Ewald Frank

Dimanche 02 avril 2023, Krefeld, Allemagne

Je voudrais moi aussi, saluer chaleureusement tous les frères et sœurs du monde entier et les remercier pour tous les appels téléphoniques, pour tous les courriers qui ont rappelé le 2 avril 1962.

Aujourd'hui, nous allons parler de deux événements particuliers, notamment de l'ouverture des sept sceaux aussi.

Nous avons entendu dans la parole d'introduction que, Paul a souligné sa vocation, a mis l’importance sur son appel ; et je vais devoir faire de même aujourd'hui.

Aucun homme ne peut accomplir une tâche, un mandat dans le royaume de Dieu, à moins d'avoir réellement reçu un appel à cet effet. Chaque serviteur de Dieu savait exactement ce qu'il avait à faire, ce qu'il devait faire, ce que le Seigneur lui avait demandé de faire, lui avait ordonné de faire et de dire. De même, je peux témoigner que c'est le Seigneur qui m'a appelé ! Nous y reviendrons dans un instant.

Lisons encore les autres passages, s'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons dans Galates chapitre 1 versets 11 et 12 :

« Je vous fais remarquer en effet, frères, que le message du salut digne de confiance que j'ai annoncé avec assurance, n'est pas à la manière des hommes. En effet, je ne l'ai pas reçu d'un homme, ni en prenant des cours, mais par une révélation de Jésus Christ ».

Ce témoignage de l'Apôtre lui aussi, a reçu de Dieu le mandat de proclamer le message divin du salut, non pas à la manière des hommes, mais comme Dieu l'a déterminé. Et cet homme de Dieu devait effectivement dire directement dans le premier chapitre de l'épître aux Galates : « Que celui qui annonce un autre évangile soit maudit ! ».

C'est une chose tellement sérieuse ! Nous sommes devant le Dieu Tout-Puissant, et nous devons être certains que nous devrions rendre des comptes. Et nous qui avons reçu un mandat divin, nous souffrons, nous portons une souffrance de voir tant de gens proclamer leur propre évangile à la manière des hommes, comme ils l'ont appris dans les écoles dites « bibliques » et les séminaires de prédicateurs.

Mais aujourd'hui, il s'agit vraiment de proclamer à nouveau le message original du salut, la Sainte parole originale est inaltérée, sans falsification, la Sainte Parole originale de Dieu, non pas à la manière des hommes, mais à la manière divine, par l'inspiration du Saint-Esprit.

Remercions le Seigneur de ce que nous n'avons pas la parole des hommes, mais la parole de Dieu. Poursuivons notre lecture.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons de 1 Timothée chapitre 1 verset 12 :

« Je suis reconnaissant à celui qui m'a rendu fort, notre Seigneur Jésus Christ, de ce qu'Il m'a estimé fidèle lorsqu'Il m'a établi dans Son ministère ».

Chers frères et sœurs, je peux dire la même chose du fond du cœur en toute véracité et sincérité : Je suis reconnaissant au Seigneur qui m'a établi dans Son ministère, car c'est le dernier et le plus grand mandat qui doit être absolument accompli avant le retour de Jésus Christ notre Seigneur, afin que tous ceux qui participeront à l'enlèvement, maintenant, écoutent dans cette dernière étape, le pur, le vrai message divin tel qu'il a été annoncé au commencement, maintenant à la fin ; qu'ils se laissent corriger et être mis en accord avec Dieu et la parole de Dieu.

C'est d'ailleurs pour cela que Dieu a envoyé frère Branham : pour nous ramener au commencement, revenir à Dieu, revenir à la Parole, revenir à l'enseignement des apôtres.

Et comme Paul l'a exprimé dans sa lettre aux Romains, le message du salut que Dieu a annoncé au commencement par Ses saints prophètes et qu'il a ensuite fait proclamer par Ses apôtres lorsque le temps était accompli.

