Ewald Frank

Prêché à Krefeld le 17 novembre 1982, 19:30
(Retransmis le 02 mars 2024)

2 TIMOTHÉE 2 : 2. CONFIEZ CET ENSEIGNEMENT  UNIQUEMENT À DES PERSONNES FIABLES 

Louange et remerciements au Seigneur de nous permettre d'être à nouveau ici. C'est un privilège. Et si nous pouvons adorer, nous devons saisir l'occasion. Frère Schmidt a déjà exprimé ce que nous ressentons tous, que nous aimerions parler à Dieu, parler de telle manière que nous ayons la certitude qu'Il écoute ce que nous disons, et aussi la certitude que ce que nous disons Lui plaît, et est dans Sa volonté.

On prie partout, nous le savons tous, ce n'est pas nouveau, et il y a certainement des gens qui prient beaucoup plus que nous. Mais, ce qui compte, c'est de prier vraiment dans la volonté de Dieu, de parler avec Dieu ; et comme le Seigneur Lui-même l'a dit, de ne pas faire beaucoup de discours, de paroles, mais de dire à Dieu ce qui nous touche.

Et puis, il y a tellement de choses que nous devons encore avoir la grâce et apprendre du Seigneur ce que nous devons Lui apporter de toutes ces choses qui nous occupent. ; mais il est écrit : « s'Il nous écoute, c'est que nous avons reçu de lui les demandes que nous lui avons présentées ». (1 Jean 5, verset 15). Il faut donc prier dans Sa volonté pour qu'Il puisse exaucer et répondre.

Quand la parole a été lue ici, qu'elle n'ait pas enchaîné, vous savez, bien que la parole parle de la parole, que l'on lise ou que l'on entend, il s'agit toujours d'une seule chose, de la parole de Dieu qui demeure éternellement, il s'agit de l'évangile de Jésus-Christ ; et cette parole de Dieu n'est pas enchaînée. Nous avons lu ici qu'il (Paul) était enchaîné comme un criminel, mais la parole de Dieu n'est pas enchaînée. « C'est pourquoi je supporte tout avec fermeté, à cause des élus ». (2 Timothée 2 verset 10). On prêchait à tout le monde, tous ont écouté la parole, mais les souffrances et toutes ces circonstances, ce qu'il devait effectivement endurer lui-même, c'était à cause des élus. Lui-même... 

Et soulignons-le tranquillement aujourd'hui. Lui, ce Paul, était un élu de Dieu, un ustensile, un outil choisi de Dieu. Pourquoi faire ? Pour quelles raisons ? Pour les élus, pour pouvoir leur apporter la parole de Dieu par révélation. Il n'a pas du tout révélé de mystère profond aux Corinthiens. Il dit : « Vous qui devriez être des maîtres depuis longtemps, vous avez encore besoin de lait » (1 Corinthiens 3 : 2). Mais, si nous considérons l'église d'Éphèse, même déjà les épîtres aux Romains et les épîtres aux Galates, nous voyons à quel point il a pu pénétrer profondément dans les mystères de Dieu.

Ici, j'ai remarqué quelque chose dans 2 Timothée 2 verset 11. 

« La parole est certaine : si nous sommes morts avec lui, nous vivrons aussi avec lui ; si nous persévérons avec constance ».

Et là, nous nous souvenons de la parole de Jacques, selon laquelle nous devons persévérer, car la venue du Seigneur est proche. Dans 2 Timothée chapitre 1 verset 13, Paul dit :

« Comme modèle de saine doctrine, retiens celle que tu as entendue de moi dans la foi et l'amour qui ont leur racine en Jésus-Christ. Garde le bien précieux qui t'a été confié par le Saint-Esprit qui habite en nous ». 

Paul était conscient qu'il ne s'agissait pas seulement de paroles, mais d'un bien précieux qui lui avait été confié. Les saints enseignements, les saines doctrines des saintes écritures, pouvait-il dire, que tu as entendus de moi, garde cela dans la foi et l'amour qui est enraciné dans le Christ Jésus. 

Chaque enseignement, tout ce qui est apporté, doit avoir Christ comme point de départ et aussi comme objectif. Si quelque chose d'autre y est lié et qui n'est pas à la gloire de Dieu et à la glorification de Jésus-Christ, alors nous avons parlé à côté de Dieu ! Cela n'en voulait pas du tout la peine. Nous remarquons qu'il s'agit de donner toute la gloire à Dieu. Verset 14 :

« Garde le bien précieux qui t'a été confié par le Saint-Esprit qui habite en nous ». 

La même parole qui a été révélée par l'Esprit doit être maintenue vivante et préservée par l'Esprit en toi et en moi. Dieu peut faire les deux. Il peut donner, Il peut conserver, maintenir et aussi garder. Ensuite, il est dit au chapitre 2, verset 2 de 2 Timothée :

« Et ce que tu as entendu de moi avec la confirmation de nombreux témoins, confie-le à des personnes dignes de confiance, qui seront capables de l'enseigner aussi à d'autres ». 

