Frère Ewald Frank

Dimanche 26 décembre 2021, 10:00

Sermon mensuel de Zurich (Suisse), retransmis depuis Krefeld (Allemagne)

Merci beaucoup pour cette introduction, frère Baumgartner. Comme la parole de Dieu est précieuse! Une nouvelle Jérusalem, parée comme une épouse pour l'Époux, nous attend dans la gloire. Nous sommes si reconnaissants au Seigneur Dieu pour Sa chère et sainte Parole; reconnaissants pour la grâce qui nous a été accordée en ce temps de reconnaître ce que le Seigneur a décidé, a promis et a mis en œuvre dans Son plan de salut.

Aujourd'hui, nous allons nous pencher plus particulièrement sur le mois de décembre. Nous retransmettons sur le site une prédication chaque mercredi, chaque samedi et chaque dimanche. Aujourd'hui, nous avons un jour particulier. Nous jetons un regard en arrière sur les nombreuses années, mais en particulier sur le mois de décembre 1965, lorsque frère Branham avait encore célébré la Sainte-Cène (le souper) le 12 décembre 65, puis a commencé son voyage en voiture de Tucson à Jeffersonville, et le 18, c'était l'accident; et le 24 décembre 1965, frère Branham est rentré à la maison. C'était le jour de mon anniversaire, et je voudrais profiter de cette occasion pour remercier tous ceux qui m'ont souhaité la bénédiction de Dieu pour mon anniversaire.

Quatre-vingt-huit ans sont passés. Oui, et nous regardons aussi en arrière. À Noël, tout le monde s'est souhaité la bénédiction de Dieu. Nous sommes reconnaissants pour cette parole, reconnaissants de pouvoir la porter, la transmettre. 

Mais je regarde en arrière, du premier au 5 décembre 1962, lorsque j'étais avec frère Branham à Jeffersonville, et qu'il avait pu me dire par révélation ce que le Seigneur m'avait dit le 2 avril 1962, à savoir que mon temps pour cette ville serait terminé et que le Seigneur m'enverrait dans d'autres villes pour proclamer Sa Parole. Et puis, la deuxième partie est venue avec la nourriture qui devait être stockée. Et frère Branham a reçu la révélation du Seigneur que nous avions pensé à une famine terrestre et que nous avions stocké de la nourriture terrestre. Dieu lui a révélé cela directement. Puis il m'a dit: «Frère Frank, la nourriture que tu devrais stocker est la parole promise pour ce temps, et elle est dans les messages qui sont enregistrés» et «attends d'avoir reçu le reste pour la distribuer». 

Dieu a donc répondu en toute clarté, sans «si» ni «mais», qu'il s'agissait d'une nourriture spirituelle, car l'homme ne vit pas de pain seulement, mais de toute parole de Dieu. Et puis encore la remarque que Dieu a promis d'envoyer une faim, d'écouter Ses paroles, comme c'est bien écrit dans Amos.

Nous sommes reconnaissants au Seigneur, et moi bien sûr d'une manière particulière, que le Seigneur m'ait fait la grâce d'être familier avec le ministère de frère Branham pendant dix ans. D’avoir rencontré cet homme de Dieu à maintes reprises, d’avoir parlé avec lui, d'avoir assisté à ses réunions. Dieu a vraiment veillé à ce que je ne me contente pas seulement de dire par des on-dit, mais que je puisse témoigner de ce que mes yeux ont vu et de ce que mes oreilles ont entendu de la parole de vie que je vous annonce. 

Dans Sa fidélité, Dieu a veillé à ce que le message soit apporté en temps voulu. Et cela aussi s’est produit il y a exactement quatre-vingt-huit ans, le 11 juin 1933, lorsque frère Branham reçut de la nuée de lumière surnaturelle l'appel suivant: «De même que Jean-Baptiste fut envoyé avant de la première venue de Christ, de même tu seras envoyé avec un message qui précédera la seconde venue de Christ».

Le Seigneur Dieu a permis que des promesses bibliques s'accomplissent lors de la première venue de Christ. Et avant d'en parler brièvement, permettez-moi de revenir sur Moïse, et cela parce qu'il avait été dit à frère Branham: «Comme deux signes ont été donnés à Moïse, de même deux signes te seront donnés». Le premier était que frère Branham devait prendre avec sa main gauche, la main droite du patient pour lequel il priait, retourner la main de façon à ce que la surface soit visible. Et l'ange du Seigneur a dit: «Si le patient a une tumeur, un cancer, il apparaîtra sur ta main. Et le patient ne doit pas fermer les yeux pendant la prière, il doit les garder ouverts, car, au moment où la guérison se produit, le cancer ou la tumeur disparaîtra de ta main».