Nous sommes simplement reconnaissants du fond du cœur d'avoir reconnu le temps, l'heure et le message qui est maintenant apporté au peuple de Dieu, aux véritables enfants de Dieu, et que tous aient la possibilité de revenir à Dieu et à Sa Parole après chaque captivité et dispersion babylonienne, car le Seigneur achève Son œuvre de rédemption à notre époque, et nous y avons une part directe. Que le Seigneur en soit remercié. Nous poursuivons notre lecture.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons de Actes des Apôtres chapitre 20 verset 27 :

« Car je n'ai pas manqué de vous annoncer tout le dessein de Dieu ».

Cela aussi est mon témoignage : J'ai effectivement annoncé tout le conseil de Dieu, tous les enseignements bibliques sur la divinité, le baptême, le repas, fondamentalement, tout le conseil du salut de notre Dieu, comme Paul l'a fait en particulier dans l'épître aux Romains, dans l'épître aux Éphésiens, dans l'épître aux Hébreux.

Combien de fois ai-je lu ces épîtres au cours des dernières semaines et des derniers mois ? C'est tout simplement merveilleux ! L'ensemble du conseil du salut de notre Dieu a été proclamé à notre époque, comme cela a été donné à l'apôtre Paul de manière particulière par le Seigneur à son époque, au début de l'Église, au commencement de l'Église du Nouveau Testament.

Dieu a ainsi veillé à ce que l'ensemble du plan de salut de Dieu, le plan de rédemption de Dieu, puisse être annoncé, et l'ouverture des sept sceaux –dont nous allons maintenant parler– en fait également partie. S'il te plaît.

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons maintenant l'Apocalypse chapitre 5 du verset 7 au verset 9 :

« Alors, l'Agneau s’en alla et prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône. Lorsqu'il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre anciens se prosternaient devant l'Agneau, chacun d'eux avait une harpe et des coupes d'or remplies de parfum, ce sont les prières des saints. Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d'en ouvrir ses sceaux ; car tu t'es laissé immoler, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toutes tribus, de toutes langues, de tout peuple et de toute nation ».

Remercié soit le Seigneur de tout notre cœur et de toute notre âme ! La question était la suivante : « Qui est digne de prendre le livre, d'en ouvrir les sceaux, de regarder à l'intérieur » ? Personne dans le ciel et sur la terre n'avait été trouvé digne de prendre ce livre saint, ce livre saint, d'en ouvrir les sceaux et de regarder à l'intérieur.

Et nous lisons ensuite : « L'Agneau était digne, l'Agneau qui S'est laissé égorger, l'Agneau de Dieu qui a ôté le péché du monde en le portant ». Donc, l'Agneau de Dieu était digne de prendre ce livre de la main de Celui qui était assis sur le trône, puis de l'ouvrir et de regarder son contenu.

Frères et sœurs, qu’est-ce qu’il y avait au début de l'ouverture de ce livre saint ? Qui y avait-il au début, au commencement de l'ouverture de ce livre saint ? Quelle était la chose principale ? Un nouveau cantique a été chanté. Et quel était le contenu de ce nouveau cantique ? « Tu as racheté pour Dieu des hommes de tous les peuples, de toutes les langues et de toutes les tribus ». La rédemption accomplie sur la croix à Golgotha a été placée au commencement, au début, lorsque le livre a été ouvert. Et c'est de cela qu'il s'agit, frères et sœurs.

Nous avons été rachetés par le sang de l'Agneau. Et quand je pense maintenant que le dernier message est entendu dans tous les peuples maintenant et toutes les langues, frères et sœurs, Dieu a fait de grandes choses dans notre temps.

Et nous remercions le Seigneur tout particulièrement aussi pour les vingt-deux chapitres (de l’Apocalypse). Jean, l'Apôtre, était sur l'île de Patmos, et c'est là qu'il a reçu la révélation divine finale de ce qui allait se passer jusqu'à l'enlèvement, les sept écrits aux églises, tout lui a été révélé, puis ce qui se passerait après l'enlèvement ; tout a été écrit jusqu'au royaume millénaire, jusqu'aux nouveaux cieux et à la nouvelle terre. Tout a été écrit dans les vingt-deux chapitres (de l’Apocalypse).

Et cela aussi je peux en témoigner : je n'ai pas compté le nombre de fois où, ces dernières semaines et ces derniers jours, j'ai lu ces vingt-deux chapitres et remercié Dieu, et remercié Dieu.

