Ewald Frank

Prêché à Krefeld, le 22 mai 1983
(Retransmis le 06 avril 2024)

JEAN 6, 32-71 : NE RESTEZ PAS IMMOBILES, NE VOUS PLAIGNEZ PAS, NE SOYEZ PAS OFFENSÉS PAR LA PAROLE DE DIEU

Tite chapitre 3 à partir du verset 4. Levons-nous pour cela.

« Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le bain de la nouvelle naissance et le renouvellement du Saint-Esprit, qu'Il a répandu sur nous avec abondance par Jésus-Christ notre Sauveur, afin que, par sa grâce, nous soyons déclarés justes, et selon notre espérance, héritiers de la vie éternelle ».

Prions.

Père Céleste, nous Te remercions de tout cœur que ce texte lu soit devenu une réalité divine. Tu nous as sauvé, nous T’en remercions. Tu nous as gracié, Tu nous as donné la vie éternelle. Seigneur, fais-nous comprendre que tout ce que Tu as fait a une validité éternelle, qu'il est impossible de le changer. Dieu fidèle, nous respectons ces faits. Nous acceptons tout comme un grand cadeau de Tes mains.

Nous Te demandons aujourd'hui de nous bénir, de nous bénir et de nous préparer à tenir le souper avec Toi. Tiens-le avec nous, Seigneur fidèle. Fais que la communion soit intime et vraie, profonde et vraie, imprégnée de Ton amour divin manifestée à Golgotha.

Nous Te remercions pour les deux réunions qui sont derrière nous. Dieu fidèle, nous Te remercions. Tu nous as parlé, et Tu as agi en nous. Nous Te remercions pour cela. Non seulement ces heures resteront inoubliables, mais ce que Tu as fait, nous le porterons avec nous et l'emporterons lorsque nous passerons de la foi à la vue. Bénis-nous et fortifies-nous dans notre esprit, notre âme et notre corps. Que Tu sois remercié et adoré, au nom de Jésus. Amen !

Nous nous asseyons. Vous remarquez certainement que ma voix n'est plus la meilleure, mais la parole du Seigneur était tout simplement merveilleuse ; et nous avons bien le temps de nous rétablir avec l'aide de Dieu. L'important, c'est que Sa parole soit apportée, que nous y croyons, que nous en fassions l'expérience, et que nous soyons bénis.

Lisons seulement la parole de Dieu. Lisons tout d'abord quelques versets de l'évangile de Jean, tirés du chapitre 6. Ici, nous lisons à partir du verset 32. Jean 6 verset 32 :

« Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel ; car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. Alors, ils lui crièrent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain. Jésus leur dit alors : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura plus jamais soif. Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point. Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi ; car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tous ceux qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. Car c'est la volonté de mon Père que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour ».

Maintenant, à partir du verset 44 :

« Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire pas ; et alors je le ressusciterai au dernier jour. Car il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés par Dieu. Tous ceux qui ont entendu et appris du Père viennent à moi. Non pas comme si quelqu'un avait vu le Père, car celui la seul qui vient de Dieu a vu le Père. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit a la vie éternelle. Je suis le pain de la vie. Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. C'est ici au contraire le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meurt point. Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair que je donnerai pour la vie du monde ».

Tout d'abord, cette précieuse parole jusqu'ici. Ici, le Seigneur parle déjà de l'offrande de Son corps. Ici, Il donne l'indication qu'Il est le Pain vivant descendu du ciel. ; et Il Se réfère à la parole du prophète qui dit ceci : « ils seront tous enseignés par Dieu » ; et c'est justement après cet enseignement divin, profond et pénétrant, que beaucoup se sont offusqués, l'ont quitté, n'ont plus compris ce qu'Il disait. Nous lisons cela à partir du verset 60 :

« Plusieurs de ses disciples, après l'avoir entendu, dirent : Cette parole est dure ; qui peut l'écouter ? Jésus sachant en lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : Cela vous scandalise-t-il ? Que se passera-t-il donc quand vous verrez le Fils de l'homme monter là où Il était auparavant... ? C'est l'Esprit qui crée la vie ; la chair ne sert à rien. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et sont vie. Mais il y a aussi parmi vous des gens qui ne croient pas. Jésus savait en effet dès le début qui étaient ceux qui restaient incrédules, et qui était celui qui allait le trahir. Il poursuivit ensuite : C'est pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si cela ne lui est pas accordé par le Père ». 