Cela aussi est très important. Paul dit ici : « Ce que tu as entendu de moi avec la confirmation de nombreux témoins ». Paul n'a pas murmuré à l'oreille de Timothée en lui disant : « écoute ceci ou cela ». Ce que l'homme de Dieu prêchait, beaucoup d'autres l'ont entendu, et pas un seul n'a pu venir dire : « Oui, mais il m'a confié quelque chose de très spécial à moi ». Non. Ce qu'une seule personne a entendu, toutes l'ont entendu ! Ce qui était pour une personne était pour tous. Avec Dieu, il n'y a pas de secret comme c'est le cas ces jours-ci. On s'étonne parfois de l'art de la séduction de l'ennemi. Si quelqu'un me dit qu'il a mille façons de faire, je ne le contredirai pas, certainement pas. Si des personnes qui ont entendu la parole de Dieu se laissent simplement balloter, mouvoir par n'importe quel vent de n'importe quelle doctrine, mais ici, nous sommes avertis à retenir fermes, et à transmettre ce que nous avons entendu sous la confirmation de témoins, et cela doit être confié à des personnes fiables. Pas des gens qui en font leurs propres affaires, mais des hommes fiables, dignes de confiance, qui ont fait leurs preuves, qui reçoivent eux-mêmes ce que Dieu a révélé, et cela peut devenir une révélation pour eux-mêmes afin de le transmettre ensuite à d'autres et de les instruire à nouveau, d'être capable de les enseigner.

Il n'a pas fallu longtemps pour que cet âge chrétien prenne fin. Et le même Paul qui a donné un tel avertissement si profond écrit : « Je sais qu'après mon départ, plusieurs se présenteront, que des loups feront irruption, qu'ils déchireront le troupeau, et qu'ils présenteront des doctrines qui ne sont pas justes ». Et il dit que l'Esprit annonce ce qui doit arriver dans le dernier jour. Si l'on considère tout cela, il suffit de lire un peu plus loin au chapitre 2 de 2 Timothée pour y trouver de nouvelles exhortations à partir du verset 14. 2 Timothée 2 verset 14 :

« Rappelle ceci à tous, et avertit les instamment devant la face de Dieu, de ne pas se laisser entraîner dans des querelles de mots qui ne servent à rien et ne font que troubler ceux qui les écoutent ».

Si Dieu nous parle par Sa parole et que quelqu'un a encore envie d'en discuter, un tel homme ne croit pas que Dieu a parlé avec lui. Si Dieu nous a parlé, nous n'avons pas envie de nous disputer avec d'autres sur la parole de Dieu. Nous devenons alors intérieurement reconnaissants, nous n'avons alors pas envie de discuter à ce sujet, mais de croire vraiment de tout notre cœur, et de recevoir la parole. Partout où l'on prend la parole de Dieu comme prétexte pour en débattre, les auditeurs sont détruits et troublés. Et est-ce que c'est devenu vrai ? 

Vous pouvez prendre n'importe quelle parole de Dieu de Genèse 1 verset 1 à Apocalypse 22, dernier verset, et nous constaterons ensemble que chaque parole de Dieu est la vérité absolue et pure. Tôt ou tard, nous verrons l'accomplissement. Que cela nous convienne ou non, nous devrons admettre que tout ce que Dieu a dit est vrai, cela se réalise, car Il sait comment les choses seront avant qu'elles n'arrivent. Le verset 15 dit :

« Efforce-toi de te présenter devant Dieu comme un homme éprouvé, un ouvrier qui n'a pas à avoir honte parce qu'il présente avec exactitude la parole de la vérité ».

C'est une chose qui m'a tenu à cœur depuis que je suis devenu croyant : Si je dois annoncer la parole de Dieu, je dois le faire de manière à pouvoir me tenir devant Dieu. Pas seulement devant les hommes, mais aussi devant Dieu, afin de présenter et de partager correctement la parole de vérité. Maintenant, l'avertissement continue au verset 16 :

« En revanche, tu n'auras rien à faire avec les bavardages vides de sens et sans valeur, car en les tenant, ils s'enfonceront de plus en plus dans l'éloignement de Dieu ».

 N’est-ce-pas ? « Ils s'enfoncent de plus en plus dans l'éloignement de Dieu ». Ils peuvent parler de Dieu autant qu'ils le veulent, dire tout ce qu'ils veulent sur la parole de Dieu, s'ils le font en se disputant, en se donnant des droits et des raisons, et ainsi de suite, Dieu n'y est pas du tout dès le départ ! Et c'est pourquoi, cela conduit à toutes les choses décrites ici, jusqu'à l'éloignement de Dieu. Et puis aussi les paroles ici « comme un cancer », mais nous avons déjà tout cela devant nous. Que devons-nous en faire ? 