Frères et sœurs, nous vivons une période particulière, nous l'avons souvent dit, dans la dernière étape avant le retour de Jésus Christ. Et nous voyons dans tout ce qui se passe sur la terre que la fin des temps est là, et que le Seigneur a dit : « quand vous verrez toutes ces choses arriver, relevez la tête car vous savez que votre rédemption est proche ».

Nous sommes aujourd'hui le 2 avril. Vous pouvez tous vous souvenir de ce qui s'est passé le 2 avril 1962. C'était le jour le plus important de ma vie. J'avais reçu par grâce quelques jours importants, des expériences surnaturelles, mais le 2 avril 1962 était un jour très spécial. Je ne savais pas ni ne m'attendais à ce que le Seigneur me parle aussi d'une voix audible, forte et claire. Je savais que le Seigneur avait parlé à frère Branham, mais la surprise a été très grande ! Et je suis très reconnaissant au Seigneur.

Vous connaissez tous mon témoignage, l'expérience puissante du 2 avril 1962, lorsque le Seigneur m'a dit que mon temps pour cette ville était bientôt terminé, et qu'Il m'enverrait dans d'autres villes pour annoncer Sa parole. Il m'a dit d'emmagasiner la nourriture. Et le 3 décembre de la même année (1962), frère Branham a répété et confirmé mot pour mot le contenu de l'envoi reçu.

Vous savez tout ce qui a été dit dans l'ensemble, mais aujourd'hui, ce n'est pas seulement cela qui m'intéresse. Aujourd'hui, je me préoccupe aussi de mars 1963. Et avant de parler de mars 1963, il s'agit du 28 février 1963. Et avant que nous parlions de cela, il s'agit quand même du fait que frère Branham, le 3 décembre 1962, après m'avoir dit tout ce qui concerne le mandat que le Seigneur m'a donné, m'a dit qu'il avait reçu la directive d'aller en Arizona, et que là-bas, dans un nuage surnaturel, sept anges le rencontreraient.

Et je suis reconnaissant à Dieu du fond du cœur. Oui, cet homme de Dieu m'a dit : « Je ne peux pas assister à la réunion de Los Angeles, peux-tu prêcher là-bas à ma place ? » Vous connaissez tous les détails, je n'ai pas besoin de les répéter tous.

Mais le 28 février 1963 arriva : frère Branham était dans les montagnes, à quarante-deux miles de Tucson, en direction de la frontière du Mexique, et c'est là que ça s'est passé : D'abord un violent orage, une tempête, une pluie, un tonnerre, des éclairs ; et ensuite, un silence. Soudain, un ciel bleu et la nuée surnaturelle s'est inclinée ; et frère Branham a témoigné ce qui s'est passé. Il a pu raconter avec précision que les sept anges se tenaient là, en formation, et que le septième ange avait plus d'importance pour lui que les six autres, et c'était le septième ange dans cette nuée et dans cette constellation qui lui parlait disant : « Le temps est venu. Retourne à Jeffersonville, car les sept sceaux vont être ouverts ».

C'est ainsi que frère Branham a reçu la directive surnaturelle, puis il est revenu (à Jeffersonville) et a parlé des sept sceaux, du 17 au 24 mars 1963.

Frères et sœurs, nous vivons dans une époque où le Seigneur Dieu a agi de manière surnaturelle. Et si nous regardons à l'Ancien Testament, directement au commencement, Dieu a toujours agi de manière surnaturelle dans le domaine naturel. Il est venu vers Abraham, et la Bible dit que : « trois hommes sont venus vers Abraham : le Seigneur et deux anges. Les deux anges sont ensuite allés à Sodome. Le Seigneur est resté avec Abraham ; Il lui a fait la promesse :  Je reviendrais vers toi l'année prochaine à cette même époque. Ta femme aura alors un fils ».

Des événements surnaturels se sont produits à toutes les époques, même lorsque Moïse a été appelé. La colonne de feu surnaturelle dans le buisson, et il fut dit à Moïse : « Ôte tes chaussures, car le sol sur lequel tu te tiens est saint ». Et cette colonne surnaturelle de nuée et de feu accompagna Israël pendant quarante ans (Exode chapitre 13 versets 21 et 22).