Une instruction directe, comme je viens de le dire. Et puis la deuxième instruction est qu’il soit révélé à frère Branham dans une vision, qui est la personne pour laquelle il prie, d'où elle vient, quelle maladie elle avait. Et tout cela, je l'ai vu, entendu et vécu. Je suis reconnaissant au Seigneur Dieu du fond du cœur.

Mais qu'en était-il de Moïse? C'est pourtant à l'époque de Moïse que s'est accomplie la promesse que le Seigneur avait faite à Abraham: «Au bout de quatre cents ans, je libérerai ta descendance de la servitude». Quel était le message apporté par Moïse? «Laisse partir mon peuple!» Et le point culminant était dans la déclaration: «Laisse partir mon premier-né!» L'heure de la proclamation, de la libération était venue. Le sang des agneaux avait été peint (appliqué) sur les montants de la porte. Le temps était accompli et ce que Dieu avait promis à Abraham se produisait.

C'est exactement ce qui s'est passé dans le ministère de Jean-Baptiste. La prophétie biblique s'est réalisée: «Voici que j'envoie mon serviteur devant moi, pour me préparer le chemin». «Voici qu'une voix s'élève dans le désert: Préparez le chemin de l'Éternel, aplanissez une route pour notre Dieu». La prophétie biblique s'est accomplie, les promesses sont devenues réalité.

C'est exactement ce qui s'est passé à notre époque. Le Seigneur a pourtant dit clairement dans sa Parole: «Avant que vienne le jour terrible de l'Éternel, Il enverrait un prophète, Élie.» Et que fit Élie? Élie avait pris douze pierres selon les douze tribus, et a reconstruit l'autel, offert le sacrifice et versé l'eau sur le sacrifice. Et puis il a prié et Dieu a répondu, et voici que les cœurs des Israélites sont ramenés à Dieu.

De quoi s'agit-il maintenant? Maintenant, le cœur des enfants de Dieu doit être ramené à la foi des pères apostoliques, comme, par le ministère de Jean-Baptiste, le cœur des pères de l'Ancien Testament a été amené à la foi des enfants du Nouveau Testament. C'est ce qui est écrit dans les derniers versets du prophète Malachie, et c'est ce que le Seigneur a confirmé dans Matthieu 17: «Élie vient premièrement, et il rétablira toutes choses». Et Actes 3 peut être lu, les versets 18, 19, 20 et 21, que notre Seigneur reste au ciel jusqu'au jour du rétablissement de tout ce que Dieu a prédit par la bouche de Ses saints prophètes.

Chers frères, chères sœurs, nous vivons dans la période la plus importante de l'histoire de l'humanité. Nous vivons dans la période la plus importante de l'Église du Dieu vivant. Nous vivons la fin des temps et nous voyons et vivons tout ce qui se passe en ce moment sur la terre. Et permettez-moi de le dire aujourd’hui: au cours des quarante dernières années, en particulier depuis la fin de l'année 1979 jusqu'à la fin de l'année 2019, nous avons vraiment vécu une période particulière. La Parole du Seigneur a été portée dans le monde entier. Les prédications de frère Branham ont été traduites. J'ai fait ce que le Seigneur m'a dit et ordonné, afin que le message atteigne vraiment les extrémités de la terre, car c'est aussi ce qui est écrit: «Cet Évangile …» et le message fait partie du plein Évangile, et le plein Évangile, le message du salut éternellement valable avec toutes les promesses devait être proclamé «… et alors viendra la fin». 

Les croyants comme les non-croyants savent que nous sommes arrivés à la fin des temps.

Je voudrais également le répéter: Pour la fin 2019, cela avait vraiment parlé dans mon cœur: «Seigneur, laisse Ton serviteur partir en paix, car mes yeux ont vu l'accomplissement du mandat que tu m'as confié». Et effectivement, je n'avais plus planifié ne serait-ce qu’un seul voyage missionnaire pour 2020 ou 2021. Pas un seul voyage. Une étape s'était terminée.