Cela aussi est une parole sérieuse. Jésus savait exactement qui croirait, qui ne croirait pas, qui accepterait, qui n'accepterait pas, qui ferait le chemin avec Lui jusqu'à la fin, et qui ne le ferait que pour un temps, qui s'offusquerait, qui resterait, qui le quitterait. Il savait, Il connaissait chacun, Il connaissait le début et la fin de chacun.

Par la grâce de Dieu, soyons de ceux qui ne s'offusquent pas au milieu du chemin, qui ne quittent pas le Seigneur, qui ne commencent pas à murmurer ; parce que le fait de commencer seulement à murmurer, à s'offusquer, cela suffit déjà ! Il n'est pas nécessaire de faire demi-tour. Il suffit de commencer à murmurer, à faire des constatations, à se plaindre, et le chemin est déjà tracé, ou les aiguillages posés, et nous ne suivons plus le Seigneur comme nous le devrions.

Les personnes qui veulent atteindre le but doivent tenir compte de ces choses. Premièrement, croire chaque parole de Dieu. Qu'ils la comprennent ou non, ils ne doivent pas s'en offusquer. Ils ne doivent pas murmurer à ce sujet. Ils doivent la repasser dans leur cœur devant Dieu et la laisser être révélée à eux par le Saint-Esprit. Il n'est pas nécessaire de le répéter, de faire demi-tour, et de dire : « Je vais maintenant suivre mon chemin ». On commence son propre chemin à partir du moment où l'on s'offusque ; et après l'offense, les murmures commencent ; après la grogne, une chose et son contraire, et vous savez tout ce qui s'ajoute ensuite. Cela aboutit à la rébellion intérieure, à l'incrédulité envers Dieu et Sa parole. Bien-aimés, prenons cet avertissement à cœur : Ne pas murmurer, ne pas s'offusquer, mais croire ! Ne pas se heurter.

Les disciples n'ont pas pu tout comprendre, mais les douze sont d'abord allés aussi loin, et Il savait aussi qui était celui qui allait le trahir. Quand tous les autres l'ont quitté, cela a dû être très douloureux. Notre Seigneur, le Pain vivant qui était descendu du ciel, n'était pas seulement un enseignant envoyé par Dieu, Il était la révélation de Dieu lui-même sous forme humaine ; et pourtant des hommes se sont offusqués de ce qu'Il disait, ils se sont heurtés à ce qu'Il disait. Maintenant, il est écrit à partir du verset 66 :

« Dès lors, beaucoup de ses disciples se retirèrent de lui, et ne l'accompagnèrent plus dans ses randonnées. Jésus donc dit aux douze : Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? Simon-Pierre lui répondit : Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Et nous avons cru et nous avons reconnu que tu es le Christ, le Saint de Dieu ». 

Il n'a pas dit : « Nous avons tout compris, je pourrais déjà l'enseigner aux autres » ; il a simplement dit, et il a exprimé ici la somme de tout cela, il dit : « Nous avons cru, et reconnu que Tu es le Saint de Dieu » ; en d'autres termes, que nous comprenions tout ou que nous ne le comprenions pas, dans tous les cas, il est resté là où il était (ou on a laissé ce qui était dit). Ils n'ont pas quitté le Seigneur, mais ils ont laissé ce qui était dit même s'ils ne l'ont pas compris.

Faisons de même ! À n'importe quel prix, dans n'importe quelle situation, c'est la seule façon d'atteindre le but. Nous aussi, nous savons qui nous a parlé. Et si c'était des non-croyants qui l'avaient quitté, aucune douleur n'aurait été associée à cela. Mais les Saintes Écritures disent ici : « Dès lors, beaucoup de Ses disciples se sont retirés de Lui ». Cela a été douloureux. Notre Seigneur qui, seul a les paroles de la vie éternelle, qui, seul est le Pain vivifiant descendu du ciel, ils L'ont abandonné. Et que leur restait-il ? Rien du tout ! Celui qui L'abandonne n'a plus rien, car tout le reste ne compte pas sans Lui. Il est le Centre. Avec Lui, tout le reste compte aussi. Mais sans Lui, plus rien ne compte, absolument rien ! Si je n'ai que toi, je ne me pose plus la question du ciel et de la terre ! Que Dieu bénisse. Qu'Il nous parle et que nous disions avec Pierre : Où irions-nous ? Toi seul a les paroles de la vie éternelle. 