Et cette colonne de nuée s'est même penchée sur frère Branham et descendue sur frère Branham. Frères et sœurs, c'est de cette colonne de nuée surnaturelle que le Seigneur lui a parlé et lui a révélé, par exemple ce qu'avaient les gens qui se tenaient devant lui dans la ligne de prière. Mais nous ne voulons pas nous y attarder maintenant.

Nous avons déjà montré à maintes reprises cette nuée dans laquelle les sept anges sont descendus. Et cette photo n'a été prise que lorsque la nuée était haute de trente-six kilomètres tout en étant encore relativement claire à voir.

Frères et sœurs, disons-le encore, et encore : Dieu a donné à frère Branham, dès le 11 juin 1933, l'ordre, le mandat d'apporter le message qui précèderait la deuxième venue de Christ. Et puis, il y a eu mars 1933 : l'ouverture des sept sceaux, et tout ce qui y a été révélé nous a été révélé, m'a été révélé par grâce. Nous avons pu classer tout cela selon la Bible, et montrer où les choses ont leur place.

Pour cela aussi, Dieu nous a accordé la grâce et nous en sommes reconnaissants. Par exemple, lors de l'ouverture du septième sceau, nous lisons effectivement au chapitre 8 que : « Lorsque l'Agneau a ouvert le septième sceau, il y a eu un silence dans le ciel pendant une demi-heure ». Mais juste après, il est écrit : « Et je vis sept anges qui se tenaient devant Dieu, et sept trompettes leurs fut données ».

Il ne faut pas s'arrêter au premier verset et dire ensuite ce que l'on veut dire. Il faut lire que ce qui est écrit du verset 2, c'est seulement ça qui est valable. Et à partir du verset 2, il est dit ce qui arrivera, c’est-à-dire que les sept anges sonneront de la trompette. Et frères et sœurs, je vous rappelle brièvement que les six premiers anges, les six premiers anges des trompettes étaient des anges de jugement. Il y a toujours eu des jugements sur la terre pendant que les six premiers sonnaient de la trompette ! Il est important de remarquer cela.

Mais ensuite vient le chapitre 10 : C’est le plus important dans ce contexte, à savoir qu’au chapitre 10, le Seigneur descend en tant qu'Ange de l'Alliance, pose un pied sur la mer, l'autre sur la terre, lève Sa main et jure par Celui qui vit d'éternité en éternité ; puis sept tonnerres font entendre leurs voix, mais Jean entendit la voix du ciel lui ordonner : « N'écris pas ce qu'on dit les sept tonnerres ! ». Et que s'est-il passé immédiatement après ? Il est écrit que : « En ces jours-là, lorsque le septième ange sonnera de la trompette, alors le mystère de Dieu sera arrivé à son terme, à son accomplissement, comme Il l'a révélé à Ses serviteurs, les prophètes ».

Et frères et sœurs, nous avons ici une prophétie qui aura trouvé un double accomplissement. La première a trouvé son accomplissement lorsque frère Branham, le septième ange de l'Église, a apporté le dernier message et a parlé des sept sceaux annonçant tout le conseil de Dieu. Tout est ainsi arrivé à son accomplissement, à sa conclusion. Dieu n'a rien d'autre à dire et à révéler que ce qu'Il a révélé et que ce qu'Il a dit.

Mais ce dont il est question ici, c'est que, lorsque le septième ange de la trompette fera retentir Sa voix, alors, le règne, le royaume sera proclamé ! Il ne s'agit alors plus de ce que Dieu a révélé par le septième ange de l'Église, mais il s'agit de la proclamation du règne de notre Seigneur.

Et permettez-moi de le dire rapidement et clairement : avant cela, il est écrit du scellement des cent quarante-quatre mille de toutes les douze tribus du peuple d'Israël. Avant, il est écrit… vous pouvez le lire au chapitre 11, que les deux prophètes apporteront leur message pendant trois ans et demi, et que pendant ce temps, les cent quarante-quatre mille seront scellés ; et ensuite, il est même écrit ce qui se passera encore, à savoir que le Temple sera construit, et qu’il sera mesuré.