Dans Genèse 22, il y a la parole d'Abraham avec le paysage de Morija. Je voulais juste lire cela en complément pour dimanche. Nous en avons parlé ici dans Genèse 22 à partir du verset 1 :

« Après ces événements, Dieu voulut mettre Abraham à l'épreuve, et lui dit :  Abraham ! Celui-ci répondit : me voici ! Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, va-t'en au pays de Morija, et là, offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai ».

Le verset 4 aussi est peut-être également important :

« Le troisième jour, Abraham levant les yeux, vit le lieu de loin. Abraham dit alors à ses serviteurs : Restez ici pour vous avec l'âne ; mais moi et l'enfant, nous irons là-bas pour adorer, puis nous reviendrons ici vers vous ».

La foi d'Abraham est exprimée ici en paroles telles qu'elle a été mise en pratique par la suite. Abraham savait qu'il devait offrir Isaac en sacrifice, car c'est ce qui lui avait été ordonné ; il lui a été dit : « et offre-le là en holocauste ».

Vous savez ce que c'est qu'un holocauste ? La victime est tuée et est brûlée. Ce qui reste, ce sont les cendres. Et que s'est-il passé ? L'homme de Dieu dit aux serviteurs : « Restez ici, moi et mon fils allons adorer, puis nous reviendrons tous les deux, tous les deux », et il savait parfaitement qu'il devait l'offrir en holocauste. Abraham était convaincu que le Dieu qui lui avait fait la promesse : « En Isaac, toutes les générations, toutes les descendances seront bénies, et ainsi de suite, grande sera sa descendance... », il savait très bien que même si je tue mon fils et que je l'offre en holocauste, et qu'il ne reste que des cendres, Dieu me le rendra, et nous reviendrons tous les deux, ensemble, car c'est de la poussière que nous avons été pris, et c'est de cette poussière qu'Il peut de nouveau nous reprendre.

Ça, c'est une foi qu'on ne peut pas décrire avec des mots. Abraham est aussi appelé le père de la foi. Vous voyez déjà de quoi il s'agit. Abraham ne croyait pas n'importe quoi. Il croyait en la résurrection. Il croyait que s’il sacrifiait Isaac, il le récupérerait ; et il pouvait dire : « nous allons adorer, et nous reviendrons tous les deux. Nous reviendrons tous les deux ». Oh quelle parole glorieuse ! Quelle foi !

Bien-aimés, Dieu lui avait parlé, et nous devons simplement dire et redire que Dieu nous a aussi parlé, sinon, nous ne serions pas là ce soir. Il peut parfois sembler que le Seigneur fait traverser à ceux à qui Il a parlé des épreuves qu'Il ne pourrait faire traverser à personne d'autre. Ils pourraient tous y passer peut-être. Prenez ces hommes de Dieu, ici aussi Abraham, un bon exemple. Qui aurait pu prendre sur lui ce qu'il a pris sur lui ? Mais Dieu avait un chemin avec lui. Qui peut comprendre les voies de Dieu ? Qui peut les saisir ? Qui peut les comprendre ? Comme Ses jugements sont incompréhensibles, et ces voies insondables ! (Romains 11, verset 33). « Autant les cieux sont supérieurs à la terre, autant Ses pensées sont supérieures aux nôtres, et Ses voies supérieures à nos voies ». Qui peut comprendre et saisir tout cela ? Puis ici, au verset 13 :

« Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes. Et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils ».

Je l'ai déjà dit dimanche : un bélier est un mouton mâle ; et Abraham avait déjà vu ce bélier comme une référence au Christ, l'Agneau de Dieu, et il l'a amené, l’a offert là, et son fils pouvait vivre. Nous voyons plus tard, lorsque Moïse a appelé le peuple d'Israël à sortir, alors Dieu lui a dit : « Je prends le premier-né ». Laissez-moi lire cela pour que je le dise exactement, car ma mémoire n'est tout de même plus la même. Il y a ici en tout cas la parole : « Laisse partir Mon premier-né ». Le mot premier-né doit être ici lors de la sortie. Est-ce ici ? Oui, c'est ici au chapitre 4. Exode chapitre 4 verset 22 :

« Tu diras à Pharaon : Ainsi a parlé le Seigneur : Israël est mon fils, mon premier-né. Je t'en conjure : Laisse partir Mon fils pour qu'il me serve ».

Et vous l'avez lu dans l'histoire d'Abraham, c'est alors que Dieu dit : « Ton fils unique, celui que tu aimes ». Abraham avait beaucoup de fils, il avait un certain nombre de fils, et Dieu dit : « Ton fils unique, celui que tu aimes ». Et ici : « Israël est Mon fils, Mon fils premier-né. Laisse partir Mon fils ». Et puis, plus tard en effet, l'Agneau a été immolé pour tous les premiers-nés afin qu'ils restent protégés. 