Lisons maintenant dans l'évangile de Matthieu, le chapitre 26, à partir du verset 26 :

« Or, pendant le repas, Jésus prit le pain, prononça la louange à Dieu, rompit le pain, et le donna aux disciples en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps. Puis il prit une coupe, rendit grâce, et la leur donna en disant : Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui est répandue pour la multitude en rémission des péchés. Mais je vous le dis, désormais je ne boirai plus de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai de nouveau avec vous dans le royaume de mon père ».

Ici, sur la terre, Il a tenu le souper avec les Siens, et Il les inclut déjà pour là-haut. La plupart des gens lisent qu'Il ne le boira plus jusqu'en haut, mais ici, nous sommes tous inclus jusqu'au jour où... il est bien écrit : « Jusqu'au jour où Je la boirai à nouveau avec vous », se référant au produit de la vigne. Vous comprenez ? Pas sans nous, mais avec nous. Louanges et merci à notre Dieu ! Sans nous, il n'y a pas d'enlèvement ! Sans nous, pas de repas de noces ! Nous y serons par grâce. Quel privilège ! 

Notre Seigneur dit ici : Jusqu'à ce que Je le fasse avec vous ». Il s'agit ici de la troupe rachetée au prix du sang. Il dit : « Ceci est le sang de la nouvelle alliance versé pour la multitude » ; puis Il dit : Jusqu'à ce que je le boive à nouveau avec vous ». Quel privilège, déjà ici-bas, de partager le souper avec Lui, et Lui avec nous. Et là aussi, là-bas, en haut, rien ne pourra se faire sans nous. L'Église en fait partie. Elle est Sa propriété rachetée par le sang. Et nous serons assis avec Abraham, Isaac et Jacob à la table du Seigneur, et nous partagerons le grand repas avec notre Seigneur.

Il dit : « Jusqu'à ce que je le fasse avec vous ». Alléluia ! Louanges et remerciements, actions de grâce ! Avec vous, vous, la troupe rachetée par le sang, avec vous avec qui J'ai conclu l'alliance, pour qui J'ai donné Ma vie et versé Mon sang, avec vous, Je ferai ce repas là-bas. Dans le chapitre 19 de l'Apocalypse, il y a un verset magnifique. Apocalypse 19 verset 9 :

« Puis il me dit : Écris : Bénis sont ceux qui sont invités au festin des noces de l'Agneau ! Il me dit encore : Ce sont là les véritables paroles de Dieu. Je me suis donc prosterné à ses pieds pour l'adorer ; mais il m'a dit : Garde-toi de le faire ! Je ne suis qu'un co-serviteur de toi et de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. En effet, le témoignage de Jésus c'est l'esprit de prophétie ».

C'est là aussi une parole glorieuse. Cette parole est en rapport avec ceux qui sont invités au festin des noces de l'Agneau. Il y a des gens qui ont le témoignage de Jésus, et, le témoignage de Jésus est l'esprit de prophétie. J'espère que vous comprenez. Nous ne pouvons pas nous étendre sur ce sujet maintenant.

Je voudrais lire dans 1 Corinthiens chapitre 11, les paroles de l'institution du souper. 1 Corinthiens chapitre 11 verset 23 :

« Car, pour ma part, je l'ai reçu du Seigneur comme je vous l'ai aussi transmis. Le Seigneur Jésus, la nuit où il a été livré, a pris du pain, et, après avoir rendu grâce, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'Il revienne ».

Le souper est un repas en mémoire de la souffrance et de la mort de notre Seigneur. Il a laissé Son corps être frappé, martyrisé et S'est laissé crucifier. Il a versé Son sang. Les deux étaient nécessaires car nous avions besoin de rédemption pour l'âme et pour le corps. C'est par le sang que tout s'est passé, et Il a été frappé afin que nous puissions être guéris dans notre corps.

Je suppose que nous sommes tous croyants et que nous n'avons pas besoin de répéter les avertissements qui ont été donnés ici. Verset 28

« Que chacun s'éprouve lui-même, et qu'ensuite il mange ».