Pendant les trois ans et demi qui suivront l'enlèvement, les deux prophètes auront leur ministère. Pendant ce temps, les cent quarante-quatre mille seront scellés, et le Temple sera construit aussi puis mesuré ; mais le parvis ne sera pas mesuré car, les trois dernières années et demie de la grande tribulation seront aussi à Jérusalem, et le parvis sera encore foulé aux pieds par les païens dans ce temps.

Mais voici le point : ce n'est qu'après le ministère des deux prophètes, après que le temple soit construit, c'est après cela qu'Apocalypse 11 annonce que le règne est arrivé, ou proclame qu'il a lieu maintenant. Et je demande que nous le lisions. S'il te plaît,

[Frère Borg lit. N.d.l.r]. Nous lisons le verset 15 d'Apocalypse 11. Apocalypse 11, verset 15 :

« Le septième ange sonna de la trompette. Et il eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son oint ; et il règnera comme roi dans toute l'éternité ».

Mais maintenant, nous pouvons même dire « alléluia ! » et « gloire à Dieu ! ». Frères et sœurs, si vous saviez ce que cela signifie pour moi, tout ce que Jean a vu, entendu et ensuite écrit sur l'île de Patmos, c'est tellement puissant, c'est tellement énorme ! Et puis ensuite la grâce que frère Branham ait été utilisé à notre époque pour que le livre scellé soit ouvert et que son contenu soit vraiment ouvert.

Frères et sœurs, nous pourrions continuer à parler des autres chapitres de l'Apocalypse, mais permettez-moi d'insister sur ce point : De quoi s'agit-il aujourd'hui ? Il s'agit de reconnaître la promesse pour notre époque, de prendre part à ce que Dieu fait actuellement.

Frères et sœurs, nous l'avons souvent dit : le Seigneur a repris frère Branham à la maison le jour de mon anniversaire, le 24 décembre 1965, le Seigneur a rappelé Frère Branham à la maison. Mais que s'est-il passé ensuite ? Que s'est-il passé ensuite ? Et je dois simplement le souligner encore une fois : Son enterrement n'a eu lieu qu'à Pâques 1966. J'ai assisté à ses funérailles et je le dis avec beaucoup de peine. Lorsque j'y ai été accueilli, on m'a crié ces mots : « Nous ne sommes pas ici pour des funérailles, nous sommes ici pour la résurrection, c'est Pâques ! Et nous allons assister à la résurrection du prophète ».

Je peux vous donner le nom de celui qui me l'a dit. Mais cela ne s'est pas produit. C'était Pâques, or, Pâques nous a rappelé la résurrection de notre Seigneur ; mais ici se trouvait le prophète que le Seigneur avait repris à la maison. Son ministère était pourtant terminé, son ministère était achevé, et c'est pourquoi le Seigneur l'a ramené chez lui, à la maison.

Mes frères et sœurs, ce 11 avril 1966, je n'ai fait que pleurer pendant des heures. Ils ont chanté : « Crois seulement, crois seulement » pendant près de trois heures. Je n'ai pas chanté avec eux. Je n'ai fait que pleurer et parler avec le Seigneur. En fait, je me suis débattu et j'ai dit au Seigneur : « Dis-moi comment l'Épouse sera-t-elle accomplie sans le ministère que Tu as donné à ton prophète ? » Car, je savais bien que le Seigneur l'avait envoyé apporter le message. Mais c'est à lui qu'il avait effectivement été dit : « Ce n'est pas toi, mais le message qui précèdera la seconde venue du Christ ».  Et c'est effectivement ce qui s'est passé.

Lorsque je suis retourné dans ma chambre d'hôtel, après les funérailles, c'était peut-être le troisième pas que j'ai fait avant de m'asseoir dans le fauteuil, lorsque la parole a été donnée : « Maintenant, ton temps est venu d'aller de ville en ville, d'annoncer la parole, et de distribuer la nourriture qui a été emmagasinée ».

Oh, ce fut une expérience particulière que le Seigneur me donna ce jour-là, le jour même de l'enterrement du prophète qui avait apporté le message, qui avait emmagasiné la nourriture ! Puis, après l'enterrement, Il a donné l'instruction : « Maintenant, maintenant ton temps est venu d'aller de ville en ville, d'annoncer la parole et de distribuer la nourriture ».

