Slobodná ľudová misia

Ježiš Kristus je ten istý včera, dnes a na veky. Žid.13.8

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Le mariage: problème ancien / Ewald Frank

6. Qu'est ce que l'adultère




L’homme ne peut pas rompre son propre mariage. Il devient adultère lorsqu’il entre dans un autre mariage, c’est-à-dire lorsqu’il prend une femme mariée, laquelle devient à son tour adultère. Dieu a établi le mariage comme une sainte institution, et Il l’a placé sous une protection particulière. Sur les dix commandements, deux s’adressent d’une manière toute spéciale aux hommes: “Tu ne commettras pas adultère!” et “Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain”. C’est un délit qui a de sévères conséquences, comme la chute dans le péché. C’est pourquoi Dieu a donné ce commandement: Si un homme a été trouvé couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l’homme qui a couché avec la femme, et la femme; et tu ôteras le mal du milieu d’Israël” (Deut. 22.22). La punition de la mort est prononcée sur ce délit, comme cela se trouve écrit aussi dans Lévitique 20.10: “Et un homme qui commet adultère avec la femme d’un autre, qui commet adultère avec la femme de son prochain: l’homme et la femme adultères seront certainement mis à mort”.

En ce qui concerne le fait de l’adultère, dans sa prédication le prophète poursuit en disant (p.29, § 169 à 175) qu’également parmi les non Juifs et autres religions, la femme d’un autre était considérée comme intouchable. Il en est encore ainsi aujourd’hui parmi les peuples vivant dans la nature, et autres tribus qui ne savent ni lire ni écrire. Lorsque Abimélec, un roi païen qui pensait que Sara était la sœur d’Abraham, voulut la prendre pour femme, le Seigneur lui parla en songe: “Et maintenant, rends la femme de cet homme; car il est prophète, et il priera pour toi, et tu vivras. Mais si tu ne la rends pas, sache que tu mourras certainement, toi et tout ce qui est à toi” (Gen. 20.7). Le roi obéit sans hésiter au commandement du Seigneur.

Salomon, qui comme on le sait avait beaucoup de femmes, et auquel le prophète Natan avait donné le nom de Jedidjah (2 Sam. 12,25), ce qui signifie “bien-aimé de l’Eternel” nous dit: “Celui qui commet adultère avec une femme manque de sens; celui qui le fait détruit son âme; il trouvera plaie et mépris, et son opprobre ne sera pas effacé” (Prov. 6.32,33). Dieu a condamné à une honte perpétuelle l’adultère, et les hommes qui vont avec la femme d’un autre sont appelés des “insensés”. Notre Seigneur Jésus a encore aggravé la chose en disant que celui qui regarde la femme d’un autre pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son cœur (Mat. 5. 27,28).

Jean-Baptiste fit de sévères reproches à Hérode pour avoir pris pour épouse la femme de son frère, ce qui était même considéré comme un inceste. En tant que prophète il ne pouvait pas se permettre d’être diplomate, mais il devait bien davantage publier la Parole de Dieu qui disait: “Tu ne découvriras point la nudité de la femme de ton frère; c’est la nudité de ton frère” (Lév. 18.16).

Bien que frère Branham s’adressait à l’Eglise des temps de la fin, il évoquait les hommes de Dieu de l’Ancien Testament comme Abraham, Jacob et encore d’autres. Citation: «Voyez Jacob, de qui sont nés les patriarches. Il eut au moins une douzaine de femmes. Il épousa deux soeurs et eut à part cela des concubines (des femmes avec qui il vivait légalement sans être marié) et certains de ces patriarches naquirent de ces concubines» (p. 37, § 227). Jacob n’avait point commis d’adultère, au contraire de ce que fit David quand il prit pour femme Batshéba, la femme d’Urie. Après avoir exposé cela frère Branham dit tout simplement: «Vous voyez, vous devez laisser la Parole s’exprimer directement».

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