu de ce voyage en fin décembre avec la malaria tropicale. J'ai été immédiatement transporté à l'hôpital, et les médecins ont fait tout ce qui pouvait être fait.

Mais ensuite, à la mi-janvier 1981, l'équipe médicale est venue me voir dans la chambre ce lundi-là. Seulement quelques-uns, le professeur Becker et un autre médecin, et deux autres infirmières. Ils ont regardé le rapport et ont simplement dit... c'était le docteur Becker qui a dit : « Nous sommes désolés, il n'y a rien à faire. Les globules rouges ont été rongés. Ils sont en dessous de cinquante pourcents, ils tendent vers quarante pourcents. Il n'y a plus rien à faire. Nous devons prendre congé de vous ». Et puis, le mardi est arrivé, et une grande équipe est arrivée, plusieurs médecins, et ils ont relu et ont dit à peu près la même chose : « Il n'y a rien à faire, nous sommes désolés », et ils sont partis. 

Et puis est venu le mercredi, où ma femme n'a dit au revoir en deux ou trois minutes ; et puis est venu le jeudi, où deux infirmières ont poussé mon lit d'hôpital dans la chambre de la mort, un rideau ici et un rideau là, un à droite, un à gauche. Et à droite, il y avait quelqu'un en agonie. Oh mon Dieu ! Quels mots cet homme a utilisés ? C'est impossible à rendre. 

Mais j'étais allongé là, simplement en sécurité en Dieu, et j'ai dit : « Seigneur bien-aimé, si je viens à Toi maintenant, comment me tiendrai-je devant Toi ? ». Et à l'instant d'après, j'ai été retiré de mon corps, et amené dans la gloire. J'ai assisté à l'enlèvement. J'ai vu la troupe vêtue de blanc : Tous étaient jeunes ; toutes les sœurs avaient de longs cheveux qui pendaient en arrière ; tous les frères, tous étaient là et les vêtements brillaient. Ils n'étaient pas seulement blancs, ils brillaient.

Oh, je pourrais vous décrire et vous restituer toute la procédure. Tous les yeux étaient d'abord tournés vers l'ouest, puis, tous se tournèrent vers l'est, puis tous se tournèrent vers le haut. Et voici que l'instant d'après, nous avons été soulevés de la terre, c'est-à-dire que nous étions rassemblés en l’air, et que nous avons été soulevés de là.

Et après, on ne peut pas dire…. Mais après quelques instants, quelques moments, j'ai regardé encore un peu plus haut et j'ai vu la nouvelle Jérusalem. C'était le plus grand jour de ma vie, à la mi-janvier, ce vendredi-là. 

Que le Seigneur soit simplement remercié pour le fait que je n'ai pas seulement assisté à des services de guérison, mais que j'ai vécu moi-même une guérison divine. Que le Seigneur soit remercié.

Frères et sœurs, soyez fortifiés, soyez bénis ! Vous, les malades, soyez guéris par la puissance de Dieu, par le sang versé sur la croix à Golgotha ! 

Et nous chantons : « Il y a de la puissance dans le sang, il y a de la puissance dans le sang » ; et vous êtes guéris, vous êtes sauvés, et vous appartenez à Jésus-Christ !

Remerciez Dieu pour la rédemption totale, pour le dernier message, pour ce que Dieu a fait en notre temps. Remerciez-le déjà pour ce qu'Il va encore faire.  Et nous sommes dans une grande attente, et nous serons témoins de tout ce que Dieu fera encore. Loué soit Son nom glorieux. Amen !