Vous pouvez vous souvenir des différentes expériences, mais celle-là aussi était énorme. Vous ne pouvez vraiment pas imaginer, frères et sœurs, qu'un frère Frank a vraiment entendu la voix audible du Seigneur, comme vous entendez maintenant ma voix !

Je vous ai dit combien de fois j'ai entendu Sa voix, mais cette fois-là, c'était le 19 septembre, alors que j'avais déjà fini de m'habiller. Tôt le matin, le soleil brillait pourtant dans la pièce lorsque j'ai voulu faire ma prière matinale et que j'ai tendu la main pour prendre la Bible, alors que je regardais vers la fenêtre, et directement du côté droit de la fenêtre, la voix est venue : « Mon serviteur, je t'ai désigné pour distribuer la nourriture au temps convenable selon Matthieu 24 du verset 45 au verset 47 ». Une désignation, une détermination divine que j'ai entendue de ses oreilles.

Frères et sœurs, Dieu a pourvu à tout ; et depuis ce temps-là, j'ai porté la parole dans le monde entier. Si l'on a bien compté, on arrive à cent soixante-dix pays où j'ai annoncé la parole de Dieu et apporté le dernier message ; et j'ai distribué la nourriture spirituelle en particulier à tous les frères.

À tous les frères serviteurs, je recommande vivement aujourd'hui : Relisez les trois versets dans la prière, dans la prière, dans la prière : Matthieu 24 du verset 45 à 47. La nourriture devait d'abord être distribuée et transmise aux domestiques. Et c'est exactement ce qui s'est passé : Dans les conférences, partout, nous avons eu des réunions de frères au cours desquelles il a été dit clairement à tous les frères ce qui devait se passer maintenant. Bien sûr, la parole de Dieu est destinée à tous, mais la distribution, la proclamation de la parole se fait par les frères. Et c'est pourquoi nous remercions tout particulièrement le Seigneur de ce que, maintenant, le monde entier, par les retransmissions hebdomadaires, écoute !

Et si nous le disons ainsi, par cela, Dieu a vraiment pourvu à tout. Dans tous les peuples de la terre, dans toutes les langues, Dieu a veillé à ce que tous puissent maintenant, grâce aux retransmissions, écouter trois fois par semaine la parole de Dieu. Qu'ils soient à Moscou, à Pékin, au Caire ou à Washington, peu importe où ils se trouvent sur la terre, tous maintenant, peuvent écouter trois fois par semaine les retransmissions.

Et nous sommes également reconnaissants à Dieu de ce que les retransmissions se fassent dans toutes les langues et que la technique soit également à notre disposition. Imaginez qu'ici, à Krefeld, on envoie directement des messages en treize langues, trois fois par semaine, et ensuite, tous ceux qui traduisent dans d'autres langues se connectent de sorte que tous les vrais croyants de la terre entière, maintenant, écoutent dans toutes les langues, dans tous les pays, le dernier message qui précède la seconde venue du Christ, comme cela a été promis.

Et c'est pourquoi nous remercions de tout cœur le Seigneur de nous permettre de vivre cette partie, la dernière partie de l'histoire divine du salut. Et nous pouvons dire avec conviction : « Nous ne sommes pas seulement à la fin des temps de la fin, nous sommes en fait juste avant cela : la porte pourrait s'ouvrir à chaque instant ! ». Et notre Seigneur a dit que si tout cela se produit, arrive, alors c'est proche, c'est à la porte.

Que faut-il dire aujourd'hui ? Chers frères et sœurs, acceptez, acceptez maintenant le dernier message divin. Laissez-vous corriger ! Que tous fassent leurs expériences personnelles de salut avec Dieu. Que nous ne parlions pas seulement de ce que Dieu a fait, comment Il a béni frère Branham à notre époque, l'a utilisé comme le prophète promis qui se présenterait avant le grand et terrible jour de l'Éternel, c'est-à-dire à la fin du jour de la grâce, du jour du salut.