Et bien-aimés frères et sœurs, en particulier tous les frères serviteurs qui ont été désignés par Dieu dans toutes les langues pour proclamer le même précieux et plein Évangile comme message divin du salut à tous les peuples, et en particulier à tous les frères qui traduisent dans toutes les langues. Qu'on se rende compte qu'une prédication donnée maintenant à Zurich, à Salzbourg ou à Krefeld, peut être entendue sur toute la terre, dans toutes les langues! Dieu a pris soin de tout. À partir du moment où je n'ai plus pu faire de voyages missionnaires mensuels, Dieu Lui-même a veillé à ce que les anciens sermons des années quatre-vingt et les sermons de frère Branham des années soixante soient traduits et puissent être entendus dans le monde entier. Que le Seigneur soit remercié! Je n'ai demandé à personne de traduire, je n'ai demandé à personne de distribuer la nourriture, mais Dieu Lui-même y a veillé. J'ai aussi entendu les frères à qui Dieu a soudainement donné l'idée que les anciennes prédications devraient être entendues et diffusées. Je n'ai pas dit personnellement ou demandé cela à un frère, c'est Dieu qui l'a mis dans le cœur de nos frères. Nous voyons donc que le Seigneur est dans la chose et qu'Il veille Lui-même à ce que les derniers jusqu’aux extrémités de la terre entendent le dernier message.

Revenons encore une fois brièvement sur la fin des temps, frères et sœurs. Aucun d'entre nous n'aime l'époque dans laquelle nous sommes maintenant arrivés. Quand on pense aux prescriptions qui doivent être respectées, quelle profonde tristesse nous envahit. Et quand je pense que, toutes ces dernières années, nous avons pu tenir le Souper puis un repas d'amour en tant que assemblée (le 31)… Cette année, tout a changé. Que dire de ce qui est écrit dans Matthieu 24, dans Marc 13 et dans Luc 21 au sujet de la fin des temps et de ce qui allait se passer? Et dans le même verset de Luc 21, le verset 11, il est question de guerres, de tremblements de terre et de contamination, d'épidémies ou de pestes de toutes sortes. Et qu'est-ce que la Corona? Une épidémie. On l'appelle pandémie, mais c'est une épidémie qui entraîne une telle destruction et qui s'est abattue sur toute l'humanité. Que peut-on dire? Aujourd'hui, cette écriture aussi est accomplie sous nos yeux, accomplie au milieu de nous: Guerres, cris de guerre, tremblements de terre, famines, éruptions volcaniques, tempêtes, inondations, tout, mais aussi des pestes, épidémies de toutes sortes. Et nous remarquons que chaque peste reçoit ensuite son nom. Mais tout cela est l'accomplissement de la prophétie biblique.

S'il vous plaît, frères et sœurs bien-aimés, ne vous rebellez pas contre cela, ne participez pas à une discussion à ce sujet. Remerciez le Seigneur d'être avec nous et de maintenir la promesse qu'Il sera avec nous tous les jours, de quelque manière que ce soit, tous les jours, chaque jour jusqu'à la fin du monde.

En tant que véritables croyants, nous tournons nos regards seulement vers le Seigneur, vers l'achèvement, vers la proclamation, vers l’appel à sortir, vers la préparation. Et maintenant, il s'agit vraiment que tous les vrais croyants, qui ont été élus par la grâce et qui font partie de l'Église-Épouse, entendent maintenant seulement la voix de la Parole, la voix de l'Époux, y répondent et n'aient qu'une prière: «Seigneur bien-aimé, fais-moi connaître tout ce qui est encore en moi, ne pourra pas subsister devant Toi. Tout ce qui doit être mis en ordre, tout ce qui doit être bien fait, tout ce que je dois encore faire. Pardonne-moi! Aie pitié de moi! Renouvelle-moi! Oui, fais de moi une nouvelle création. Accorde-moi une vraie conversion, une vraie repentance, une vraie foi, un vrai renouvellement, une nouvelle naissance par le Saint-Esprit, un accomplissement du baptême du Saint-Esprit et de feu dans ma vie et ensuite la conduite par le Saint-Esprit!»