Nous nous examinons devant la face de Dieu. Nous laissons l'Esprit sonder notre cœur. Et il est important que nous ne ressentions pas de condamnation devant Dieu pendant ce moment. Si c'est le cas, laissez ce souper passer devant vous ! En ce jour, ne cherchons pas à savoir que vont dire les gens, que vont penser le frère ou la sœur. Aujourd'hui, nous voulons demander que dit Dieu à ce sujet. Nous sommes devant la face de Dieu. Les jugements humains se retourneront contre eux-mêmes. Le jugement de Dieu est déterminant.

Dans la parole d'introduction, nous avons lu que nous avons été justifiés par la foi. Que chacun s'éprouve lui-même, et qu'ensuite il mange du pain, et boive du vin. Comme rappel, et pas seulement cela, comme confirmation du plus profond de notre cœur, que nous avons déjà accepté dans la foi ce qui s'est passé à Golgotha pour nous personnellement, et que nous le prenons ici sous la forme du pain et du vin, afin de confirmer ce qui s'est passé là-bas avec Son corps et Son sang, que nous l'avons accepté dans la foi.

La deuxième partie est le lavage des pieds. Et il se peut, bien sûr, que cela soit nouveau pour certains. Et vous pouvez me croire : Cela m'était également nouveau lorsque je l'ai entendu pour la première fois ; et ce n'était plus si nouveau pour moi quand je l'ai entendu pour la deuxième fois ; et cela m'était déjà bien connu lorsque j'ai moi-même participé à la célébration du lavage des pieds. Je l'ai déjà dit ici deux ou trois fois au cours des années. Vous savez que j'ai eu le grand privilège d'être avec frère Branham lorsqu'il vivait, et que j'ai célébré le souper avec lui là-bas dans l'assemblée ; et à mon grand étonnement le lavage des pieds a eu lieu après le souper. Je suis honnête, je ne m'y attendais pas ! Mais j'ai accepté cela de la part de Dieu, et je ne l'ai plus remis en question depuis lors. Je ne l'ai plus remis en question.

Et il a dit textuellement : « Dieu a imposé trois ordonnances à l'Église : le baptême, le souper, et le lavage des pieds ; et ces trois-là, nous devons les respecter et les observer ! ». Et depuis, nous avons donc commencé à le faire ; et après le souper nous avons eu le lavage des pieds.

Mais à chaque fois, je dis toujours que s'il y a quelqu'un qui ne peut pas tout classer du premier coup, vous n'avez pas besoin de le classer. Vous n'avez qu'à vous classer, c'est tout. La parole de Dieu est déjà classée. Il y a toujours tant de gens qui veulent classer la parole. Oui, je ne vois pas pourquoi. La parole n'est donc pas en ordre ? N'est-elle pas déjà classée ? Nous devons nous laisser mettre en ordre, et nous laisser classer selon la parole ; et alors l'ordre divin est là. C'est vrai ? Amen. Je suis content que l'amen ait suivi. Si l'amen ne venait pas, le Seigneur serait très affligé. Nous avons entendu les vraies paroles de Dieu, et nous n'y avons rien ajouté, ni rien retranché non plus. 

Maintenant, pour ceux qui vont maintenant participer pour la première fois au lavage des pieds, jugez d'abord après que je vous ai lu la parole de Dieu. Avant, ce n'est de toute façon pas bon. Maintenant, je vais la lire, et ensuite vous pourrez juger ; non pas juger la parole de Dieu, mais vous jugez vous-même. Je voudrais donc que ce soit clair. Si la parole de Dieu est lue, ce n'est pas pour que vous jugez ensuite la parole de Dieu. Que cela soit loin ! Non. Que vous vous soumettiez au jugement de la parole de Dieu, et alors tout est en ordre. Il n'y a alors qu'une seule personne qui a le droit de parole, et c'est Dieu ; et tous les autres écoutent et agissent en conséquence. Là aussi, il y en a trop qui se font un jugement sur la parole de Dieu. Tout semble beau, mais ce n'est pas aussi beau que ça en a l'air. Nous devons nous soumettre tous au jugement divin de la parole de Dieu. Nous devons donner raison à Dieu en toutes choses, et ne pas nous offusquer, murmurer et quitter la parole de Dieu, et partir. Tout le monde peut le faire, mais tout le monde ne le fait pas. Celui qui veut être sauvé s'en tient à la parole du Seigneur. Et maintenant je vais vous lire le discours du Seigneur. Jean 13 à partir du verset 7 :

« Jésus lui répondit en disant : Ce que je fais là, tu ne le comprends pas encore ».

