Szabad Népmisszió

Jézus Krisztus tegnap és ma és mindörökké ugyanaz (Zsid.13:8)

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Tout ce que Dieu a promis de faire dans Sa Parole, ce sont des «promesses»; s’Il parle d’autres choses, comme de guerres, de tremblements de terre, de catastrophes naturelles de diverses sortes, ce sont alors des «prédictions». Un véritable prophète du format d’Elie nous a été promis; les faux prophètes et les faux christs nous ont été annoncés. Nous vivons maintenant à la fin du temps de la grâce, et nous avons le droit, et même le devoir, d’expérimenter ce que Dieu a promis et de savoir ce qu’Il fait.

Si nous considérons les deux promesses en rapport avec la première et la deuxième venue de Christ, nous voyons que celle de Malachie 3.1 s’est accomplie avec le ministère de Jean-Baptiste. Le Seigneur Jésus Lui-même le dit très clairement: "Mais qu’êtes-vous allés voir? Un prophète? Oui, vous dis-je, et plus qu’un prophète; car c’est ici celui dont il est écrit: Voici, moi j’envoie mon messager devant ta face, lequel préparera ton chemin devant toi" (Mat. 11.9-10). En second lieu nous avons la promesse: "Voici, je vous envoie Elie, le prophète, avant que vienne le grand et terrible jour de l’Eternel" (Mal. 4.5). La prophétie de Malachie 4.5 a été confirmée par le Seigneur Jésus-Christ, dans Marc 9.12 et Matthieu 17.11, comme étant encore à venir: "En effet, Elie vient premièrement et rétablit toutes choses".

Jean est apparut lorsque le jour du salut commença. Le dernier prophète apparaît avant que le jour du salut ne se termine, avant que le soleil ne perde son éclat et que la lune ne se change en sang (Joël 3.4; Act. 2.20) et que ne commence le terrible jour du Seigneur (Es. 13.6-16; Joël 3; Soph. 1.14-18; Apoc. 2.19-21; 1 Thess. 5.2; 2 Pier. 3.10; Apoc. 6.17-18). C’est la pure vérité selon le «AINSI DIT LE SEIGNEUR» de Sa Parole.

Quiconque, n’ayant même que la plus petite intelligence du plan de salut de Dieu, saura que le temps de la grâce est le «jour du salut», comme cela est annoncé dans l’Ancien Testament (Es. 42.6; 49.6-8). C’est le jour que le Seigneur a fait (Ps. 118.24), le jour que vit Abraham et au sujet duquel il se réjouit (Jean 8.5): "En ce jour-là, vous connaîtrez que moi je suis en mon Père, et vous en moi et moi en vous" (Jean 14.20).

Il est écrit de Jean-Baptiste: "Il y eut un homme envoyé de Dieu… Celui-ci vint pour rendre témoignage, pour rendre témoignage de la lumière, afin que tous crussent par lui" (Jean 1.6-7). Ce n’est pas par le moyen de toute une troupe d’évangélistes que tous devaient parvenir à la vraie foi, mais bien par le moyen du ministère et du Message de ce seul homme, que Dieu envoya conformément à la promesse. Au travers de tous les âges cela a été ainsi. Cela a été ainsi également maintenant. Dieu ne change pas davantage Sa Parole que Sa manière d’agir.

Dans Jean, chapitre 1, depuis le verset 19, il nous est dit qu’un envoyé est venu vers Jean-Baptiste pour lui demander personnellement qui il était. "Et il confessa, et ne le nia pas, et confessa: Moi, je ne suis pas le Christ. Et ils lui demandèrent: Quoi donc? Es-tu Elie? Et il dit: Je ne le suis pas. Es-tu le prophète? Et il répondit: Non. Ils lui dirent donc: Qui es-tu, afin que nous donnions réponse à ceux qui nous ont envoyés? Que dis-tu de toi-même? Il dit: Moi, je suis la voix de celui qui crie dans le désert: Faites droit le chemin du Seigneur, comme dit Esaïe le prophète. Et ils avaient été envoyés d’entre les pharisiens. Et ils l’interrogèrent et lui dirent: Pourquoi donc baptises-tu si tu n’es ni le Christ, ni Elie, ni le prophète?" (v. 20-25). Ainsi, il n’était pas davantage Elie que le Christ, ou le prophète, conformément à Deutéronome 18.15-19. Par cela il est répondu clairement et de manière compréhensible à la question posée concernant Elie: s’il est le Christ ou le prophète. Parce que son ministère était d’une grande signification pour l’histoire du salut, il connaissait le passage biblique qui se rapportait à lui.

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