Seuls ceux qui ont vécu ces expériences de salut par la grâce feront partie de ceux qui seront conduits par l'Esprit de Dieu. Et que nous ne participions plus à aucune discussion, à rien, même sur les différentes interprétations au sein du message, que nous ne nous mêlions plus de la «doctrine des sept tonnerres» ou du «troisième pull» ou «d'Apocalypse 10», que nous n'entrions dans aucune discussion avec qui que ce soit, mais que nous nous reposions en Dieu, dans la Parole, et que nous vivions nos expériences personnelles de salut et, en relation avec elles, notre préparation directe et personnelle pour le jour glorieux du retour de notre Seigneur.

Nous attendons tous que le Seigneur achève Son œuvre. S'il vous plaît, n'attendez aucun prophète, ne vous attendez pas non plus à frère Frank. Moi, j'ai fait ma part. Maintenant, le Seigneur va achever. Il a commencé Son œuvre et Il achèvera Son œuvre, et cela se fera sous peu, très bientôt.

C'était il y a deux jours, une sœur m'a appelé et j'ai alors dit à un moment de la conversation: «Le retour du Seigneur est si proche». Et sa réponse fut: «Plutôt aujourd'hui que demain!». Et j'ai répondu amen à cela.

Mes frères et sœurs, de même que Paul voulait voir une Église sans tâches et sans rides devant le Seigneur, et que frère Branham a vu l'épouse qui est sortie du pas et qui a été ensuite ramenée au même pas, c'est pourtant ce qui se passe maintenant à notre époque. Par toutes les interprétations des déclarations de frère Branham, l'Épouse a été jetée hors du pas dans les directions les plus diverses. Mais par la proclamation de la vraie Parole, du vrai message que frère Branham a apporté, elle a été remise au même pas avec la Parole. Et nous sentons toujours de nouveau que l'amour de Dieu augmente en nous tous. Et nous sommes encore plus reconnaissants que jamais que le Seigneur nous donne de prendre part à ce qu'Il a prévu pour cette époque. Et nous pouvons dire que Dieu nous a donné des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.

Lisons maintenant encore deux ou trois passages bibliques. S'il te plaît. Frère Borg lit. Nous lisons dans Actes 20, verset 24:

«Mais je considère que la vie n'a aucune valeur pour moi. Si seulement j'accomplis ma course avec joie et si j'achève le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, à savoir rendre témoignage au message de salut de la grâce de Dieu».

C'est vraiment mon témoignage. Je l'ai dit: le 24, c’était mon quatre-vingt huitième anniversaire. Un frère m'a déjà félicité pour mon quatre-vingt neuvième anniversaire. Qu'est-ce que je peux dire? Je considère ma vie terrestre comme totalement sans valeur. Je n'ai rien dans ce monde pour lequel je puisse encore vivre. La seule chose est que la mission (le mandat) de Dieu a été accomplie avec bénédiction. Je n'ai pas d'autre désir (si ce n’est) que la sainte parole de Dieu accomplisse en tous ceux qui la croient ce pour quoi elle a été envoyée, à savoir qu'une Épouse sans tâche et sans ride soit prête au retour de l'Époux. Un autre passage biblique.

Nous lisons dans Jacques chapitre 5, versets 7 et 8:

«Ainsi donc, frères, persévérez jusqu'au retour du Seigneur. Rappelez-vous que le laboureur attend le fruit délicieux de la terre et qu'il patiente à cause d'elle jusqu'à ce qu'elle reçoive la pluie de la première et de l'arrière-saison. Vous aussi, supportez patiemment et affermissez vos cœurs, car la venue du Seigneur est proche».

Amen. Vous aussi, même en ces temps difficiles, tenez bon. Et tous passent par des épreuves dans les familles, dans les mariages, tous passent par des épreuves comme jamais auparavant. Tenez fermement, restez attachez fermement à la parole! La grâce de Dieu sera avec vous. Tenez bon, tenez bon, patiemment. Cela aura valu la peine de faire confiance au Seigneur dans toutes les épreuves et de savoir qu'Il fera bien toute chose. Et nous, après tout ce qui est souffrance, douleur dans les familles, même en ce moment, Dieu fera bien les choses avec tous ceux qui ont mis leur confiance en Lui. Vous, parents, qui attendez que vos enfants deviennent croyants, tenez bon en cela! Qui que vous soyez, tenez bon. Le Seigneur Dieu ajoutera les derniers au dernier moment et il ne manquera personne, le nombre sera complet au retour du Seigneur. Encore un passage biblique. 