Nous pourrions parler de beaucoup de choses ce soir, mais nous sommes ici pour prier, pour chercher la face de Dieu, et pour comprendre Sa volonté avec nous, même si c'est très difficile, nous ferions peut-être mieux d'avancer dans la foi, et de saisir ce que nous pouvons saisir et ce que nous ne pouvons pas saisir, tout en avançant dans la foi.

Quelqu'un a dit qu'un homme avait des difficultés à marcher et qu'il penchait toujours, mais qu'il se rattrapait, qu'il n'était jamais tombé alors qu'il avait toujours l'air de manquer de tomber, mais il continuait quand même à marcher parce qu'il pouvait se rattraper. Et je pense que nous aussi. La Bible dit : « Même quand les jeunes gens trébuchent et que les jeunes gens tombent à terre, le Seigneur les relève et les fait passer au travers ». (Ésaïe 40, versets 30 et 31).

Je crois qu'ensemble, nous pouvons faire confiance à notre Dieu. Celui qui nous a aidé jusqu'ici continuera à nous aider. Et si Abraham a fait confiance à Dieu, et que nous, nous sommes la descendants d'Abraham, nous voulons aussi faire confiance à Dieu. Et lorsque nous allons prier aujourd'hui, bien-aimés, ayons à cœur que Dieu nous donne des prières que nous pouvons Lui présenter ; pas simplement des choses de routine, mais quelque chose que Dieu peut vraiment mettre sur notre cœur ! Et c'est ce que nous voulons Lui apporter, et c'est ce que nous voulons tous porter dans la prière.

Et comme nous l'avons souvent dit : soyons vraiment brefs, courts, dans la prière. Pour le monde entier, nous pouvons toujours prier chez nous, dans notre chambre. Personne ne sait combien de temps nous prions, car nous sommes toujours courts dans nos prières, dans la chambre, n'est-ce pas ? Mais il serait bon que nous apprenions ici à ne dire au Seigneur dans de courtes prières, que ce qu'Il met justement sur notre cœur, pour que ce soit une prière inspirée vraiment par l'Esprit.

Mais ne vous sentez en aucun cas à l'étroit. Ouvrez votre bouche, et Dieu la remplira. Même si vous ne savez pas encore pourquoi vous devez prier, lorsque vous commencez à prier, cela peut être mieux que si vous le saviez avant... cela peut être mieux, et alors Dieu le donnera, Il l'accordera. Mais, prenons garde à ce qu'il y ait vraiment autant de personnes qui prient que possible, et en peu de temps les unes après les autres, afin que l'Esprit de Dieu puisse se reposer sur nous. Et s'il plaît au Seigneur d'agir en nous tous, alors nous nous joindrons tous à lui, car nous sommes ouverts devant Dieu. Nous sommes en effet réunis ici devant notre Père Céleste au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, au nom de Celui à qui tout est soumis, au nom de Celui en qui réside tout pouvoir dans les cieux et sur la terre, au nom de Celui en qui tout nous a déjà été donné, au nom du Seigneur Jésus-Christ, nous sommes ici ce soir. Et c'est en ce nom que nous voulons invoquer Dieu. Et c'est un Dieu vivant, un Dieu qui exauce les prières et qui y répond.

Ayons confiance comme Abraham l'avait, croire comme il croyait, être obéissant comme il l'était ; et Dieu Se confessera aussi à nous par grâce. Amen !

Père céleste, merci de tout cœur, ô Dieu, pour Ta parole de consolation, pour Ta parole d'avertissement, d'exhortation. Merci Seigneur de nous avoir permis de voir à travers Tes paroles les héros de la foi, de voir des hommes enchaînés mais qui se tenaient là dans la foi et ne reculaient pas malgré les nombreuses tribulations et les difficultés qui les entouraient, Seigneur, mais ils T'ont cru du début à la fin ô Seigneur ! 

Seigneur, nous Te prions de nous donner à tous cette foi, et aussi la confiance que nous Te croirons, que nous nous accrocherons à Toi jusqu'à ce que nous passions de la foi à la vue de ce que nous avons cru. Seigneur, donne-la-moi ! Ô Dieu, donne-la-nous tous. 

Seigneur, nous Te remercions aussi pour les portes ouvertes que Tu offres, ô Seigneur ! Seigneur nous Te remercions aussi pour la confirmation de Ta parole en notre temps, ô Seigneur, car Seigneur, là où Ta parole est répandue, en vérité Tu donnes encore des hommes, et là Tu fais encore venir des hommes à la foi.

Gloire à Ton merveilleux et saint nom de Jésus ! Amen !