Peut-être que je devrais lire à cause de ceux qui ne peuvent pas comme ça tout de suite trouver le verset. Peut-être devrais-je commencer au verset 5 pour ceux qui ne peuvent pas l'ouvrir. Verset 5 :

« Après cela, il versa de l'eau dans le bassin, et se mit à laver les pieds de ses disciples et à les essuyer avec le tablier de lin qu'il avait noué autour de lui. Il vint donc un aussi vers Simon Pierre ; celui-ci lui dit : Seigneur, tu veux me laver les pieds ? Jésus lui répondit en disant : Ce que je fais là tu ne le comprends pas encore, mais tu le comprendras bientôt. Pierre lui répondit : Maintenant et jamais tu ne me laveras les pieds ! Jésus lui dit : Si je ne te lave pas, tu n'as pas de part avec moi. Alors Simon Pierre lui dit : Seigneur alors non seulement mes pieds, mais aussi mes mains et ma tête. Jésus lui répondit : Celui qui est baigné n'a pas besoin qu'on lui lave autre chose que les pieds, mais il est pur de tout son corps ; et vous vous êtes purs, mais pas tous. Car il connaissait bien celui qui le trahissait ; c'est pourquoi il a dit : Vous n'êtes pas tous purs. Après leur avoir lavé les pieds, remis ses vêtements de dessus et repris sa place à table, il leur dit : Comprenez-vous ce que j'ai fait pour vous ? Vous vous adressez à moi en disant Maître et Seigneur, et vous avez raison de m'appeler ainsi, car je le suis vraiment. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous êtes tenus de vous laver les pieds les uns aux autres, car je vous ai donné un modèle afin que vous fassiez comme je vous ai fait. En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé. Si vous savez cela, bénis êtes-vous si vous le pratiquez ».

En particulier ce verset 14 : « Si donc Moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous êtes tenus de vous laver les pieds les uns aux autres ». Je voudrais m'épargner et vous épargner de mentionner ce que les gens disent à ce sujet, car nous ne voulons pas perdre notre temps avec cela. Nous sommes devenus indifférents à ce que les gens disent, à la manière dont ils interprètent la parole pour passer outre. Ce n'est pas notre affaire. Notre tâche consiste à faire ce que notre Seigneur et Maître a dit.

Si Jésus Christ n'est pas seulement devenu ton Sauveur mais aussi ton Seigneur et Maître, montre-le par l'action que tu respectes ce qu'Il a dit et ordonné ! « Si donc je suis le Seigneur et le Maître ». Il est à la fois Seigneur et Maître. Il nous l'a dit et aussi montré, les deux, de sorte que nous ne sommes pas restés dans l'ignorance.

Remercions Dieu pour cela aussi. C'est sur ces paroles que nous concluons, nous nous levons et allons prier ensemble.

Père Céleste, nous Te remercions pour Ta grâce et Ta fidélité ô Dieu, et aussi pour cette occasion que tu nous as donné, ô Seigneur. Nous ne sommes pas en mesure au Dieu de Te remercier, mais nous Te remercions néanmoins comme nous le pouvons au Seigneur pour l'exemple, pour le modèle que Tu nous as donné, Seigneur.

C'est Toi qui as été avec ceux qui étaient autour de Toi et avec Toi, ô Dieu ; ceux qui ont enduré avec toi, ô Seigneur, ceux qui ont marché avec Toi Seigneur. C'est avec eux que Tu as tenu le souper ô Dieu. Fais de même avec nous aujourd'hui. Accorde-nous la grâce, ô Seigneur, d'apprendre de Toi, ô Seigneur, dans ce que nous faisons, car Tu as été le Modèle, et Tu nous as ordonné, Seigneur, de le faire.

Nous Te prions donc, Seigneur, selon Ton commandement et selon Ta parole, ô Seigneur, comme Tu as pris le pain, Tu l'as rompu, ô Dieu, nous Te prions de le bénir pendant que nous le rompons, ô Seigneur Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Ton nom. Amen !