Nous lisons encore dans 2 Timothée chapitre 4, versets 7 et 8:

«J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi intacte: désormais est prête pour moi la couronne de victoire de la justice, que le Seigneur, le juste juge, me donnera en ce jour-là; non seulement à moi, mais aussi à tous ceux qui auront aimé son avènement».

À cela, nous disons amen. Non seulement le prédicateur, mais tous ceux qui ont prêté l'oreille à la prédication d'un homme de Dieu et qui ont reçu la parole annoncée non pas comme parole d'homme, mais comme parole de Dieu, recevront la même récompense que tous les porteurs de la parole de Dieu. Ça, notre Seigneur l'a déjà dit: «Celui qui accueille un prophète parce qu'il est un prophète recevra la récompense d'un prophète». Frère Branham l'a aussi souligné, lorsqu'il a vu devant lui la foule innombrable vêtue de blanc, tous jeunes, à qui le Seigneur a accordé la grâce, tous ceux qui ont cru à sa prédication.

Et frères et sœurs, je crois de tout mon cœur, mais je ne crois pas en moi, je crois au Dieu vivant! Je crois en mon Seigneur et Sauveur, qui m'a donné le mandat direct, confirmé par frère Branham, de proclamer Sa Parole et de porter Son message. C'est ce que j'ai fait avec une clarté de cristal, et je n'ai pas besoin de me corriger sur un seul point. La sainte parole de Dieu m'est chère, précieuse et sainte. Je remercie le Seigneur de m'avoir utilisé, moi qui suis le plus simple des hommes, pour porter Sa parole.

Encore la remarque qui me vient à l'esprit, au sujet de décembre 1962. Réfléchissez un instant: le plus grand homme de Dieu qui ait jamais existé sur la terre dit au plus petit homme de Dieu qui ait jamais existé sur terre: «Peux-tu prêcher à ma place à Los Angeles chez Demos Shakarian? J'ai été désigné pour parler aux hommes d'affaires du plein évangile à telle et telle date, mais je ne peux pas car je dois faire mes bagages et nous devons déménager de Jeffersonville à Tucson». Pouvez-vous réfléchir? Le plus grand homme de Dieu demande à un frère Frank de parler à sa place à Los Angeles! Et c'est ce que j'ai fait. Et le même homme de Dieu m’a dit: «Écoute, si tu as encore le temps, je dois prêcher chez le frère Ernest Hutten à Portland, Oregon, mais je ne le peux pas. Tu peux y aller aussi?» Et il m'a donné les adresses, les noms, les numéros de téléphone et, pour finir, celui de Henry Martens à Edmonton. Il m'a dit: «Si tu as encore le temps, rends-lui visite, car c'est là aussi que mes prédications sont traduites en allemand».

Dieu m'a vraiment fait la grâce de m'associer dès le début au ministère de frère Branham, de parler avec lui, de voyager dans la même voiture que lui, d'assister aux réunions avec lui. Et Dieu, le Seigneur, a fait en sorte qu'après son départ, je puisse porter la précieuse et sainte Parole, le dernier message, dans le monde entier.

Comme je l'ai fait remarquer plus tôt, j'ai vieilli au cours des deux dernières années, mais la parole du Seigneur est toujours fraîche et toujours vivante! Tout s'est affaibli en moi, mais grâce soit rendue au Seigneur, qui accorde Sa grâce pour tout ce qui doit encore être fait. Mais c'est à lui de le faire. Et nous disons ensemble: «Seigneur bien-aimé, achève maintenant Toi-même Ton œuvre. Viens sur Ton Église avec la puissance du Saint-Esprit, comme au commencement. Agis de manière surnaturelle et confirme Ta parole en chacun individuellement, et fais-nous vivre ainsi la préparation, puis l'achèvement par la grâce.

À toi le Dieu tout-puissant, notre Seigneur et Sauveur bien-aimé! Merci pour le sang de la nouvelle alliance, merci pour la sainte parole de Dieu, merci pour le Saint-Esprit qui nous a conduit dans toute la vérité». Et que tout le peuple sur toute la terre entière, dans toutes les langues, dise: «Amen», ainsi soit-il, et ensemble, nous remercions le Seigneur au nom de Jésus-Christ.

 

Transcription du sermon mensuel de Zurich 

Dimanche 26 décembre 2021

Sermon prêché depuis Krefeld (Allemagne)

Orateur: Missionnaire Ewald Frank.