Frère Branham était un prophète promis, et vous pouvez le lire dans Matthieu 17 verset 11 où notre Seigneur l’a confirmé : « Je vous le dis en vérité, Élie vient premièrement et rétablira toute chose, rétablira toute chose ». Vous pouvez déjà lire dans Actes de l'Apôtre 3 verset 21, ce qui est écrit au sujet de notre Seigneur : « Il faut que le ciel le reçoive jusqu'au rétablissement de toute chose, comme Dieu l'a annoncé d'avance par la bouche de Ses serviteurs, les prophètes ».

Je pourrais énumérer ici, comme je l'ai déjà fait à maintes reprises, les passages bibliques qui se sont accomplis à notre époque. Nous pouvons toujours dire : « Aujourd'hui, cette écriture est accomplie sous nos yeux ».

Ensemble, nous attendons la pluie de l’avant et de l'arrière-saison, et le Seigneur Lui-même fera la conclusion.

Frère Branham a fait sa part. J'ai fait ma part. Tous les frères ont fait leur part. Et maintenant, le dernier message est donné pour la dernière fois, trois fois par semaine, et nous sommes si proches de la venue du Seigneur, si proches que cela peut vraiment arriver à tout moment.

Puissions-nous être de ceux qui sont prêts ! Et comme il a été lu dans l'Apocalypse 5, lorsque l'Agneau a pris le livre et que les vingt-quatre anciens et les êtres vivants ont joué de la harpe et chanté que Dieu a appelé Son peuple à sortir de tous les peuples et de toutes les langues, cela s'est réalisé à notre époque comme jamais auparavant !

Et permettez-moi de le dire encore maintenant avec toute la clarté voulue. Frères et sœurs bien-aimés, ce n'est pas facile pour moi, mais je le dis quand même : Avez-vous entendu dire par un seul homme, par un seul frère au cours des cinquante, soixante, soixante-dix ou dix ans passés, que le Seigneur Dieu en a appelé un autre, ne serait-ce qu'un, pour encore porter Son message ? Dieu n'en a-t-Il pas toujours eu un seul ? un seul Abraham, un seul Moïse, un seul Josué, un seul David, un seul Jean-Baptiste, un seul Paul, un seul Jean sur l’île de Patmos ? Et ainsi, à notre époque, Il n'a eu qu'un seul frère Abraham, Il n'a eu qu'un seul frère Frank pour apporter Sa parole.

Et tous ceux qui sont vraiment de Dieu acceptent maintenant ce que Dieu a fait, et respecteront la décision de Dieu. Celui qui ne respecte pas maintenant la décision de Dieu et n'accepte pas le ministère de frère Branham, ne pourra pas participer à l'enlèvement ! Et celui qui n'accepte pas le ministère qui se déroule actuellement, ne pourra pas non plus participer à l'enlèvement !

Puisse le Seigneur Dieu nous faire comprendre la gravité et le sérieux de ce qu'Il a fait. Et qui est l'homme, qui est l'homme qui a fait ce que le Seigneur a dit ? Par exemple : « Je t'enverrai dans d'autres villes pour annoncer ma parole » ? Quel est l'homme qui l'a fait ? Ou bien : « Je t’ai établi pour distribuer la nourriture au temps convenable ». Qui est l'homme qui l'a fait ? Celui qui nie cela est un blasphémateur ! Il n'a absolument rien à voir avec Dieu. Il peut parler du message et du messager, il n'a rien à voir avec ce dont il parle.

Ce n'est que dans la réalité que Dieu accomplira Son œuvre. Et tous ceux qui font partie de l'Église-Épouse, sont un seul cœur et une seule âme. Ils ont été ramenés au premier amour, et attendent ensemble que le Seigneur Lui-même achève Son œuvre. Et vous tous, de tous les peuples et de toutes les langues, vous en faites partie !

Remerciez Dieu ! Remerciez Dieu de pouvoir croire ce qui se passe maintenant, de pouvoir croire ce qui se passe maintenant, car Dieu le fait. Il achève Son œuvre de rédemption et Il reviendra nous chercher à la maison.

Loué et exalté soit Son Saint Nom ! Soyez bénis par la bénédiction du Dieu Tout-Puissant jusqu'à l'achèvement, jusqu'au moment du retour de Jésus-Christ, notre Seigneur ! Alléluia ! Amen ! Amen ! Amen !